Engendrée par l’inconnu, la création est une force qui prospère lorsqu’elle a accompli de produire un élément. Il est important de percevoir la création comme une science qui est engendrée par une force. Dès le départ, il faut commencer par laisser entendre qu’une force agit parce que nous devons mettre l’accent sur une forme quelconque qui est hypothétique. L’étude de cette forme s’établit en devinant ce sur quoi elle agit et comment elle agit surtout.
Pour commencer, laissons entendre que la force de la création doit avoir un but. Si ce but était défini, il serait comment ? Nous pourrions répondre à la question « pourquoi sommes-nous nés au monde ? » et « Quel est le but de notre naissance ? » Évidemment, ce sont des questions difficiles qui relèvent aussi de la philosophie. Mais ce pour quoi nous nous penchons sur ces questions est exactement pour trouver le but de la création. Premièrement, la création doit avoir plusieurs buts, qui doivent changer pour donner naissance à la création d’éléments plus évolués. Quel était le but de la création au début ? Serait-ce parce que Dieu se sentait seul, sinon quel serait le but qu’un Dieu soit présent ? Je vais y répondre, la création avait pour but de créer un espace. L’espace n’est pas seulement matériel, il est aussi multidimensionnel sur l’aspect de la connaissance qui est aussi spatial.
Sans objet (éléments matériels), l’espace n’a pas de profondeur, donc il n’y a pas d’espace. L’espace est sans doute ce qui permet à la force de création de surgir. Voyons les forces de la nature comme des forces qui ont une mission pour exister, sans quoi il n’y a pas de force quelconque sans une mission (ou but). La mission est une forme d’espace non matériel qui engendre la force. Du point de vue de science, nous devons classer les comportements des forces de la nature. La première classification est de donner un but à quelque chose pour nous aider à le comprendre.
La création du point de vue de la science sera toujours, un mystère en soi, mais nous pouvons l’étudier pour comprendre certains éléments. Comme dit dans des recherches antérieures, la création se fonde à partir d’éléments anciens. Ce concept fonde la théorie de la création qui est probablement une mémoire comme premier élément servant à la création. La mémoire (élément ancien) devait servir à former de nouveaux éléments comme des structures de mémoires.
À l’étape de la création, où les mémoires se bousculent, le temps est lui-même en train de se créer. Effectivement, la notion de temps n’existe pas sans mouvement de quelconques éléments que ce soit. Le temps est donc créé que partiellement avec la mémoire.
Pour ensuite dire que la mémoire continue d’exister en même temps que le temps, il vient ensuite l’instant ou ces 2 éléments s’isolent pour former de nouvelles forces primaires. Ces forces primaires s’ajoutent à la force de création, ce qui donne un trio de force et là maintenant on a de quoi construire de la diversité.
Effectivement, avec un trio, nous ne créons pas d’opposition, ni de répétition. Le trio est un ensemble d’éléments qui constitue la diversité à la base puisque si une force n’est pas utilisée, nous avons le choix entre 2 autres forces. Voilà le choix est créé. Ce qui constitue la base de toutes les intelligences, c’est que le choix existe. Cette intelligence est cependant prématurée, il doit avoir d’autres éléments qui doivent exister pour qu’il ait une grande intelligence. Mais nous nous n’attarderons pas sur l’intelligence, seulement à la science de la création, donc restons avec l’exemple du trio.
Avec le temps, nous avons une synchronisation, ce qui constitue un élément important de la profondeur pour la création de l’espace. Tout d’abord, le temps est en continu, donc ne s’arrête pas, ce qui constitue une force qui pousse les autres forces (création et mémoire) à continuer. La continuité étant l’élément déclencheur de la force de création, il s’ajoute à cette force, et là nous avons une créativité en continu, donc une force qui développera le reste des éléments de l’univers. Il va s’en dire que cette forme de continuité est en quelque sorte la profondeur dans la force de création. Du coup cette profondeur s’accentue avec le temps (la continuité) et ce qui forme une évolution dans la force de création continuellement.
