No 2 - M. L’égo, un parti et son péché

Cette « Politicolettre », envoyée à des politiciens de l’Assemblée nationale du Québec, à des politiciens du Parlement du Canada et à des médias favorise une approche par la dénonciation des comportements brutaux, comme aller à la course, que M. L’égo plonge, comme dans une affaire aussi scandaleuse que de verger sur le crucifie de l’Assemblée nationale. Autant la politicolettre défend le fait que le port d’un objet religieux est pour la protection de celui qui le porte, autant nous pouvons conclure que ce besoin de sécurité des fonctionnaires et des citoyens n’est pas comblé à cause des gestes et comportements obscurs de M. L’égo vis-à-vis le Seigneur Jésus. Nous ne pouvions pas non plus nous empêcher de parler d’autres sujets comme « Facebook, détrônable ? Certes que oui… », des sujets comme l’arnaque de l’OPIC (Office de la Protection Intellectuelle qui actuellement agit sous la direction du Parti Libéral du Canada et qui charge des frais sans nécessité, car le Traité de Paris (1763) couvre déjà une majeure partie des pays (plus de 125) à propos des droits inclus avec les taxes de base d’un brevet.