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Matheus - Le pouvoir des symétries

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Le pouvoir des symétries


Pouvoir des symetries
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Le pouvoir des Symétries
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Mise à jour : 2014-03-05

Créé le : 2012-09-20

Type : Document





1. Introduction

Les symétries ont été découvertes par l’auteur après un rêve. L’auteur s’est rendu compte du pouvoir que les symétries exerçaient sur le monde, la nature, et les phénomènes de la physique. Mais ici il est question de se pencher sur son pouvoir sur la sagesse qu’il peut générer. Son principal pouvoir expliqué dans ce document est celui qui avec une parabole du Christ permet véritablement comprendre le sens de cette parabole (le bon arbre et le bon fruit), et en même temps démontré que ce qui est pur détruit le mal.

Dans ce document, il est question d’expliquer concrètement le véritable sens de la parabole de la Bible « Mathiashieu 7, verset 16 à 20 », Jésus amène la conclusion « C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez ». Ainsi nous vous montrerons que cela est vrai et a un sens très profond avec les symétries. Lorsque vous saurez par sagesse et non nécessairement par motivation pour une religion, seulement par sagesse, vous saurez comme moi que lorsque quelque chose est bon comme un arbre qui donne de bons fruits, c’est parce que l’arbre est bon. Et vous saurez aussi que par sagesse que les paraboles du Christ sont toujours aussi bonnes et encore plus riches de sens en utilisant comme outil d’analyse, les symétries. Ainsi, la sagesse véhiculée dans ce document est de bonne foi. Le but ici est de vous montrer ce que vous pouvez faire avec les symétries.

Le pouvoir des symétries est de d’abord tenter de trouver une faille dans ce qui est pur, et ensuite d’élaborer une sagesse qui compense pour cette faille. Vous verrez que nous pouvons enrichir même les écrits du Seigneur Jésus. Ainsi l’important ce n’est pas la faille, c’est de vous montrer que le fruit d’un bon arbre est bon parce que l’arbre est bon. Nous conclurons aussi par cette parabole du Christ que ce qui est pur détruit le mal.

Ce document comporte aussi d’autre sagesse qui aide à comprendre le pouvoir des symétries.


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2. Les intrusions symétriques

Vous connaîtrez maintenant des notions d’intrusions qui ne sont pas mals, mais qui scientifiquement vous permettent de vous introduire dans la vie d’une personne ou de vous faire accepter d’une organisation par exemple.

L’intrusion avec la symétrie est toujours bonne et vous permet de bien vous faire accepter socialement par la société qui vous entoure.

L’intrusion partielle :

Cette forme d’intrusion est générée ainsi :

  • Lorsque vous vous présenter devant une personne ou un responsable d’une organisation, vous devez montrer que vous le connaissez ou connaissez cette organisation duquel la personne fait partie.
  • Ensuite votre enthousiasme positif ou négatif jugera cette organisation.
  • Mais ce n’est pas tout, il faut que la personne accepte votre jugement : ainsi est un exemple d’intrusion, vous obligez l’autre à accepter quelque chose de vous qui est ici votre jugement dans cet exemple, mais vous pourriez employer la même méthode pour d’autres choses.

L’intrusion réversible :

Comme décris à l’intrusion partielle ci-haut, nous pouvons s’introduire. L’intrusion réversible se fait comme suit :

  • Si vous envoyer une question à quelqu’un, vous lui donnez la chance de vous répondre.
  • Mais l’intrusion réversible n’est pas faite par celui qui pose la question, elle est fait par celui qui donne la réponse.
  • Cette méthode est utilisée quelque fois par des gourous expérimentés qui peuvent l’utiliser pour faire une intrusion dans un but dit religieux.
  • En posant une question, vous donnez une information sur ce dont vous êtes ignorant.
  • Donc, pour faire une intrusion réversible, il suffit de pousser la même question vers quelque chose de plus profond.

L’intrusion du réel :

Cette forme d’intrusion peut être utilisée pour guérir des malades mentaux ou des gens ayant des troubles de comportement. Voilà comment ça se passe :

  • Si en utilisant l’intrusion réversible nous pouvons ajouter de la profondeur à une question, alors nous pouvons aussi ajouter de la profondeur à une information incomplète.
  • Ainsi, si quelqu’un dit quelque chose qui n’est pas tout à fait vrai, nous pouvons ainsi poursuivre cette information erronée en ramenant le sujet vers la source du mensonge.
  • Ceci est en fait une symétrie de l’erreur sur ce qui cause l’erreur.
  • Au lieu de contredire une information erroné, nous faisons ressortir vers quoi elle pointe, c’est-à-dire que l’erreur par définition pointe toujours d’où elle provient. Elle provient d’un fragment de la réalité et non la réalité tout entière.

Pour vous donner un exemple de cette forme de symétrie : lorsque Jésus a dit « Père, pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font », nous aurions pu trouver la faille « Un seul avait raison, puisqu’en réalité l’humain s’il se trompe, c’est parce que quelqu’un de méchant (le diable) les a induits en erreur, et tu leur a rappelé tout bonnement cette erreur, en disant que l’homme avait le péché avec lui ».

Ici il faut comprendre que la symétrie est de voir que si nous ne faisons aucun filtre, nos erreurs paraîtront dans ce que nous faisons.


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3. La symétrie des choses

Nous pouvons observer combien de choses ont des rapports symétriques. Tel que même la taille commune des espèces et des choses sont aussi relié à une forme de règle appliquant la symétrie entre ces choses.

Combien nous pouvons aussi se ressembler et savoir combien aussi dans les moindres détails il existe une symétrie qui s’applique sous forme de règle. La symétrie n’est pas seulement une mathématique qui applique une copie miroir de quelque chose, c’est une science qui applique une règle, car en réalité une règle est une copie d’une action qui précède sur une action. Ainsi nous pouvons fusionner des règles, créer une chimie de règles en science, en philosophie, en sagesse, en politique, etc.

Ainsi Jésus disait « Payez à César ce qui est à César ». Cela a une faille. L’impôt n’est pas créer par césar, et l’argent non plus. César appliquait une règle dans une règle transactionnelle. Ce qui fait que la fusion de la règle de payer de l’impôt vient ajouter de la valeur à César. Mais ceux qui crée les surplus (impôts), ce n’est pas César, c’est l’économie généré par la population.

La faille est survenue chez l’humain en pensant que c’est le gouvernement qui crée toutes les richesses, ainsi le peuple a eu une attente de recevoir du gouvernement plus que ce qu’il a payé en impôt. Mais le gouvernement offre des services (essentiels), et c’est une dépense et non une source de richesse. Donc, le peuple avait une attente économique envers César et l’Empire Romain, ce qui a mis fin à l’amour pour l’Empire Romain puisque les attentes étaient au-dessus des moyens de l’Empereur Romain.