La profondeur pousse la force de création à se coordonner par rapport au point d’origine. Nous nous arrêtons ici en ce qui concerne cette clé sur la science de la création. Elle est relativement plus probable comme théorie que la théorie du Big-Bang, et elle est plus utile parce que ce scénario (très riche) sur la création démontre que l’on peut partir logiquement de peu d’éléments pour former une grande diversité complexe.
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Vus comme des adversaires, les éléments seraient dans une tournure de colère. En regardant plus précisément, l’adversité existe, cependant elle ne doit pas être perçue comme un combat. L’adversité est une force qui met en compétition les éléments non pour une place, mais pour leur position dans l’assemblé des éléments. Évidemment, comme nous pouvons le constater, l’adversité ne fait pas une lutte pour une ressource. Les éléments de la nature ont des forces, jamais des faiblesses. C’est l’adversité qui donne l’apparence de faiblesse.
D’une certaine façon, l’adversité crée aussi de la différence, ce qui permet aux éléments de devenir personnalisé par rapport aux uns des autres. L’adversité est une force qui rend fort, non qui donne des faiblesses. Cela s’explique par le fait que l’adversité oblige l’utilisation des forces contenues dans des éléments. C’est en principe ce qui permet de créer l’élément moteur qui active l’utilisation des propriétés chez les éléments de la nature. Nous pouvons ainsi considérer que l’ensemble des éléments utilise l’adversité.
L’adversité est encore invisible pour le lecteur parce qu’il faut comprendre que l’adversité fait partie d’une fonction de la physique des éléments. Entre autres, il est compris que l’adversité est une forme de comportement des éléments et non une règle de la physique. Donc, l’adversité se démarque d’une règle par le fait que ce sont les éléments qui emploient l’adversité, et n’est donc pas imposée. L’adversité est utilisée librement.
Dans un courant d’ensemble, l’adversité aide à structurer par position les éléments de la physique. Ce qui crée une forme d’ordre. L’ordre est le cœur de l’adversité.
Si les éléments ont des adversaires, cela met en importance leur place qu’ils occupent. Bien que certains phénomènes découverts jusqu’à présent n’affichent pas l’adversité parce que ces phénomènes sont qualifiés de réaction, comme appartenant à une règle. Mais si l’on considère l’ordre dans la position des éléments, nous comprendrons qu’il ne s’agit pas de règle, puisque c’est phénomène ne sont pas absolu, il n’appartienne pas à ce contexte. Par exemple, c’est le cas de bien des formules chimiques utilisées.
Le rôle de l’adversité est bien intéressant à comprendre. Plus les éléments utilisent l’adversité, plus leur position devient plus juste, mais pas absolument, donc en devenant plus juste, cela permet de créer des ouvertures dans leur position, et c’est ce que l’on qualifiera de phénomène de diversification des éléments. Cela est le cœur du but de l’adversité, créer des positions unique, créer de la diversité illimitée avec un nombre restreint d’éléments.
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La révolution est sans doute légèrement révélatrice par la signification de ce mot. Mais nous devons l’employer sur un théorème beaucoup plus large que la simple définition de ce mot. La physique est telle qu’elle doit être, avec beaucoup de vision sur son environnement. Ainsi, la révolution, ici, est en quelque sorte non seulement la signification d’un tour autour d’un point, mais aussi porteur d’un changement.
Comme nous pouvons le constater, la révolution est l’appréciation d’une tournure qui prend comme particularité sa signification sur la rotation d’un même point. Mais ici, il n’est pas question de cela. La révolution est le changement d’un point centre vers un autre centre. Il est dit de cette manière que la révolution est temporaire et donc elle accompagne l’abandon de la règle qui dit que la révolution doit se faire toujours autour d’un même point. Nous devons voir la révolution comme une autonomie à composer par elle-même et non de dépendre d’un objet sur lequel elle doit tourner autour.
