Ce document a été élaboré dans le cadre de vous présenter un autre modèle de hiérarchie, bien que ce document traite de la finance, nous ferons une ouverture pour parler de « stratégies » diverses qui peuvent être employées comme solutions avec ce modèle de hiérarchie, et ceci dans différents domaines, pas seulement la finance.
Finalement, en abordant ce modèle de hiérarchie « stratégique », vous verrez comment il aide à la prise de décision. La complexité du monde financier montrera comment ce modèle fonctionne dans sa pleine capacité.
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Ce modèle ci-dessous s’explique de cette façon : au centre, c’est votre position, non relative, mais hiérarchique ; ensuite se trouve autour de vous une distribution dont les valeurs sont aléatoires, certaines seront plus grandes et d’autre plus petite de ce qui vous correspond, le tout dans un accès qui est hiérarchique.
Nous utilisons le modèle ci-dessus pour vous mettre dans le contexte. Si les investisseurs ne s’intéressent, qu’à diversifier leurs portefeuilles pour éliminer le risque, cela échoue dans la plupart des cas, car ce modèle hiérarchique de distribution universelle est trop basic, demande peu de challenge dans la gestion de son portefeuille, et cela est très risqué (vous verrez pourquoi). Donc, ce n’est ni la valeur (forte rentabilité pour l’investisseur ou peu rentable dans le moment : représenté par la couleur dans le modèle ci-dessus). Ni l’ordre dans lequel les événements se présentent : l’ordre du choix, la préférence (représenté par l’aspect hiérarchique du graphique).
Voici le modèle hiérarchique stratégique, il est basé sur le « jumelage » :
Ce nouveau modèle hiérarchique stratégique basé sur le jumelage est le meilleur de sa catégorie en tant que gestion du portefeuille dans le domaine de la finance. Et sers aussi de modèle pour diverses choses. Le jumelage, vu par ce modèle, est caractérisé par un dégradé qui exprime quand la limite du jumelage est atteinte parce que comme dit dans le document « Guérison de la routine » (doc# HEA-0001-v1-FR), il faut voir les limites. Dans ce modèle, nous avons le centre de la hiérarchie qui représente le top niveau de jumelage : pentagone foncé. Et nous avons la limite du jumelage : pentagone blanc. Le dégradé qui passe du foncé au blanc signifie que les investissements dans cette zone sont le mieux jumelé à pas du tout. Le tout dans un ensemble cohérent.
En conclusion, ce modèle constitue une œuvre qui ouvre bien des portes. Mais d’autres documents démontreront que c’est le meilleur modèle à adopter pour la chimie, car dans l’esprit qui dit « qu’il faut s’accorder pour devenir fort » (comme le dit un livre à venir), ceci dit qu’il faut qu’il y ait le prisme pentagonal pour exprimer qu’à 5 côtés, cela s’accorde en créant une forme, alors qu’à 6, nous restons neutres en ne créant rien du tout… donc faible. Mais ceci est juste un argument pour dire que les 5 côtés est meilleurs qu’à 6… car dans quand nous commencerons à élaborer de la documentation en chimie, nous nous orienterons vers des modèles à 5 côtés. L’avantage à 5 côtés, c’est que les molécules ne se touchent pas.
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Nous avons dit que nous vous monterions comment le modèle hiérarchique stratégique aide à la prise de décision. Eh bien voilà.
Tout d’abord, une prise de décision ne se prend pas avec un brainstorming… le brainstorming c’est une liste d’idées qui n’a pas d’ordre. Et souvent, ceux qui prennent des décisions sur ce genre de modèle prennent des décisions hasardeuses.
Une idée, ça se travaille, et ce qui est important, c’est de jumeler les bons ingrédients. Et même si vous excluez des éléments d’une liste de brainstorming, en les excluant, vous vous êtes jumelé à les exclure, et la décision tourne à la banalité puisqu’au fond, l’idée n’a pas été travaillée, elle a été pigée dans une liste, et la décision est banale puisque la décision devient « pigé une idée dans une liste ».
Comme en chimie, une décision doit être appuyée par une multitude de jumelage bien approprié. Sauf que dans le cas des décisions, comparativement à la chimie, ce sont des éléments qui demandent beaucoup plus de leadership.
Le communisme reste avec le modèle décisionnel de la figure 1, c’est la position qui prend la décision, et non le leadership. Cela a comme conséquence de bloquer la « stratégie » dans la prise de décision. Même une entreprise privée qui se dit qu’elle est à l’abri de la figure 1… cela est faux si elle n’est pas veillante. La plupart des entreprises éliminent la « position », pour la remplacer par le leadership, et les entreprises américaines sont très veillantes en embauchant des génies. Sauf que ce n’est pas écrit dans le CV ni dans le front que la personne est un génie. Même les tests de QI traditionnels sont basés sur le modèle de la figure 1 parce qu’il n’est pas déterminé ce avec quoi la personne est familière. Le nombre d’années d’étude ne signifie pas non plus que la personne a plus de leadership qu’un autre à cause que c’est une formation encadrée et dirigée, et non pas laissée à elle-même.
Le communisme a toujours tendance à attaquer le génie, par exemple, les pays communismes s’en prennent continuellement aux États-Unis et ils s’en prendraient au Canada si « l’enfant génial » était là. À cause, que le génie veut plus de liberté dans son travail, et veut développer lui-même sa ligne de conduite tout en respectant les autres. Même dans des entreprises nord-américaines, les génies ne sont pas toujours aimés à cause qu’on leur reproche d’avoir des difficultés sociales « supposément ». Ce qui fait que dans un système « socialiste » le génie n’a pas sa place, parce qu’on lui reproche d’avoir des difficultés sociales.
Le génie, socialement, n’a aucune difficulté sauf la routine (comme tout le monde) qui est guérie dans le document « Guérison de la routine » (doc# HEA-0001-v1-FR, de l’Église de Jésus). Si les gens ont de la difficulté à parler au génie, ce n’est pas la faute du génie, c’est parce que ces gens doivent s’adresser au génie avec plus d’efforts… Cela est convenable, si le génie fait des efforts pour augmenter le savoir-faire des entreprises et des gouvernements, alors il est « juste » de leur attribuer plus d’efforts pour communiquer avec eux, et reconnaître l’apport du génie dans la société. De plus, le socialiste communisme a trop tendance à penser « position » (comme à la figure 1) dans ses relations amicales au lieu de penser « jumelage » et « stratégie ».
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