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4. La correspondance parfaite

Jésus a dit : « À la place de lui donner du poisson, montre lui a pêché. » Cela semble purement inoffensif et paraît très instructif, mais cela contient ironiquement une faille en appliquant les symétries.

Ce que le métier enseigne, c’est qu’il faut acquérir de l’expérience dans son métier pour devenir bon, donc le métier en tant que tel ne s’apprend pas à l’école. L’école sert à préparer à l’apprentissage d’un métier, car le métier c’est « ce que l’on fait, ce que l’on crée comme richesse ».

La parabole de Jésus avait une faille, et en disant d’apprendre aux autres à pêcher, il a simuler que tout pouvait s’apprendre. Par conséquent, les humains veulent apprendre comment aimé le sexe opposé, et ils finissent par voir l’échec de leur apprentissage, car l’amour ne s’apprend pas, ça se ressent. C’est un sentiment, on ne peut pas mémoriser un sentiment ni le reproduire artificiellement, c’est ainsi de même que pour un métier, c’est le sentiment d’aimer ce que l’on fait, et non le sentiment de subvenir à ses besoins fondamentaux. Ce pourquoi ce n’est pas tout qui s’apprend, puisque nous ne pouvons pas avoir le sentiment d’aimer tous les métiers.

Ainsi, pour aimer le sexe opposé, il suffit de faire l’ignorant, parce qu’en réalité nous sommes ignorant au départ dans une relation amoureuse. L’apprentissage prématuré, c’est de vouloir faire vieillir sa relation, car en faisant vieillir sa relation amoureuse, c’est la fin qui arrive, c’est la rupture.


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5. La symétrie relative vs la symétrie hiérarchique

La symétrie relative est l’œuvre d’Einstein (j’ai baptisé l’œuvre d’Einstein la « symétrie relative »), mais en réalité c’est la « symétrie hiérarchique » qui est la bonne.

La symétrie relative fait en sorte que dans son concept de calcul de l’énergie, elle intègre 2 variables que l’on peut cueillir par des résultats de manipulation, dont la « masse » et la « concentration ». La symétrie relative est en réalité un segment de la symétrie hiérarchique, mais elle brise la hiérarchie parce que l’on croit la masse et la concentration comme 2 indicateurs égaux.

En réalité, la symétrie relative force l’égalité, et c’est en plein l’erreur d’Einstein. Comme la masse et la concentration sont en fait des variables inégales, nous ne pouvons pas les joindre autrement qu’avec la symétrie hiérarchique seulement.

Einstein ignorait que l’énergie a un centre hiérarchique. Le centre hiérarchique de l’énergie est créé par une valeur qui est inégal par rapport à l’autre. Plus précisément, ce concept descend de la théorie de l’évolution fait par l’auteur. La force de l’énergie doit être calculée en faisant la différence entre le plus faible et le plus fort. Ce sont ces 2 indicateurs qui créent une différence, donc qui crée une valeur. Car pour créer une valeur, nous devons avoir une différence de 2 éléments.

Einstein a manipulé les chiffres en annulant cette différence, ce qui lui a donné la variable de l’énergie « E ». Dans une équation mathématique, il n’est pas possible de conserver une différence. Hors de tout doute, si vous prenez « E = a – b », vous annulerez la différence en remplaçant « a » et « b » par des valeurs. Donc, la différence s’annule.

Ainsi, la différence est le principe de hiérarchie, car l’une monte et l’autre descend et ainsi de suite. L’énergie est ainsi, l’un des facteurs l’utilise et épuise cette énergie et puis un autre facteur fait augmenter cette énergie. Dans ce sens, les sources même de l’énergie sont infini parce qu’elle peut constamment recharger l’énergie, et les pertes sont calculés donc non infini, les pertes sont fini.

Voilà comment nous appliquons la symétrie ici, c’est qu’en réalité que pour qu’il ait de l’énergie « E » il aurait fallu qu’il y ait une source inégalement plus élevé que son utilisateur. Donc, il n’y a pas de relativité, la symétrie relative met les scientifiques en erreur, parce qu’au lieu que ces scientifiques s’intéresse aux sources (aux profondeurs), il s’occupe du résultat instantané (après l’utilisation fait de l’énergie).

L’énergie est toujours hiérarchique, la symétrie hiérarchique enseigne que la différence entre quelque chose crée un axe pointant vers le haut et un axe pointant vers le bas. La hiérarchie est une « symétrie » ayant un bas et un haut.

La hiérarchie fait partie de la symétrie puisque contrairement à la relativité, au moins il y a un sens, l’un est plus grand que l’autre, alors qu’avec la relativité ni l’un ni l’autre est grands ou petit, donc il n’y a pas de sens avec la relativité. La relativité tue le sens.

Il sera important de toujours conservé le sens pour que la symétrie soit bonne. Jésus avait créé cette faille lorsqu’il dit « Aimer vous les uns les autres », nous pouvons voir que la faille est que le sens a été enlevé. Ni l’un ou l’autre est source d’amour, dans une relation il y a toujours quelqu’un qui attire et l’autre vient vers cette personne. Il faut que la personne soit attirante. La faille est de croire que l’amour (énergie infini) devait automatiquement être utilisé sans que l’attirance joue un rôle important. Le sens d’aimer, c’est que cette amour doit servir à quelque chose d’utile pour ne pas le gaspiller, ainsi c’est en sollicitant l’amour sans attirance que l’on empêche la source de se recharger, car comme l’électricité, pour qu’il y ait circulation du courant électrique, la cible attire la source. Ainsi doit être l’amour. Tuer le sens de l’amour revient à dire aux gens d’aimer n’importe quoi même ce qui n’a aucune attirance.

Dans la vie, nous faisons des choix, c’est choix sont notre liberté de vivre, et lorsque nous devons répugner certaines personnes et ne pas les aimés, c’est notre liberté qui parle.