Vue sur la facette de l’autonomie, la révolution est-elle sans but ? Justement sur le ton d’autonomie, la révolution (au sens de la clé de cette physique) est un croisement entre plusieurs points. Nous parlerons de cycle imparfait pour décrire cette autonomie et la façon dont la révolution s’exécute pour croiser plusieurs points. L’idée de dire que la révolution croise plusieurs points est de rendre les éléments moins isolés entre eux au moyen de la révolution. Comme les éléments sont des plateformes de matières ou d’énergies ou de forces isolées, alors il faut un mouvement pour les rendre fonctionnelles et structurées entre eux. C’est d’ailleurs sur la structure qu’il faut miser pour comprendre la révolution.
Une structure au sens de la révolution comporte un axe entre au moins 2 points sur lequel la révolution exécute un déplacement de ces 2 points en même temps. Donc, la révolution ici est le mouvement de l’axe entre 2 éléments, ce qui crée la dépendance entre ces 2 éléments et aussi l’affirmation de l’autonomie entière de la révolution. Si un élément tourne autour d’un autre élément, en réalité, c’est un axe qui tourne dans l’élément central.
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S’il suffisait s’arrêter seulement à la définition générale du mot enchantement, cela aurait une tournure de magie, mais ici dans les clés de la physique, l’enchantement se trouve être l’agencement de la personnalité des éléments en physique. Donc, ce mot est en fait emprunté pour lui donner un autre sens dans cette clé.
Tout d’abord, la personnalité est une forme d’enchantement si on le veut puisque cela révèle une forme d’adaptation des éléments qui est arrangée à l’avance pour causer tout mouvement personnifié de l’élément. Cela revient à dire qu’il faut soustraire la règle aux éléments et découvrir que leur personnalité peut exister. La personnalité, alias l’enchantement, ajoute aux éléments des atouts.
Dans leur enchantement, les éléments sont personnifiés pour produire des résultats agréables à la nature. Nous supposons ici que tout s’accorde. Bien sûr, vous pouvez dire que si on se met la main dans le feu, cela ne sera pas agréable. Sauf que la position des éléments compte aussi telle que vue dans la clé de l’adversité (2e).
Ce qui pourrait décourager certain dans leur concession faite pour l’environnement, c’est que toutes les personnes ne s’accordent pas également sur ce que l’on doit rendre comme atouts agréables vers la nature. Évidemment, ce n’est pas ici qu’il ne faut jamais utiliser les éléments et les laisser à leur place tels quels, c’est qu’il faut choisir de bien utiliser ces éléments pour les rendre réutilisables. Cela s’appelle aussi être écologiste, mais plus physicien qu’écologiste. Dans ce qui a trait à rendre un élément réutilisable est un prérequis pour comprendre comment certains phénomènes peuvent coïncider avec ce mode d’emploi. D’abord, ce n’est pas à nous d’isoler des phénomènes tel que l’on croit bien faire dans nos recherches, c’est plutôt mieux d’apprendre à créer de l’harmonie, pour pouvoir ensuite utiliser cette compréhension de l’harmonie sur les phénomènes qui nous entourent : découvrir l’enchantement de la nature.
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L’ordre stellaire doit sans doute vous indiquer que nous allons définir en quelque sorte une partie du système spatiale dans lequel nous vivons. Nous n’allons pas seulement définir ce système, mais aussi nous allons percevoir la différence réelle entre le fonctionnement apparent et son réel fonctionnement. Ici, il est question de corriger la vision que nous nous fondons sur la réalité, donc de donner un sens plus approprié sur les variables que nous allons utiliser pour définir ce réel fonctionnement.
D’abord, abordons un sujet qui fait souvent l’objet de discussion, sommes-nous en sécurité dans le système stellaire duquel nous vivons, ou avons-nous à craindre pour notre futur ? Cette question est grande et complexe, car il s’agit d’apporter du soutient plutôt psychologique que scientifique, mais, au moins, nous pouvons ouvrir la porte à de nouvelles discussions sur ce sujet. Précisément, nous ignorons beaucoup de choses sur le fonctionnement du système, et ce pour quoi nous nous inquiétons sur ce sujet. Mais en réalité nous ne pouvons affirmer que l’extinction d’une espèce peut se faire par la destruction d’une partie de sa sphère vitale. La sécurité de notre espèce n’est pas réellement menacée par ce qui bouge aux alentours de notre planète. Nous devons réfléchir positivement aux règles qui ont servi à la confection de notre planète. Cela dit, éliminons d’abord cette hypothèse de destruction potentielle et réfléchissons sur ce qui nous mène à voir de l’embellissement sur ce système. Idem, il est plutôt dans notre instinct de survie de vouloir se préparer au pire, même aux mythes qui occupent notre pensée !
