Comme l’intérieur est souvent différent du monde extérieur, nous devons comprendre les forces de ces 2 éléments. L’intérieur qui est loin des regards est un mystère sur lequel nous allons nous attarder en étudiant la force intérieure.
La force n’est pas celle utilisé par les symétries, car il existe une autre forme de force qui est plus puissante que les symétries. De plus, étudier la force générée par les symétries requerraient beaucoup trop de temps voir des milliers d’années avant d’arriver à faire du concret avec la force symétrique. La force symétrique est basée sur l’étude des règles créées par la symétrie, cela exige beaucoup de temps pour trouver l’exactitude des règles universelles qui permettent de générer des apprentissages qui cadre la nature.
La force que nous étudierons constitue comme source l’étude de l’aspect « sans fin ». « Sans fin » ne signifie pas infini, l’infini est une règle qui est généré par la symétrie. Prenons exemple du cercle et du rond (qui se trouve dans le cercle). Le cercle est créé par la symétrie, mais le rond (l’intérieur du cercle) est créé par la force « sans fin ».
La grande distinction entre le cercle et le rond vous est expliqué ainsi :
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Contrairement à la symétrie, le « sans fin » n’a pas de hiérarchie. Le « sans fin » s’étudie par déplacement de la connaissance. C’est l’un des astuces des Maîtres, le déplacement de la connaissance ne se divise pas en branche hiérarchique qui est en fait une division symétrique.
Le « sans fin » déplace la connaissance jusqu’à ce que la connaissance soit suffisamment riche pour être utilisé. Ce qui vient d’être dit semble « vague » parce que vous vous dites que la connaissance est source et que la source ne peut pas se déplacer, mais il faut que vous construisiez une vision du « sans fin » qui soit différente de celle avec l’application des règles symétriques.
La connaissance peut se déplacer avec le « sans fin ». La connaissance est formée de plusieurs stades de compréhension, et comme il est dit, pour générer une connaissance qui soit « sans fin » nous ne devons pas délaisser les stades de compréhension qui précèdes, nous devons trouver des compléments à ces autres stades de compréhension. Mais il y a une autre astuce à comprendre, ce ne sont pas des compléments dans le sens qu’ils complètent les stades précédant, ce sont des compléments qui enrichissent au sens de compléter. Donc la connaissance des premiers stades est complète en tant que tel, mais les autres stades enrichissent la connaissance, ce qui fait que la connaissance se déplace parce qu’elle est située à un nouveau stade.
La force sans fin a une particularité unique contrairement à la force symétrique. La force sans fin n’est pas centralisée, contrairement à la force symétrique dont le centre est le plus fort. Pour pouvoir étudier le « sans fin », il faut utiliser d’autres méthodes que ceux utiliser avec la force symétrique vu que le centre n’est pas présent.
Dans l’étude des symétries les centres sont des règles qui constituent des points de repère. Mais avec le « sans fin », c’est la profondeur qui constitue un moyen de repère. Bien que les gens abandonnent ce qui est trop profond, il ne faut pas s’aventurer dans la profondeur du « sans fin » comme la profondeur de la symétrie.
Dans la symétrie, la profondeur constitue les fondations parce que nous construisons en quelques sortes avec ces fondations. C’est la même chose pour le « sans fin », pour arriver à construire avec le « sans fin », il faut créer des fondations.
Et ce pourquoi, pour arriver à créer la force des Maîtres, il faut des fondations capables de supporter la force des Maîtres.
D’abord, le sans fin est le sujet dont nous mettons à l’étude, et pour arriver à le comprendre, il faut y mettre des efforts de recherche. Dans ce document, nous structurons nos efforts pour percer quelque mystère de la force sans fin pour créer la force des Maîtres. Le sans fin est un inconnu, et le restera toujours ainsi. Tous les efforts que nous déployons pour étudier le sans fin sert à enrichir nos forces, mais nous ne parviendrons jamais à une compréhension en tant que telle du « sans fin ». Il faut donc apprécier que ce sujet reste toujours un inconnu. Mais du moins, en enrichissant notre savoir-faire, nous enrichissons nos forces.
