Les gens peuvent spéculer sur le symbolisme d’une clé, mélangeant « astuce » et « clé », mais cette clé dont je fais part dans ce document est incomparable aux « astuces » que l’on retrouve souvent dans l’industrie. Ou quelquefois encore, les gens mélangent « citation populaire » et « phrase clé »… encore là, cette forme de spéculation ne tient pas compte de cette réalité : les véritables « clés » sont rares, tandis que les citations abondent en grand nombre. Les véritables clés ont une présence infinie. Ce sont un sens recherché d’une loi, d’une science, etc.
La clé dont il est question dans ce document, c’est pour vous expliquer que parfois nous faisons du collage de bonnes choses, de bons textes, d’éléments de dessins, de bons comportements, etc., mais la clé ici, c’est que tous les éléments des collages ne sont pas utilisés pleinement. Encore pour que vous puissiez imagine la clé, c’est que parfois, nous n’allons pas au bout des choses, et comme pour un collage d’éléments de dessins, ces éléments devraient avoir une suite qui fait que tous les éléments du dessin se rejoindre, s’unissent.
Il est très facile de faire du collage, comme dans une église vous pouvez retrouver des passages bibliques par-ci par-là, mais en réalité ce collage ne garantit pas l’union de ces éléments. Par exemple, il faut qu’un passage biblique signifie beaucoup pour vous. Vous savez, c’est la même chose pour écrire un texte, il suffit que des idées signifient beaucoup pour vous, sinon vous ferez probablement que des collages d’idées, dont les idées elles-mêmes forme ce que vous appelez une harmonie… c’est comme un drapeau, un mur peint, ou des éléments de décoration, mais en fait l’harmonie véritable, ce n’est pas quand le texte est beau, c’est quand les idées qui ont servis à construire ce texte signifiaient déjà beaucoup pour vous, chacune d’entre elles. Et là, elles s’unissent lorsqu’elle signifie beaucoup.
C’est la même chose pour les assemblées chrétiennes, ou toute autre forme d’assemblée, que cela soit en politique, au travail, en famille, etc. les membres de votre assemblée doivent signifier beaucoup pour vous, chacun d’entre eux, car vous les unirez ainsi.
Retenez que pour que ces gens signifient beaucoup, il ne suffit pas seulement d’un sentiment profond venant de votre esprit… cela serait facile d’unir sinon, mais pour qu’ils signifient beaucoup, elles doivent s’étendre dans l’esprit de tous les membres de votre communauté chrétienne. Habituellement, cela est une tâche robuste, car il y aura des conflits et des buts égoïstes entre les membres. Voyez la FIGURE 1.1 ci-dessous pour que vous voyez le fond de la clé.
Remarquez-vous que le Schéma B de la FIGURE 1.1 est beaucoup plus joli que le Schéma A… En effet, c’est la même clé pour l’esthétisme. Je dois dire que même la couverture et le montage de ce document à l’heure actuelle, cette clé n’a pas été appliquée. Mais c’est que le but de cette présentation doit aussi évoluer. Les buts dans l’esprit des gens comme les membres doivent évoluer et sortir de leur nid.
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Comme expliquer à la section 1, même une fiche de règlements peut provoquer la division au sein d’une église, et c’est la même chose en politique, même une loi peut provoquer une division au sein de la population et jouer contre le gouvernement.
Effectivement, il est facile de faire le collage de clauses dans une loi pour un gouvernement ou un acte de foi dans le cas des églises, mais ce collage va diviser. Il est important que les clauses signifient beaucoup pour la population. Il est important que le gouvernement qui représente le peuple sache unir ces clauses et s’assurer qu’elle ait de la valeur dans le cœur des gens.
Certains voudront tout mettre sur le dos de Jésus Christ, mais quand le nom de « Jésus » devient un morceau du collage, le nom de Jésus est utilisé en vain. Et donc, vous ne pouvez unir en utilisant le nom de Jésus comme on utilise un parfum pour camoufler les mauvaises odeurs… ce n’est pas très aimable d’utiliser le nom de Jésus pour cacher le mal. Comme en politique ce n’est pas très aimable d’utiliser ce que la population trouve beau, telle la défense de la langue française, pour camoufler la malfaisance du mot « laïque » et vous en tirez en considérant la population comme une bande de naïf qui va l’accepter… prétextant que si le français est bien défendu, la laïcité est supposément bonne pour la population aussi ! [… idée de la laïcité conviée par M. François Legault, premier ministre du Québec]
Vous pouvez émettre des promesses sous forme de collage aussi, mais, voyons plutôt l’effet négatif du collage.