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6. La symétrie de l’humeur

Cette symétrie permet d’atteindre le niveau optimal de l’humeur, donc permet aux gens de mieux profiter de leur capacité à ressentir et montrer une bonne humeur. Voilà comment ça se passe :

  • Il existe le centre matériel de l’être qui est son cerveau, mais l’humeur n’appartient pas à ce centre matériel. L’humeur se situe dans l’âme. Ceci sera votre première découverte de votre âme.
  • L’âme amplifie le centre matériel, car l’âme permet de juger une bonne et une mauvaise situation. Vous serez de mauvaise humeur si votre âme décide de faire l’inverse d’amplifié, ce qui signifie que vous êtes absorbés en quelque sorte par des événements qui vous dépasse.
  • Si l’âme décide de faire l’inverse d’amplifié, il faut que cela nous aide à porter un jugement. Souvent les gens ne juge pas parce qu’ils croient que l’humeur a déjà fait ce jugement à notre place. Évidemment, l’humeur attend que la personne juge, et votre humeur demeura ainsi tant que vous ne jugerez pas.
  • Ainsi, même si vous êtes de bonne humeur, il faut juger pareillement, soyez ainsi à l’écoute de votre âme.
  • L’âme donne un sens, le sens du jugement.
  • L’âme attend que l’on la nourrisse aussi en exerçant les fonctions de votre pensée en fonction des projections qu’elle vous donne. C’est un bon exercice de fonctionnement d’être à l’écoute de son âme. Faire cela consiste à nourrir la bonne humeur qui l’autre bonne humeur, c’est l’humeur de l’âme. Ainsi pour continuer à exercer des bons jugements et être en bonne santé mentale, si l’humeur de l’âme est amplifiée par le fait que vous êtes à l’écoute de votre âme, alors vous obtiendrai une meilleure marge de bonheur.

Jésus a créé une faille sans le savoir en créant la thèse du jugement dernier, qui est une thèse, je le répète. Une thèse est une histoire qui exerce un pouvoir sur votre humeur. Ainsi, vous trouverez que votre humeur montre et redescend, continuellement, et en parlant du jugement dernier, vous laisser l’histoire juger à votre place, et ce n’est pas vous qui juger l’histoire.

Ainsi est la faille, cela a pour conséquence que ça soit l’histoire humaine qui exerce un jugement sans que vous interveniez dans cette histoire. Ainsi comme le disait Einstein, « l’humain ne sera pas détruit par ceux qui font du mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ». Au moins, Einstein a eu plus raison sur ce sujet que la relativité.


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7. La liberté symétrique

Bien que l’usage du mot « liberté » soit répandu, il reste encore beaucoup de chemin à faire pour atteindre la vraie liberté qui est la liberté symétrique. D’abord la liberté au sens général se définie comme étant une permission accordée.

Mais la liberté symétrique se définie différemment puisqu’il ne s’agit pas d’obtenir l’accord de quelqu’un ou de la société. La liberté symétrique est le mouvement perpétuel d’une action. Ainsi, si l’on peut répéter sans cesse une action, nous avons une liberté.

Voici comment nous atteignons le mouvement perpétuel, qui est la liberté symétrique :

  • Faire un vœu de répéter seulement que ce qui apporte un plus dans notre vie. Donc, la répétition non essentielle doit être retirée de ce que l’on projette faire.
  • S’entendre de causer que de bons actes ayant un sens. Donc, le non-sens doit être retiré de nos actions libertines.
  • La liberté symétrique devient une forme de règle vu les 2 paramètres précédents. Ainsi c’est la vraie liberté parce que c’est une règle qui intrinsèque parfois doit devenir extériorisé sur le monde pour que la liberté soit exprimée.
  • Ces mots ont un grand pouvoir puisque lorsqu’il s’agit d’exprimer une règle vers l’extérieur, c’est comme si c’était vous qui faisiez la règle et non quelqu’un d’autre à votre place.
  • Ainsi est la liberté symétrique, l’on doit arriver à émettre ses propres règles et qu’il soit entendu que l’on les respectera seulement parce que vos règles ont du sens.
  • Ainsi est la liberté symétrique, c’est notre moi intérieur qui voyage vers d’autres horizons, vers d’autres pensées, vers d’autres qui ne faisaient pas partie de son moi.
  • Ainsi est la liberté symétrique, c’est la liberté de toucher au monde extérieur sans le blessé sans l’abîmer, juste le rendre meilleur avec ce que l’on croit de mieux.


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8. Le pouvoir

Après vous avoir initié à la symétrie, c’est à partir de ce point que commence la véritable notion de pouvoir. Le pouvoir est une stratégie en tant que telle. Le pouvoir n’est pas formel. Le véritable pouvoir est une influence stratégique et non législative. Les gouvernements n’ont pas tous le même pouvoir sur la société, et cela prouve que le pouvoir n’est pas une formalité dans une loi quelconque.

Donc, la notion de pouvoir doit être comprise avec la symétrie pour que les gens arrivent à créer des actions symétriques capables de rendre une opinion stratégique puissante.

Les Anges dans leur nature (ce que suppose l’auteur) ont un pouvoir avec la symétrie qui dépasse le cadre légal. Ainsi, le véritable pouvoir est celui qui dépasse le cadre légal, car le véritable pouvoir est celui qui est capable de mettre en place la loi.

Les Anges dans leur nature sont capables de gérer les dilemmes autrement qu’avec la fonction légale. Puisque si vous arriver à régler votre dilemme avec un pouvoir au-dessus de la loi, c’est que votre influence stratégique vous permet de corriger les défauts des lois où les omissions par rapport à ce que vous avez réellement besoin.

Le pouvoir avec la symétrie s’applique ainsi :

  • Vous trouvez que le contexte est approprié pour exprimer un besoin par rapport à votre statut actuel. Votre statut est celui dont vous avez hérité et il vient temps d’augmenter ce statut. Ainsi, vous avez un dilemme, celui de l’égalité.
  • Ce n’est pas parce que l’on vous assigne à quelque chose que l’on doit vous délaisser continuellement à faire cette tâche. Ainsi, vous avez un autre dilemme, celui du changement.
  • Avec votre enthousiasme, vous arrivez à vous faire aimer et apprécié par vos collègues, confrères, amis, voisins, et votre famille, mais cela ne suffit pas, vous aimeriez recevoir de la reconnaissance pour ce que vous faites de bien, et c’est votre autre dilemme, celui de la gratitude.
  • Tous ces dilemmes précédemment énumérés ne font que vous empêchez d’avancer.
  • En réalité, le pouvoir ne vient pas avec ce que les autres vous apporteront, il vient avec ce que vous apportez de meilleur aux autres.
  • Ainsi est la véritable notion de pouvoir. Ce que vous ferez de mieux, il vous faudra le partager pour que vous arriviez à atteindre un grand pouvoir, celui de devenir maître.
  • Le maître prépare sa stratégie de pouvoir en fonction du mieux que l’on pourrait donner aux autres. Les véritables grands politiciens sont ceux que les gens ont le sentiment qu’il pourrait offrir mieux non par rapport aux autres candidats, mais par rapport aux contextes de la société.
  • Ainsi, si vous voudriez du pouvoir, il vous faudra vous préparer à offrir mieux de ce que les gens reçoivent déjà.
  • Votre pouvoir peut être partagé à quelques personnes de votre entourage et cela peut vous suffire, plus vous voulez grand plus il faudra vous préparer à offrir grand.
  • Ainsi est le véritable pouvoir que les Anges ont dans leur société (présumé par l’auteur), car les Anges ne réfléchissent pas pour commettre des coups ou des méchancetés, ou ne perdent pas leur temps sur des trucs inutiles, ils s’investissent continuellement dans la capacité d’offrir mieux aux autres. Sans vouloir nécessairement de position en politique. Le mieux est ce dont la société a besoin. Ainsi, au lieu d’offrir le minimum légal, n’offrez pas plus de quantité, parce qu’au fait, mille fourmis ne vaut pas un dinosaure, mais offrez mieux en qualité.
  • La qualité est l’influence stratégique que les organisations, les individus, les politiciens utilisent pour construire leurs argumentations ou leurs produits ou services.
  • Les Anges (selon l’auteur) apprennent continuellement dans la nature de leur travail, et c’est la qualité des maîtres, c’est ainsi qu’il ne s’agit pas seulement d’être capable de transmettre, mais aussi d’en tirer un profit intrinsèque pour être capable d’offrir encore mieux la fois suivante. D’où aussi la symétrie d’offrir en récoltant en même temps !