Heureusement que l’ordre de notre système stellaire est mature. Ce qui est immature, c’est toujours les espèces qui bénéficient d’une évolution. Dans notre système stellaire, l’ordre est en quelque sorte le penchant pour la vérité sur notre complétude, c’est-à-dire, complétons-nous une structure, ou simplement naviguons-nous par hasard dans cet espace ? Ici, nous devons avouer que l’un ou l’autre donne un résultat similaire dans le sens où tout peut aller à l’envers comme à l’endroit, puisque le sens de classement ou de déclassement de l’ordre est le même lorsque nous parlons du système stellaire.
Ceci s’explique par le fait que notre ordre peut être maturément plus fort que d’autres systèmes stellaires comme elle peut aussi être maturément en arrière sur d’autres systèmes stellaires. Mais la réponse est similaire à l’exactitude du fait que nous gérons un espace et que les autres espaces sont gérés par d’autres. Donc si nous constatons notre système stellaire est de l’arrière, nous aurons à nous préoccuper seulement du fait que ce système est conçu dans cette mesure et a une signification scientifique. La signification est que les paramètres sont autoconstructeurs en ce qui concerne les variables qui ont servi à construire notre système stellaire et donc nous avons à faire confiance à ce qui est déjà bien géré.
L’ordre est mature selon la personnalité de chaque étoile. Peut-être la vie n’existe pas partout, mais au moins nous savons qu’elle est probable qu’elle existe puisque nous sommes dans ce qui fait partie de la vie. Mais, l’ordre dans lequel chaque système stellaire est constitué, est un ordre commun, de sorte que notre planète dépend de notre soleil, et ce soleil dépend de ce qui constitue la galaxie, donc dépend des autres systèmes stellaires de notre galaxie. Nous allons nous pencher sur cette dépendance.
La dépendance des autres systèmes solaires constitue l’ordre elle-même des astres stellaires. L’ordre est un mot qui doit avoir plus de sens que simplement dire si la suite est bonne. L’ordre est l’agencement d’unités (soleils) qui fabriquent un système galactique. L’étude de cet ordre nous fait deviner que nous ne pouvons pas être seuls. Et même, comme au niveau des atomes, aucun atome n’existe en quantité d’un seul et ils ne doivent pas être seuls pour servir à quelque chose. De même que si vous devinez qu’entre homme et femme la vie est beaucoup mieux coordonnée, c’est sur ce principe de coordonnées qu’il faut souhaiter vivre. Comme il est facile de se perdre dans ce que nous faisons aussi parfois, il est mieux averti une personne qui se coordonne avec d’autres. C’est ainsi que l’ordre stellaire nous fait comprendre comment il est improbable que nous arrivions à nous coordonner et bâtir quelque chose seul, et c’est la même règle pour les atomes, les êtres, la vie, les planètes, etc.
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Un circuit électrique est le rassemblement de source donneur d’électron vers une même cible arracheur d’électrons. L’électricité correspond au courant engendré par la différence simultanée de la source et de la cible. Le circuit électrique est l’ensemble des éléments branché sur une alimentation positive et négative, relié à la source et à la cible.
Tout d’abord, l’électron est vu (selon la physique classique) comme une particule étant capable de voyager sur des matériaux conducteurs, ce qui nous amène à voir l’électron comme une simple entité voyageant. En fait, il faudra voir l’électron plus comme une entité stable que mobile. La raison de cela s’explique.