D’abord, le collage est le résultat de l’incapacité à unir, et donc il se veut que forcer à simplifier. Même ceux qui d’abord tiennent par exemple, la langue française à cœur, même cette idée est mal défendue. Car en bout de ligne, vous prenez des stratégies de « simplification » comme « être sélectif » dans le choix des immigrants. Ici, la simplification se veut de « limiter » quelque chose, et non pas de l’étendre. Il aurait été mieux défendu si le français était une langue de choix en science, par exemple. Encore là, la stratégie de certaines personnes est affectée par le collage. Il aurait été mieux de travailler sur l’influence de la langue française, comme d’en vanter les bienfaits comme Bernard Landry qui vantait la capacité des québécois à travailler en plusieurs langues, plutôt que de diviser les immigrants avec le Québécois.
Dans ces cas, le règlement divise, et n’unifiera pas. C’est la même chose pour la laïcité, c’est du style, choisissez votre camp ! Ou bien avec les Démons, ou bien avec Dieu… en bon français ! Ici, les symboles religieux signifiaient beaucoup pour des gens, tandis que d’autres veulent neutraliser et restreindre les valeurs apportées par l’église.
Mais cette neutralité, se convie à « réduire » les valeurs des Québécois, et non pas d’augmenter les valeurs des Québécois. Cela n’a été qu’un exemple décrit dans ces derniers paragraphes, relatif à la politique, cependant, il faut comprendre que les bijoux en forme de croix « identifiaient » une personne. Et donc, la charte actuelle des Québécois signifie une perte d’identité des Québécois et Québécoise, et donc la laïcité n’a pas été un progrès. Les règlements de compte en politique vont diviser la population : comme le règlement de compte d’interdiction de port d’objet religieux chez le fonctionnaire québécois établi par la Charte de François Legault. La laïcité divise les Québécois et les Québécoises. Comprenez-vous qu’avec cet exemple, les Chefs d’églises sont confrontés aussi aux mêmes perspectives, et aux mêmes défis que les politiciens ? Un Pasteur est un chef, et il a le devoir d’unir les chrétiens ensemble. Être sélectif, est une forme de simplification. Si vous cherchez des croyants, trouver d’abord ceux qui sont près de vous et dans votre Église, ainsi que ceux qui viennent vers vous.
C’est la même chose en politique, si vous voulez trouver de nouvelles valeurs… pour la Charte, donnez d’abord de la valeur à ce qui a marqué un peuple, plutôt que de mettre à la poubelle « Je me souviens » ! Si les souvenirs d’un peuple sont leurs valeurs, alors un politicien se doit de les assumer, et ne pas parfumer les défauts en utilisant en vain la défense de la langue française !
La qualité d’une clause est donc discutable, et il s’agit de faire en sorte aussi que les actes de foi chrétienne soient chacune d’une qualité exceptionnelle de sorte à rejoindre le cœur des gens et faire allumer comme l’huile fait, la bougie à l’intérieur de chaque personne.
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Dans un ordre d’idées, il est remarqué qu’entre chacune de ces idées, des personnes ont tendance à écourter leur progression. Comme nous pouvons aussi remarquer qu’entre chrétiens, bien qu’il soit recommandé par la plupart des croyants de mettre nos frères à l’épreuve, comme dit la Bible, cette tâche de mise à l’épreuve est parfois écourtée, et d’autres fois, trop allongée.
Dans le cas d’écourter, cela revient au même qu’un retardé dans une institution psychiatrique soit incapable de prolonger une réflexion, tandis que dans le cas de trop allongé, cela revient aussi au même fait qu’un créateur de site web de l’année 2000, ou comme une personne en psychose basée sur une théorie de complot isolé et inexistante, le fait de faire du collage rend la vérification de mise à l’épreuve prolonger, puisque le croyant ne trouve jamais satisfaction dans l’une vérification comme dans l’autre, ainsi la « satisfaction » ici est mise en cause.