Figure 1 – Symbole de pouvoir : le trident, utilisé par les dieux des mythologies romaines et grecques


Figure 1 – Symbole de pouvoir : le trident, utilisé par les dieux des mythologies romaines et grecques


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9. Le pouvoir de la satisfaction

Le pouvoir de la satisfaction est en réalité une grande appréciation de la vie. Car la vie peut parfois être très exigeante, mais la satisfaction est le point d’équilibre entre ce que l’exigence est et ce que l’on en retire.

Ainsi est comment nous obtenons le pouvoir de la satisfaction :

  • Le travail de l’humain n’est pas seulement d’arriver à ses propres besoins fondamentaux, mais aussi de créer un profit.
  • Ainsi, la satisfaction c’est d’obtenir son profit et non de décider de la quantité de travail qu’on a eu à faire pour obtenir ce profit.
  • Ainsi, la satisfaction est de corriger la nature même de son travail pour qu’il soit profitable. La satisfaction permet donc d’ajuster son travail pour qu’il génère un travail profitable, et, par ce, nous ne limitons pas le profit en tant que tel s’il est réalisable avec les ressources dont nous disposons.

Jésus a créé de bonne chose, mais il a une faille dans la façon qu’il a modifié la nature du travail chez l’humain pour que celui-ci focus seulement sur le profit plutôt que la nature de son travail. Ainsi, lorsque Jésus a multiplié les pains et les poissons, il a montré à l’humain le travail en série, voir que le profit pouvait s’obtenir en travaillant à la chaîne. L’humain a voulu par ses propres moyens éventuellement reproduire l’œuvre de la multiplication selon ses propres moyens en générant des quantités de mêmes éléments. Ainsi devint le travail de l’humain, au lieu d’être satisfait, il s’est empiffré. Son travail ne produisait plus de la rareté (richesse naturelle), il produit des grandes quantités de mêmes éléments pour ses besoins fondamentaux. Ainsi, ce n’est plus de la rareté qui est produite, ce sont des éléments qui répondre à des besoins fondamentaux. Car le symbole de rareté, c’est le profit, ainsi les gens ne profitent plus de la vie à cause de cette faille, les gens subviennent à leurs besoins fondamentaux. Même les riches n’en profitent pas plus, car les produits sur le marché son fait pour répondre aux besoins fondamentaux. Le sens d’avoir des besoins dit superficielles c’est ce qui créait la vraie rareté, le profit chez l’humain.

En appliquant une symétrie sur ce que Jésus a fait, nous découvrons que cela créé aussi la faille qu’en apprenant à l’homme de faire de grande quantité à la fois, l’humain a oublié d’en faire des différends, des produits aux qualités extraordinaires, répondant à des besoins extraordinaires.

L’humain juge non rentable de produire certains biens, mais il fait erreur, le surplus doit être utilisé pour produire des produits extraordinaires même si ce n’est pas rentable, car c’est en réalité un surplus. Et le pouvoir de la satisfaction, c’est aussi savoir où s’arrêter, car en produisant le maximum, vous n’avez pas une attitude à savoir où les choses doivent s’arrêter.

Dans la nature, les plantes et leurs fruits ont des vertus. C’est ainsi que doit se faire le travail de l’humain, il doit y avoir différentes vertus pour des produits différents. Ainsi, même dans la nature, si l’on prend l’exemple d’un champ de maïs, certains grains produiront de meilleures plantes. Dans la reproduction d’une espèce, c’est la même chose, des êtres auront des qualités extraordinaires par rapport aux autres. Si l’environnement de travail était conçu pour profiter des vertus différentes des travailleurs, nous aurions du véritable profit qui est au-delà des besoins fondamentaux.


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10. La nature du pouvoir

De son origine, le pouvoir provient de la nature. La nature aussi généreuse soit-elle, exerce un pouvoir sur les êtres qui cohabite dans cette nature. Mais chez les Anges, l’auteur présume que le pouvoir vient de l’être absolu, Dieu, étant donné que Dieu accompagne les anges. Donc, ce n’est plus la nature (l’œuvre) qui a le pouvoir, c’est la divinité.

Ainsi, la véritable nature du pouvoir n’est pas dans l’œuvre, il est dans la divinité Dieu. Il faut faire la distinction entre accorder du pouvoir à une chose (qui est l’œuvre) et accorder du pouvoir à un être suprême.

Donc, le pouvoir a une source, et cette source est la véritable nature du pouvoir. Ce document n’est pas seulement spirituel dans le sens de la sagesse, il est aussi scientifique. Et ce pour quoi, nous parlons de Dieu, ce n’est pas pour vous faire croire, c’est pour vous expliquer la différence entre accorder du pouvoir à la chose et accorder du pouvoir dans l’être.

Si le pouvoir de Dieu disparaissait, par exemple si Dieu n’était plus adoré comme il est supposé d’être, alors le pouvoir se dissiperait. Je vous explique. Imaginez que l’on inverse le pouvoir, c’est-à-dire que l’on accorde du pouvoir à l’œuvre, l’objet. Mais Dieu ne vaut-il pas plus que l’objet ? Ainsi, ce n’est pas l’œuvre qui donne du pouvoir ni Dieu directement, c’est le sens qui donne du pouvoir. Si le sens du pouvoir est vers Dieu, les êtres s’élèvent, si le sens est vers la chose, les êtres s’abaissent en dessous de la chose.