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La force de l’âme n’est pas à l’origine du sans fin « directement », mais l’utilise pour créer une orientation. L’orientation que prend l’âme est vers la symétrie. Ainsi nous ne devons pas oublier cela. Comme les symétries entre eux se réoriente, elles n’ont plus besoin du sans fin pour les sens (orientation) qui suivent. Mais comme expliqué, développer les symétries revient une tâche très lourde qui demande beaucoup trop de sacrifice en temps et en efforts, ce qui fait que nous ne pourrons pas développer les symétries à un rythme effréné.
Donc, pour assouplir nous allons augmenter notre force en se développant vers le « sans fin » dont nous utiliserons pour trouver des orientations symétriques qui soit symétrique non par la symétrie elle-même, mais qui soit symétrique par rapport au « sans fin ». De cette façon c’est une autre façon de se développer qui est beaucoup plus souple et qui est moins dépendant des symétries à venir.
Comme expliqué, il est beaucoup plus souple de se développer avec le sans fin, car au moins nous conservons le sens, car le sens est ce qui permet de faire naître une symétrie qui sera une nouvelle force. Une nouvelle force n’a pas besoin d’être bâti seulement par des symétries, elle peut comme l’origine de la force de l’âme être bâti en ayant son sens par le fait qu’il existe une relation entre le sans fin et la nouvelle symétrie. Dès lors cette nouvelle symétrie ne dépend pas de d’autres symétries pour être utilisé correctement, elle devient parfaitement autonome par son sens donné entre le sans fin et les symétries.
L’âme est une concentration de force que même ce qui représente une faiblesse est aussi une force. L’âme doit demeurer concentrer pour être protéger. Ce qui affaibli l’âme est ce qui nous pousse à vouloir surmonter ses difficultés pour éviter que nos difficultés reviennent. En réalité, il ne faut pas changer, il faut augmenter sa concentration.
Ce n’est pas la compréhension qui fera augmenter la concentration de ce que vous êtes. La compréhension sert à bâtir, mais si elle est utilisée pour masquer vos faiblesses, vous appauvrissez votre âme.
Concentrer sa force signifie de faire donner aux faiblesses la chance d’être utilisé afin qu’elle puisse se développer. Il est évident qu’une compréhension de nos faiblesses nous pousse à vouloir masquer ces faiblesses. Il ne faut pas agir de la sorte. Si l’on vous dit faible dans quelque chose, apprenez plutôt à prendre soin de cette faiblesse, parce qu’en réalité cette petite faiblesse est en réalité une petite force vu d’une autre façon. C’est en utilisant ces petites forces que l’on développe de grande force.
Par exemple, si on vous dit que vous êtes une personne timide. Il y a ceux qui voudront vous pousser par la connaissance à foncer comme eux ils le font, mais ils ont tort. Les personnes n’ayant pas la timidité ne sont pas de réel fonceur, c’est l’absence de cette force la timidité qui les fait agir autrement. Il ne faut pas faire semblant de foncer. Le vrai fonceur c’est celui qui utilise toutes ses forces pour avancer. La timidité est une force qui fait en sorte que vous ayez le souci du détail. Il vaut mieux une personne qui soit timide se faisant du souci (donc ayant la force de se soucier de quelque chose) qu’une personne ne se faisant ni de souci pour elle-même ni pour d’autre (vu négativement comme une absence de cette force).
Ceci est pour nous faire comprendre que dès le départ vous n’acquerrez pas des forces des Maîtres qui soit grandes seulement avec la connaissance, mais au départ vous acquerrez plutôt des petites forces qui paraîtront comme des faiblesses. Seulement, il ne faut pas s’en faire, en les utilisant vous en ferez un grand pouvoir.
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Les 4 premières forces des Maîtres sont la confiance, l’influence, la concentration et l’intuition.