C’est le même problème avec des gens qui croient tant qu’il soit satisfait, mais ne croie plus après que le ruban ait été fini d’être déroulé. Ainsi, on ne peut pas pouvoir être satisfait avec une idole, car leurs valeurs sont écourtées. Ces idoles sont l’œuvre de gens qui dans leur limitation ont créé l’aspect de dieux (faux) et ces dieux ne pouvant corriger les problèmes que vivent les gens tous les jours. Leurs écrits étant associés à de faux prophètes qui les ont divulgués, ces écrits sont aussi des collages aux aspects écourtés… ils veulent couvrir un vaste éventail de choses, mais leur représentation n’est pas significative de ces choses. Par exemple, le Dieu d’Israël est craint, lui, ce n’est pas une idole, car si tu as quelqu’un derrière toi qui te juges, tu fais attention, mais si c’est une idole reculée, qui est inerte, comme ceux qui disent « qu’ils croient en la lumière » comme les Jedi non chrétien, ce genre d’idole est inerte. Mais si c’est quelqu’un qui t’assiste dans ce que tu entreprends, comme le Dieu d’Israël, enseigné par la Sainte Bible, nous avons donc un guide actif, et non pas les écrits d’un gourou des temps anciens qui a spéculé sur la quantité de sagesse, méthodiquement humaine, et qui ne couvre pas tout l’ampleur du péché.
Le fait d’avoir un assistant, Dieu, qui t’écoute intérieurement et qui te suit, cela amplifie les bienfaits d’une personne, et modifie son comportement psychosocial. Et aussi, le fait de ne pas écourter la signification des sagesses et des vertus de la Sainte Bible permet aux croyants que ces valeurs se rejoignent et cela lui donne la possibilité de dire du contenu intéressant.
C’est la même chose pour les affaires politiques concernant la langue française, si M. François Legault, de la CAQ, et le Parti Québécois veulent que les étudiants en classe aient du contenu dans leur examen de français, et en faire des pros de la rédaction, et ainsi valoriser la culture française par une signification profonde des choses… ce que la religion et les croyances en Jésus Christ permettaient d’établir dans la vie des gens d’autrefois, il faudra que ces partis politiques visent « fidèlement » une appréhension aux mœurs et aux cultures qui ne laissent pas d’idoles. Comme il aurait été plus valorisant si la Charte avait interdit les idoles au lieu de tout bannir… comme si la religion n’apportait rien selon les dires de M. François Legault. Je présume ici que pour bien faire, il faudrait qu’il se reprenne en interdisant les idoles, et non pas les signes de foi en Jésus Christ et au Père Éternel, qui eux sont des dieux qui unissent, et qui engendre la signification profonde des mœurs et de la culture québécoise, faisant ainsi des élites dans l’écriture, au lieu de faire des élèves en classe des ignorants. Où peut amener la foi aux mœurs de nos ancêtres ? On ne refera pas une culture !
Ainsi, les comportements écourtés peuvent être résolus quand les choses sont significatives : la liste de chanson du monde dure un petit temps, tant qu’ils sont au palmarès, mais les louanges chantées à l’Église, eux c’est le bonheur et la paix qui dure, même si on passe d’une chanson à l’autre. C’est là tout un monde de différence. Je ne dis pas de rien savoir de la musique du monde, je dis seulement qu’un jour comme le Shabbat à l’Église, remémore les instants de bonheur et fait durée ces souvenirs de notre vie qui sont attachés à nos instants de bonheur. Ainsi, la culture, c’est aussi la mémoire de ce qui tient éveillées nos passions pour la vie. Voir la FIGURE 3.1 pour mieux comprendre ce point de vue.
Et il en tient que les thérapeutes et psychiatres donnent des éventails de bons comportements à adopter, mais cela ne remplacera pas une culture généralisée qui se remémore longuement, et non pas écourté, les valeurs et le savoir d’une bonne société autonome avec ces mœurs et sa culture.
La FIGURE 3.1 montre qu’en fait en s’insérant une routine comme celle du Shabbat, cela permet aux croyants d’obtenir une mémoire pour les valeurs courantes. Ainsi, s’il avait été véhiculé ce mode d’éducation avec le devoir religieux, les étudiants en classe auraient eu une meilleure mémoire, et il y aurait eu moins de cas de trouble de déficit d’attention, puisque si la mémoire des événements religieux permet de rester active dans le temps, cela aurait eu un effet bénéfique, cela aurait donné des points de repère dans le temps aux étudiants. Évitant du même coup de faire tomber malade ceux qui ont une mémoire sujette à l’Alzheimer.