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11. Le sens de la perfection

La perfection peut être atteinte avec la symétrie. La symétrie est une forme de perfection en tant que telle. La symétrie donne de la perfection, mais simplement que la perfection des êtres n’est pas seulement d’enrichir ce dans quoi ils soient meilleurs. La perfection, c’est d’atteindre une rareté. Ainsi nous sommes parfaits selon la rareté que l’on est capable de produire.

La perfection est aussi la pureté. Comme il n’est pas rare de voir des impuretés, nous ne pouvons pas retrouver la perfection dans tout. Car, simplement que la perfection est reliée à l’identité d’un être, ce pourquoi la rareté est ce par quoi les êtres arrivent à s’identifier. Comme nous ne retrouvons pas la perfection dans tout, cela laisse la chance aux êtres de pouvoir s’identifier et se distinguer les uns des autres. Puisque nous pouvons aussi atteindre la pureté, cela laisse la chance aussi aux êtres d’équilibrer leur niveau de pureté pour se fonder une identité propre. La pureté c’est aussi d’équilibrer nos besoins, de répondre à différents besoins dans la société. Ainsi, la pureté est justement le meilleur équilibre.

La perfection est aussi donnée par son sens. Le sens de la perfection c’est d’être capable de donner le mieux en fonction des besoins des êtres. Les être dans leur équilibre symétrique peuvent donner plus que les besoins, ainsi cela est le sens réel de la perfection, car le défaut c’est imaginer l’équilibre. L’équilibre n’est pas une mesure, mais la perfection se mesure puisqu’elle répond à un idéal. Lorsque l’on atteint l’idéal, c’est d’avoir atteint plus que ledit équilibre, c’est d’avoir atteint une perfection, quelque chose qui nous aide à nous identifier au-delà des attentes. La perfection c’est le centre de toute chose. Au point centre (utilisant la symétrie), nous sommes des êtres de haut niveau. Et comme est la nature du pouvoir, le haut niveau est le pouvoir.

Ainsi est le sens de la perfection, c’est d’atteindre un haut niveau. Au-delà du juste milieu qui est facile, la perfection se situe à un niveau supérieur.

La perfection ce n’est pas de l’excès, c’est de la pureté. Le haut niveau c’est la qualité d’un être, n’est-ce pas par nos qualités que l’on arrive à s’identifier ? Ainsi, plus nous avons atteint des hauts niveaux dans notre vie, plus nous sommes un être reconnu pour ses qualités. Ainsi est aussi le sens de la perfection, c’est de créer sa personnalité.

Étant capable de créer sa personnalité, les défauts en font-ils partie de cette personnalité ? Vous découvrirez que le défaut est un bas niveau, et des bas niveaux sont faciles à reproduire, donc les défauts n’identifient pas un être, les défauts sont comme dire de la poussière qui traîne sur le sol. Seule la qualité identifie un être, seule la qualité est appréciée, et comme est le sens de la perfection, nous devons toujours nous diriger vers le haut et non nous attarder à conserver ce qui est bas.


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12. La puissance : une forme de magie

La symétrie permet aussi de faire croître ses performances au-delà de ce que la réalité logique permet de faire. Ainsi, nous appellerons « magie » ce qui est au-delà de la réalité logique. Juste pour dire que la logique ne suffit plus.

Il vint un temps où les êtres sont en accord que la logique aide à comprendre et à exécuter certaines tâches. Mais avec la symétrie, nous renversons (en augmentant) la logique vers un sens plus grand que ce que dit la logique elle-même.

L’attitude d’avoir à faire tout selon une logique est une attitude de paresseux. La logique est atteinte facilement puisqu’elle ne conserve qu’un nombre limité de variables pour lequel un raisonnement est fait. Qu’advient-il d’intégrer un plus grand nombre de variables pour justement avoir encore plus de contrôle sur son environnement? La « magie » en tant que telle est aussi ce dont les êtres devront comprendre pour arriver à faire mieux que la logique.

La logique est en train de tuer le monde. La logique pousse à des raisonnements paresseux qui comme nous pourrions le dire, les êtres ne voient pas plus loin que le bout de leur nez avec la logique.

Voilà la magie, c’est une forme de raisonnement qui donne de la puissance. Mieux vaut être puissant que simplement être logique.

La puissance s’affranchit par le fait que les variables que nous intégrons, ceux que nous apprenons à intégrer, puissent résoudre le problème de l’opinion contradictoire. En fait, la magie empêche la contradiction. La logique des contraires n’existe plus avec la puissance (la magie). Ce qui est beaucoup mieux que la logique.

La puissance est de faire une logique, une constitution de logique. Ainsi comme nous l’avons dit aussi précédemment dans ce document en parlant de l’impôt, la chimie des règles peut exister. Ainsi, une logique est une règle de base, mais avec la magie nous arrivons à construire des constitutions de règles intégrées.

La puissance est créée par le fait que l’on ne peut pas contredire une règle intégrée, car par définition, la règle intégrée est composée d’une harmonisation des règles qui font partie de la règle intégrée. Ainsi, l’harmonisation des règles est plus forte que la logique, car s’il advenait qu’un imbécile s’en prend à une harmonie, cet imbécile est tout de suite perçu comme source de discorde.

La puissance créée par l’harmonisation des règles permet non seulement d’être solide, mais permet aussi de mieux enrichir sa compréhension et son savoir-faire. La science n’utilise pas réellement la puissance et c’est son grand défaut. La science isole les facteurs ce qui constitue des règles isolées, même s’elles ont le bénéfice d’être appuyées par une argumentation logique, cela n’est pas puissant. Et souvent ce qui arrive, la science est contredite.

La puissance, c’est d’arriver à harmoniser les règles pour qu’ils forment des règles intégrées. Ainsi, la meilleure recette pour former des règles intégrées c’est d’inclure un plus grand nombre de considérations dans son argumentation. Mais cela n’est pas facile, cela demande d’être travaillant et d’y mettre plus d’ardeur dans sa façon d’argumenter. Le symbole d’une argumentation basé sur des règles intégrées, c’est qu’en même temps d’argumenter, cela dirige la réflexion. Cela a effet de faire continuer la réflexion et non de l’anéantir. Souvent les gens cherchent une preuve, n’est-il pas une preuve si on peut continuer dans une direction pour pouvoir l’enrichir.


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13. La science symétrique

Les symétries s’appliquent sur un nombre incalculable de choses. Si la science s’attardait davantage à la symétrie, elle pourrait construire des connaissances qui dépassent les attentes. Ce que permet de faire la symétrie, c’est de connaître les profondeurs de la science.

Si la science appliquait la symétrie, elle découvrirait que ce n’est pas seulement ce qui est visible qui constitue une preuve, c’est aussi, et certainement mieux, ce qui a un pouvoir dans la nature. Car tous les phénomènes de la nature sont créés parce que les choses ont un pouvoir, un pouvoir qui leur permet d’agir sur la nature elle-même.