L’électron a été mis comme étant l’hypothèse de la cause de l’électricité puisqu’il faisait partie de l’atome, et la science a cru qu’une partie de l’atome se séparait pour ensuite voyager vers d’autres atomes et former le courant électrique. Mais il y a ici une autre hypothèse qui veut que l’atome soit indivisible. Bien que démontrer par des forces grandes de la nature comme avec l’énergie nucléaire, le soleil (haute température), et plus encore. Pourquoi l’atome doit être indivisible ? Parce ce qu’il supporte tout l’univers dans le sens ou le fonctionnement de l’univers (planète, soleil, et galaxie) sont reliés par la matière et que si cette matière était divisible, nous pourrions diviser l’univers : évitons pour ainsi dire le mot catastrophe.
L’atome n’est pas divisible, ni d’une charge quelconque. Cela peut être démontré que ce à quoi nous faisons référence lorsque nous parlons d’électron provient du champ magnétique d’un groupe d’atome formé à produire de l’électricité. Ce champ magnétique est sans doute le moins étudié parce qu’après la découverte de l’électricité, la science a mis l’accent sur le transfert d’électrons plutôt que se pencher sur le comportement de l’atome : dès lors les matériaux ont été classés par conductivité, plutôt que de chercher à comprendre plus loin le comportement de l’atome. Nous avons obtenu des données sur la conductivité, mais beaucoup moins sur le modèle théorique de l’atome qui est resté semblablement le même que celui des années antérieures d’une époque lointaine.
Les nouvelles tendances poussent la science à vouloir défaire ce qui a été fait comme nous pouvons le constater avec les nombreuses recherches récentes sur l’électron (exemple : antimatière). La science n’a pas encore progressé réellement. La véritable science c’est d’achever l’incompris et non de partir sur une galère de découverte ésotérique qui ne respecte pas l’œuvre initial, de vouloir conserver l’atome, plutôt que de chercher à le diviser et à le détruire. Il faut être sot pour construire à l’envers, protégeons les matériaux de construction.
C’est souvent par cette défaite de la science classique qui veut que l’on construise avec de nouveaux matériaux. Elle est la plus grande faiblesse, il faut plutôt apprendre à faire plus avec les mêmes matériaux, utilisés sous des angles différents pour parvenir à accomplir le destin de l’œuvre de la nature, c'est-à-dire faire plus avec moins. D’où on mesure la force des théories scientifiques, c’est que l’une avec moins d’information progresse vers de plus grands espaces prospères.
Comment la nature peut-elle progresser par elle-même ? Tout simplement qu’elle conserve ses paramètres clés et qu’elle fait avancer son utilité dans la nature par ses propres moyens. D’abord, nous devons savoir qu’il n’y a pas seulement une belle phrase à retenir pour la réponse à cette question. Il en restera toujours un mystère puisque nous ne pouvons pas unir tous les éléments qui constituent l’évolution de la matière, mais cette évolution est bien réelle lorsqu’il s’agit de voir toutes les composantes que la nature réussit à gérer. Le progrès est bel et bien là.
D’après la science classique, l’électron se détache de l’atome. Alors, maintenant regardons cela sous un autre angle. Nous dirons que l’électron est la partie qui compose presque la forme de l’atome. Sa forme ronde doit être fabriquée d’une coque pour protéger le cœur de l’atome. Tout élément dans la nature a une forme de protection. Dans le cas de l’atome, sa protection est ses électrons. Nous appellerons les électrons, les cellules électrifiées. Comme ayant une suffisance de protection, l’atome n’est pas à la recherche de protection supplémentaire. Car comment pouvons-nous appeler énergie atomique si l’atome n’est pas en suffisance d’éléments pour fonctionner.
Vu que l’atome est en suffisance de cellules électrifiées (électrons), il n’y a pas de chance pour qu’il veuille en donner. Donc, c’est à nous la science de trouver la solution au fait que l’atome en position de suffisance puisse vouloir transformer quoi que ce soit. Pensons alors à la réaction que ferait une couche de protection si elle sentait que le cœur de l’atome puisse être touché. Et oui, effectivement, c’est par mesure de protection que l’atome réagit. Nous devons garder l’accent sur sa réaction lorsque sa sécurité est affectée. L’atome probablement en entier réagit, il réagirait à une source de chaleur, il réagirait avec l’énergie nucléaire, etc. Donc l’atome est vivant dans sa forme parce qu’il réagit par rapport à son environnement. Cela constitue le progrès de l’atome par rapport aux autres atomes dans son environnement.