En revisitant, ou en refaisant ressortir des éléments de sa mémoire, le fond d’idées devient croissant, la créativité augmente. Certains diront, « as-tu testé cela ? ». S’il avait fallu tester l’évidence même, on en serait tous avec les conclusions des athées « Dieu n’existe pas ». Le mot « évidence » veut dire « preuve » en anglais, donc pourquoi chercher la preuve de la preuve ? Encore là, l’écourtement de ce que signifie une preuve peut mener à la dissolution de la science même. Cette science n’est donc pas éternelle, et comporte cette faiblesse.
Mais le croyant s’efforce d’attribuer de la valeur à l’idée que la mémoire de comment Dieu nous a pris par surprise dans notre vie, nous a marqué, et parce que ces événements nous ont marqués, nous nous sommes souvenu d’avoir été né de nouveau avec la foi en Jésus Christ. Nous nous sommes souvenus que l’être qui nous a le plus marqués, c’était celui qu’on cherche, l’Éternel. Et si nous cherchons aussi la foi, cette mesure (« chercher ») constitue la foi en elle-même, car nous avons trouvé, et nous l’avions oublié, mais en la cherchant, nous nous sommes remémorés nos sentiments et nos valeurs que nous avions amassés sur le chemin. Nous nous sommes souvenus que nous étions pécheurs et ce fut un moment de trouver celui, l’Éternel, qui nous a transformés.
La FIGURE 3.1 montre que dans le Schéma B, il sera beaucoup plus facile de se recueillir avec le Seigneur, transporter ces valeurs, et les laisser agir comme agent de simulation sensoriel de nos sens. Ainsi, en bon français, cela signifie que plus nous mettons en pratique ce que nous avons appris, comme l’enseigne l’Église, plus nous faisons évoluer notre mémoire. Ceux qui attendent le train encore pour faire revenir leur mémoire comme au Schéma A, ils attendront encore trop longtemps, et ils perdront… ils finiront par se perdent. Par contre, ceux qui mettent en pratique ce qu’ils ont appris, ces gens-là sont gagnants, comme les chrétiens qui consultent et se recueillent dans le Seigneur aussi souvent que possible, ces gens-là connaissent la valeur de leur acquis, connaissent que c’est le seigneur qui a mis ces connaissances sur leur route, et n’ont pas dédains d’avoir appris ceci ou cela… si ces connaissances sont en règle avec la volonté du Seigneur.
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Cette nouvelle clé de la gestion est beaucoup plus large en réalité que ce qui a été présenté dans ce document. Évidemment, il faudra que vous y réfléchissiez. Et, de plus, unifier les gens est encore un défi, mais au moins vous avez une piste.
Il faudra retenir que nos collages sous la forme quelle qu’ils soient, ces collages divises et ne permettent pas d’utiliser le plein potentiel de quelque chose. Il faut étendre le potentiel des choses, et non simplifié leur utilisation.
L’erreur, c’est d’intégrer des éléments qui ne sont pas utilisés à leur plein potentiel. Nous le voyons que l’industrie prend du recule aussi, surtout l’industrie du Web, avec des graphiques simplifiés, donc même l’industrie se rend compte que les collages du passé ne permettaient pas d’atteindre un haut potentiel. Mais cette simplification est considérée comme un « recul » de l’industrie du Web, et non pas de l’avancement ! Dans ce sens, psychologiquement nous attribuons des bienfaits, mais il aurait été mieux de trouver comment unir ces accessoires graphiques. Nous pourrions mentionner beaucoup sur les reculs de l’industrie en général quant aux accessoires non durables par bris auquel il s’agit en ce moment. À revoir !
Évidemment, je prie pour que M. François Legault, premier ministre du Québec, pour qu’il voie tout le potentiel de cette clé de gestion avancée qui selon moi permet de mieux positionner les idées d’avenir du Québec, et surtout de mieux défendre la langue française, en démontrant tout le potentiel scientifique de cette langue.
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