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14. L’instinct symétrique

En parlant de science, n’est-il pas mieux un chercheur qui a de l’instinct fort que quelqu’un qui se dirige n’importe où? L’instinct symétrique va résoudre les problèmes de perte d’instinct dans les recherches scientifiques et bien d’autres choses.

L’instinct symétrique s’active comme suit :

  • Votre odorat est un sens. L’instinct en est aussi l’un. Le sens de l’instinct n’est pas grandement utilisé puisque l’homme de nos jours suit des procédures et des protocoles en recherche qui laisse à l’abandon l’instinct.
  • Pour activer l’instinct, cela ne signifie pas d’abandonner les procédures et les protocoles. Cela signifie qu’il faut activer ce qui remplace des parties de ces procédures et de ces protocoles pour arriver à des résultats plus concrets.
  • Dans les procédures, il y a des informations utiles, ainsi ils le resteront. Cependant, l’instinct doit s’activer pour la recherche d’information supplémentaire qui mènerait à trouver une réponse plus éclairée en ce qui concerne la définition d’un problème. Ainsi, pour se servir d’une procédure, il faut bien analyser la nature du problème, car la procédure en tant que telle ne servira pas à faire une analyse hautement détaillée.
  • L’instinct est la fonction qui sert à combler un vide.
  • Le vide lorsqu’il est perçu est un indice que la procédure ne peut pas s’appliquer entièrement et exactement comme elle est décrite.
  • Le vide c’est l’opportunité de voir que le sujet est plus large qu’une procédure. Et c’est principalement la faiblesse des procédures, ces procédures ne couvrent pas tout le sujet.
  • Ainsi, ce pour quoi l’humain ne sera jamais remplacé par une machine parce que les sujets sont larges et il y a plusieurs règles.
  • L’instinct n’est donc pas machinal, mais la procédure est machinale. Ainsi, l’instinct doit combler le vide, et aussi avant de combler le vide, il faut devenir un expert à détecter ces vides.
  • L’habitude de toujours faire exactement comme une procédure dit de faire est une mauvaise habitude, car vous n’avez pas besoin de réfléchir sur le sujet. Ainsi pour devenir un expert à détecter les vides, il faut avoir réfléchi sur le sujet pour être en mesure de poser le bon diagnostic.

L’instinct symétrique ne s’arrête pas seulement à cela. L’instinct est un sens qui se développe. Pour le développer, il ne suffit pas seulement d’apprendre des choses. L’instinct se développe contrairement au sens de la vue, de l’audition, etc.

Vu que l’instinct se développe, il existe qu’une seule façon de le développer cependant. Donc pour développer votre instinct, il faut procéder ainsi :

  • Changer votre humeur quant à la certitude d’une information, votre instinct s’active.
  • De plus, tenter de suivre naturellement vos envies.
  • De plus, approchez-vous de vos idées pour que ça soit seulement vos idées, en appliquant un filtre naturel.
  • Ainsi, vous vous retrouvez à faire le choix que vos idées aient à vous suivre ou non. Ainsi est votre instinct, il est le lien entre vos idées et vous personnellement, car ce lien est votre réaction face à vos idées, et non une logique qui s’installe. Ainsi, le lien qui a entre vous et vos idées s’enrichit pour que la prochaine fois vous soyez plus en mesure de prendre rapidement des décisions.

Nous avons vu comment la symétrie joue son rôle lorsque nous parlons des idées et de votre instinct. Effectivement, la symétrie est le lien.

La symétrie comme on l’a vu, n’est pas un miroir d’image comme il est enseigné à l’école primaire. La symétrie s’applique pour une quantité infinie de choses. La symétrie est l’avenir de tous domaines de la science, car la science aura besoin de la symétrie pour avancer correctement. La symétrie en tant que telle permet de mesurer ses actions, ses pensées, car elle réfère toujours à 2 éléments qui forment la symétrie. Ainsi est la nature, la nature a toujours un complément symétrique.

Il n’existe donc pas de logique des contraires, mais il existe un environnement et des forces symétriques, qui si nous les étudions, nous comprendrons davantage, et nous enrichirons nos forces.


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15. Les rapports femelles et mâles

Comme la science a cité souvent ne pas comprendre le pourquoi d’un homme et d’une femme, par exemple, dans le film « Retour vers le futur », le Dr Doc fini par cité « le plus grand mystère de l’univers, la femme ». Effectivement, l’humain n’a pas encore compris pourquoi il existait un homme et une femme, parce que l’humain n’a pas encore étudié la symétrie des sexes.

Voici comment on comprend la symétrie des sexes :

  • La femme est l’origine de la race, non par théorie, mais par preuve.
  • La preuve que la femme est l’origine de la race s’explique par le fait que la symétrie de la reproduction est dans la croissance et non un code génétique.
  • La croissance crée le code génétique : preuve inévitable sur la reproduction.
  • La croissance est l’élément qui déclenche la création des organes génitaux.
  • Ainsi, il existe une symétrie dans la croissance puisque le nouveau code génétique formé est un amalgame formé d’un code de source mâle (le père) et d’un code de source femelle (la mère).
  • La symétrie ne s’arrête pas là, la symétrie s’applique aussi quant au choix du sexe de l’enfant, c’est ainsi que la symétrie applique une fidélité de reproduction, donc le sexe est créé en fonction de la fidélité. Cette fidélité est un sens. Le sens est appliqué par la symétrie entre le code femelle et le code mâle qui forment l’enfant.
  • Ainsi c’est un hasard qui créé la fidélité. Même si le hasard était formé à l’intérieur du code mâle, ça reste quand même un hasard.
  • S’il n’y avait pas de hasard, tout serait pareil. Le fait qu’un hasard existe bel et bien dans la reproduction, cela crée des êtres différents. Ainsi, le profit du hasard (nous supposons qu’il existe ce profit), permet de faire évoluer la race humaine.
  • Et pourquoi un homme et une femme? Ça sera pour maintenir le hasard qui est une symétrie entre les 2 sexes.

La femme ou l’homme demeure toujours un mystère en tant que tel. Mais au moins vous comprenez que s’il n’y avait pas 2 sexes, nous serions tous des clones (si seulement ça pouvait réellement exister).

Peut-être devrions-nous aussi observer du hasard créé aussi par la symétrie qui existe entre des choix de vie de couple. Ainsi, naturellement, un homme et une femme permettent de faire cohabiter le hasard dans l’évolution des décisions qui sont prises dans une vie de couple. Ce pourquoi, les homosexuels ne peuvent pas évoluer aussi vite dans leur vie de couple, puisque le sexe étant pareille, le hasard n’existe que très peu. Ce n’est pas un hasard absolu. Le hasard absolu est fort, tandis que le hasard gai est faible et limité.