Pour arriver à expliquer correctement le comportement de la cellule électrifié dans un circuit électrique, nous aborderons la 3e dimension qui n’est pas encore perçue par les scientifiques et est une découverte dont l’auteur de ce document est capable de percevoir et d’en tirer les biens-faits de cette 3e dimension. Tout d’abord, j’aimerais aborder avec vous le pourquoi que les scientifiques n’arrivent pas à percevoir cette 3e dimension. Peut-être aurais-je dû employer un autre nom du phénomène de la 3e dimension que je vais aborder avec vous, mais il est plus évident d’expliquer cette vision en employant ce terme, parce que la 3e dimension soi-disant connue n’est que la perception de la profondeur. Mais maintenant, nous allons aborder ce que réellement est la 3e dimension et voir qu’elle permet de définir de nombreuses choses en science.
La 3e dimension comme le montre la figure 6 est un exemple de la 3e dimension. Cette figure montre que l’espace est recréé sur un espace non cartésien, c’est-à-dire que lorsque l’on considère que l’espace est pris, normalement cet espace ne peut pas être repris, mais c’est là que survient la 3e dimension, elle recrée un espace selon l’endroit où tu passes pour l’atteindre. C’est ce qu’on appelle en partie la 3e dimension, mais c’est beaucoup plus large que cela comme concept.
D’abord, le concept de l’espace recréé vous a été présenté. Un autre concept de la 3e dimension est ce qui se contient. Nous pourrions calculer de l’espace, par exemple, mais lorsque nous disons que l’espace se contient à l’intérieur d’une zone, nous ne pouvons plus le calculer réellement. Puisque se contenir ne se calcule pas dans ce sens, lorsque nous utilisons une approche à faire valoir le plein potentiel de quelque chose. Alors pour ainsi dire que quelque chose se contient, mais ne se calcul pas, cela explique qu’entre 2 items l’espace qui est calculée fait toujours référence à une mesure qui elle n’est pas calculée. Ce qui revient à dire qu’une mesure sert à calculer, mais la mesure elle-même ne se calcul pas, elle se contient.
Puisque nous avons à présenter un exemple, la figure 8 montre un plan où l’on calcule l’espace, et un autre plan où l’espace se contient par rapport à la position des objets. À la figure 8, le deuxième plan permet de signaler qu’il y a une autre façon de calculer qu’avec une unité de mesure comme au premier plan. Cette différence est importante à considérer. Pour la cellule électrifiée dont nous élaborons dans cette clé, nous devons absolument comprendre ce qui se contient au lieu de ce qui se calcule. La compréhension clé est ici sous cet aspect, c’est que ce que nous appelons un circuit électrique est en fait un réseau qui se contient dans une cellule globale, et non plusieurs électrons qui survolent la matière. Le concept de cellule globale vient unifier le sens que nous percevons des éléments électriques. D’abord, les électrons ne voyagent pas, mais la cellule électrique réagie en fonction de l’utilisation que l’on en fait.
Maintenant que nous avons élaboré le concept de l’espace recréé et le concept qui se « contient », nous sommes prêts à expliquer le comportement de la cellule électrifiée. Lorsque nous avons dit l’espace qui se recrée, il s’agit dans le cas de la cellule électrifiée, un circuit en parallèle d’un circuit électrique. Mais le concept ne s’arrête pas là. Le parallélisme est une espace recrée de la source et cible d’un circuit, ce qui permet de dire que la source est aussi un parallèle avec la cible. Ceci étant dit que sans l’espace recréé même un seul circuit ne pourrait pas fonctionner. La cible est dans la source, et la source est dans la cible, donc déjà unie. Ce qui est déjà uni n’est pas séparé et ne constitue pas un positif ni un négatif, donc n’est pas un contraire, mais ledit négatif et ledit positif se contiennent l’un dans l’autre. Restons avec l’idée que rien ne se sépare, ou ne se divise, restons avec l’idée que les éléments sont unis entre eux.
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