Vu que la relation homme/femme étant la plus optimale pour mettre en œuvre le hasard décisionnel, il vaut mieux se donner toutes les chances de notre côté pour pouvoir avancer grandement en science et dans tous les domaines en permettant de créer un environnement de travail autant accueillant pour les hommes que pour les femmes. Il n’en est pas moins que ceux qui prennent des décisions doivent aussi être à l’optimal du hasard pour qu’une organisation puisse le mieux fonctionner.

Le hasard créé par la symétrie permet de faire mieux fonctionner l’instinct, car au lieu d’avoir un instinct formé d’un seul sexe, un instinct organisationnel (dans une organisation) se crée naturellement. C’est ainsi qu’il faut encourager les 2 sexes à tous les niveaux d’une organisation pour créer une richesse instinctive dans l’organisation.

L’ascension du hasard avec la symétrie n’est pas inutile dans le système. Il est évident qu’un couple formé d’un homme et une femme crée un profit basé sur le hasard. Ce profit c’est la raison même pour laquelle l’on décide d’être en couple (plus fort que juste une relation de sexe). Le profit étant la raison même d’un couple homme/femme se constitue ainsi :

  • Dans la vie, il y a des embuches qu’un homme ou une femme est responsable d’implanté.
  • Ces embuches sont des indices d’augmentation de la qualité de la vie de couple une fois que les embuches sont surmontées.
  • Donc, le gai ne devrait pas détester l’autre sexe parce que cela le bloque, il devrait justement confronter son blocage en tenant compte d’être avec l’autre sexe, pour que justement les solutions soient source d’évolutions, et que pour évoluer correctement, l’autre sexe représente le remède des embuches. Les embuches n’étant pas causées par la même personne, cela est certain que s’ils sont causés par l’autre sexe, nous avons besoin de ces solutions pour passer à un autre niveau dans le couple.
  • Ainsi est la vie, il y a des étapes (des embuches), puis un couple gai n’avancera jamais dans sa vie affective.
  • Pour résoudre des embuches, ça prend des obligations. Avoir des obligations, c’est ça la vie de couple. Ça prend de la fidélité (étant une obligation), ça prend des défis (étant aussi des obligations), ça prend des règles (étant des obligations), ça prend des promesses (étant des obligations), ça prend beaucoup de choses, mais ce que ça prend pour avoir autant d’obligations, ça prend le sexe opposé qui forme l’équilibre naturel du couple.
  • Un couple, ça meurt quand les gens abandonnent leurs obligations.
  • Pourtant le véritable profit d’un couple c’est que toutes ces obligations forment une structure complexe à gérer, et que pour avancer dans la vie, il faut entretenir nos structures complexes, car ce sont ces structures complexes (que l’on a même dans nos entreprises et organisations) qui sont la forme la plus productive.
  • Un couple heureux qui s’entretient et qui se gère arrive à faire évoluer leur productivité.
  • Une productivité dans la vie, c’est ce que l’individu a besoin pour faire quelques choses de sa vie. Au moins, les vieux couples homme/femme auront accompli toute une vie qui leur a été profitable.
  • Le profit par la symétrie c’est être capable de faire un mystère (le sexe opposé) sa propre découverte.


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16. La continuité par la symétrie

Un autre domaine de la science et de la vie de tous les jours, la continuité. Comment les gens souhaitent tant qu’il y ait une continuité dans les choses qu’ils retirent leur bonheur et leur richesse de vie. La continuité par la symétrie s’effectue ainsi :

  • Augmenter ses chances par simplement éviter les erreurs.
  • Les erreurs n’apprennent rien, ils punissent.
  • Les erreurs sont sources de désastres, catastrophes. La vie ne doit pas être remplie d’erreurs. Si tu veux une continuité, ne fais pas l’erreur de vouloir payer ta vie avec tes erreurs. Car au bout du compte, ce qui permet de continuer, c’est que l’échec est évité à tout prix. La continuité c’est le bout de chemin qui suit qui te permet d’apprendre, tandis que l’erreur c’est ce qui t’empêche de joindre l’autre bout de chemin, c’est donc en profitant de chaque bout de chemin et d’apprendre à chaque fois que l’on avance que la vie heureuse a un lendemain; vaut mieux profiter d’apprendre que de gaspiller le temps qui passe.

La continuité c’est aussi de vivre ce qu’on a envie de vivre, c’est aussi d’avoir des rêves réalisables et les réaliser. La continuité dans une organisation, cela ne doit pas être des investissements par-ci par-là en se disant que la moyenne des investissements diversifiés fera en sorte que ça soit rentable. L’organisation doit avoir un rêve, pas seulement une mission et des stratégies. L’organisation a besoin de savoir où s’enligner et de réaliser des rêves. L’organisation ne doit pas avoir le seul but de rapporter du profit avec la logique qu’il y a eu un investissement.

La continuité au sens organisationnel, c’est de devenir forte comme une organisation apprenante. La continuité au sens organisationnel, c’est d’avoir une force sur le marché, c’est faire sentir à ses clients que les produits et services sont symboles de puissance. C’est de faire sentir à ses clients que les produits et services sont faits par des gens forts. La force, c’est aussi la continuité telle que décrite plus haut, car la force c’est ce que l’on a appris sur le marché, ce que la vie organisationnelle a su développé par l’apprentissage.

D’où, une organisation ne devrait pas être simplement un dit « investissement », cela devrait être une « force ». Une force c’est ce qui permet de continuer, tandis qu’un investissement faible, tôt ou tard, il tombera. La force, c’est la symétrie de la continuité, ainsi pour continuer il faut être fort.


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17. La force

La force n’est pas seulement ce que la science croie en général. La force est un mot qui n’est pas utilisé à son plein potentiel. Avec la symétrie, la vision de la force devient tout un sujet d’étude.

La force avec la symétrie est la symétrie elle-même. La force est ce qui fera qu’une symétrie s’applique ou non. Dans sa nouvelle définition, la force n’est pas faite par une action de quelconque matière ou énergie existante. La force étant la symétrie est ce qui fait que l’on soit faible ou puissant. La force c’est l’âme.

Bien qu’utilisé dans les films de « Star Wars » comme étant ce qui donne des pouvoirs aux Jedi, nous ne sommes pas loin de la réalité parce que c’est la force qui donne des pouvoirs d’intelligence et probablement même de télékinésie ou d’autres formes que cela soit.

Cela n’est pas une blague, cela est réel. La force se comprend par le fait que l’on a une confiance en nous, c’est une force, c’est comme cela que les gens obtiennent souvent des faveurs. En donnant l’image de la force comme une symétrie, nous voyons tout de suite que la force est la source « l’âme », et la « portée ». Ce qui forme une symétrie. Mais pour expliquer que l’on obtient des faveurs par la force, c’est que ça nous pousse dans une direction, ça nous transporte. La force, croyez-le ou non est élémentaire, c’est-à-dire qu’elle est omniprésente.

Reprenons un exemple sur la confiance : la force vous donne quelque chose, elle vous donne la « confiance » parce que la confiance ne se partage pas. Ainsi est la force, elle ne se partage pas par définition. Si la force ne se partage pas, c’est ce constitue l’espace unique que l’on occupe par notre âme.

En restant dans une base scientifique pour respecter la nature de ce document qui n’est pas seulement spirituel, mais aussi bien scientifique, nous prouvons l’existence de la force par le fait que la symétrie (étant la force) vous connecte avec votre âme simplement par le lien de confiance.

Toujours sous une base scientifique, la force crée un pouvoir à l’individu. La force génère plus que la confiance, elle génère ce qui sort et se garde. Ainsi, tout ce qui sort se garde par la force puisqu’elle n’est pas partagée. Donc, si la force ne se perd pas, cela constitue une éternité.

La force devient ce qui créé une règle éternelle. Pour être utilisée, la force doit générer par exemple un surplus de confiance pour la tâche à effectuer. Mais aussi, pour être utilisé, la force doit être accompagnée et non seul. Ce pourquoi nous l’utilisons instinctivement avec notre corps, la force est accompagnée. Ainsi l’accompagnement est une autre symétrie.

La force peut s’accompagner par exemple avec une qualité en ce qui concerne la confiance. La force peut s’accompagner, donc il s’agit simplement de trouver les bonnes combinaisons qui vont ensemble. Il peut y avoir une quantité énorme de combinaison possible, ce qui crée un large domaine à explorer et étudier.

Les Jedi font de la télékinésie en combinant la force (un élément qui ne se partage pas) avec un autre élément. Ce qui fait que ça devient intentionnel lorsque l’on le maîtrise puisqu’il faut que ça soit une combinaison provoquée. La peur n’est pas à prendre à la légère, la peur est grande, elle empêche la force de se produire. Ainsi, la peur détruira la confiance (la force) et empêchera d’utiliser aussi votre instinct. Pour formuler la bonne combinaison menant à la force Jedi, il faut utiliser la combinaison restriction de la pensée (qui est généré par une force et qui limite la peur de se propager dans vos pensées) et une expression qui éloigne les sentiments dominants (dont la peur). Ainsi en restreignant la pensée, nous obtenons la force, accompagner d’une expression (parole interne) dont vous fabriquer, vous chasser ainsi la peur et vous exploser de force. L’expression peut être des mots d’encouragement, des commandes internes (pour la télékinésie par exemple à un niveau supérieur de développement d’utilisation de la force), des ordres à vous-même, ou quelconques expressions bien situées dans son contexte. De cette façon, vous faites appel à la force.


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18. La brebis perdue

L’auteur du Nouveau Testament qui est Jésus a créé de bonne chose, mais aussi en analysant avec la symétrie, il y a une autre faille : la peur. Comme le contexte de la brebis perdu le dit, vous craignez ainsi que ça soit vous la brebis perdue, et la peur vous domine suffisamment. La peur est la faille de la brebis perdue.

La faille de la brebis perdue a pour effet que les gens craignent de perdre même des petites quantités. Ainsi, les gens augmentent leurs critères quant à la sélection d’individus, que ça soit pour un but amical, un but de relation amoureuse, un but d’investissement, un but d’embauche d’employés, etc. Les gens sont animés par la faille qui est d’éviter la moindre perte… la peur de perdre. Ainsi, les critères sont élevés pour l’admission d’un candidat, même d’un immigrant, etc. Les critères élevés signalent que la peur domine, et non plus la force.

La faille de la brebis perdue a pour effet que les gens s’habituent à éviter toutes formes de pertes mêmes mineures, pour que ça ne soit plus la chance, le hasard qui soit utilisé pour certains critères. Ainsi, c’est le sérieux à l’extrême qui s’installe alimenté par la peur. Les critères sont tellement élevés qu’au lieu de faire gagner, ils font de grande perte en fin de compte, car les mesures de sélection deviennent tellement coûteuses (sentiments, patience, ardeur, etc.) que finalement c’est l’organisation ou l’individu qui perd, tant en force (pour le pouvoir), tant en temps (pour l’apprentissage).

Par exemple, c’est rendu que l’on veut tellement filtrer les étudiants des universités que les critères de réussite créer l’échec. L’échec est né avec l’histoire de la brebis perdue si on applique une analyse symétrique. L’échec est créé par le rejet continuel qui fait des victimes partout à tous les niveaux de classe de la population. Et comme pour exemple l’histoire de la brebis perdue, c’est la peur par la peur. Ceci veut dire que c’est l’échec par-dessus échec.

Combien de gens se tapent des dépressions parce qu’on leur enlève le sentiment de réussite dans leur vie ? N’est-ce pas le sentiment de réussite qui alimente la confiance, la force, qui augmente le pouvoir d’un individu ou d’une organisation.

L’échec par-dessus échec, c’est la fierté des gens qui s’envole lorsqu’ils rencontrent trop de contraintes pour avancer. Même si certains diront que c’est pour augmenter la sécurité, il est certain que le sentiment d’insécurité (de peur) domine même dans ce cas-ci.

Ainsi, la peur de perdre un peu mène les organisations et les individus a abuser du rejet. Au lieu de sélectionner un candidat acceptable lors de l’embauche, les entreprises en rejettent 30 si ce n’est pas plus pour se donner l’assurance qu’ils ne peuvent pas perdre avec le candidat selon eux le meilleur des 30.

Le remède pour combattre cette peur, il faut tenter sa chance. Et comme tenter sa chance combat le cercle vicieux du rejet, alors il faudra que les gens et les organisations tentent d’utiliser la chance pour éviter de créer du rejet et de laisser dominer le sentiment de la peur.


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19. Conclusion

Le document démontre que la symétrie permet de créer des failles même lorsque tout semble être parfait. Bien que les failles aient été créées volontairement pour mettre en lumière des sagesses qui n’auraient point existé si l’on n’avait pas appliqué une analyse symétrique.

Ainsi comme le démontre ce document aussi, c’est que la pureté détruit le mal. Ainsi, comme le dit Jésus (voir la Bible : Mathiashieu 7, verset 16 à 20), si l’arbre bon produit des bons fruits, c’est dans ce sens qu’il faut comprendre aussi ce document. Ainsi, même avec les choses pures, il est possible encore de découvrir d’autres bonnes choses grâce à l’analyse symétrique.


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