Pour développer de la confiance, il faut abolir la conscience. La conscience vous fait peut-être être apprécié, mais elle constitue l’ennemi numéro 1 au développement de la confiance. La conscience fait prendre des décisions aux personnes selon un état d’esprit qui semble plus zen. Mais en réalité, la conscience vient neutraliser, si vous neutraliser vous n’êtes plus certain de qu’elle voie suivre, ainsi la conscience n’est pas une voie, c’est une neutralité. La voie qui inspire confiance est celle qui ne soit pas neutre mais celle que vous ayez un penchant pour la suivre.
La confiance c’est de trouver des indices pour rendre une action plus certaine d’avoir du succès. Ainsi, la confiance c’est basé sur le succès. La conscience mine le succès, parce que le succès doit être égoïste et non commun à tout le monde. Ton succès, c’est ce qui te redonne de la confiance pour continuer dans une voie. Il faut donc s’assurer qu’il y aura un succès avant d’engager une action, sinon nous pouvons aussi prendre une chance même si ce n’est pas certain. Mais cela ne signifie pas de prendre des chances n’importe comment. Il doit toujours avoir au moins un indice que la chance que l’on prend obtienne la meilleure probabilité de réussite. Cette dernière constitue le cœur de la confiance, car il ne suffit pas seulement de prendre des chances, il faut aussi avoir de la confiance.
Ainsi, la confiance se mesure par une initiative de combattre l’incertitude. Cela signifie que pour développer la vraie confiance, c’est que ça prend une initiative avec quelque chose. Et c’est là que le sans fin joue un rôle : en ayant quelque chose pour développer la confiance. Même si ce quelque chose est floue, c’est un pressentiment. La confiance est le sentiment, ce qui donne ce sentiment, c’est un pressentiment. Le pressentiment est flou parce qu’il est sans fin. Mais avec de la confiance qu’on lui accorde, nous apprenons à utiliser ce qui est flou.
Ainsi, la confiance ne doit pas être mesurée par le niveau de connaissance. Doit-on faire confiance à celui qui a plus de connaissance ou à nous même, à nos pressentiments? Au début, cela représente une petite force, mais vous apprenez à forger vos pressentiments, à forger quelque chose qui était floue vers quelque chose de concret.
L’influence est acquise par les idées dominantes. Il faudra de l’expérience pour pouvoir acquérir un bon nombre d’idées dominantes. Et comme expliqué dans la section 5 ci-dessous sur « l’excès », vous comprendrez qu’il ne faut pas rejeter les idées dominantes, mais bien de s’en servir d’une façon ou d’une autre.
Nous avons parlé de la concentration à la section 3. Nous avions dit que les petites forces doivent devenir plus concentrées.
Pour y arriver, vous devez espérer en vos petites forces, créer de l’enrichissement non par la connaissance, mais par la mise en pratique de ces forces pour que justement qu’elles ne deviennent pas écrasées par ces connaissances qui nous entourent.
La concentration est de cultivé de l’originalité dans l’exécution de nos forces et non qu’elles deviennent conformes à la connaissance. C’est aussi une prise d’influence. Pour devenir un être influent vous devez conceptualiser vous-même votre talent pour que celui-ci devienne supérieur à la connaissance générale. Ainsi vous acquérez aussi de l’influence tout en concentrant vos forces.
Tel que dit dans la confiance, nous commençons par quelque chose de floue qui se concrétise. Ainsi nous commençons à quelque part. Cela est expliqué pourquoi à la section suivante « L’excès ».
Mais l’intuition, comme il est flou, au moins nous avons au moins un élément de bon, le sens. Le sens est suffisant pour constituer le reste.
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L’excès est le principal élément moteur des avancements de l’individu. L’excès est utilisé dans la société par tous les individus. Ce n’est pas que faire des excès soient mal, c’est un art de bien faire des excès. Faire des excès sur des fondations non suffisamment solides créer un échec, mais faire des excès et enrichir du même coup les fondations avec une partie des excès, cela crée une combinaison gagnante.
La première quête pour créer de l’excès, c’est l’initiative. On ne peut engendrer d’initiative si l’on saute des étapes, et on ne peut pas s’empêcher de sauter des étapes si on n’est trop lent. Pour arriver à être rapide, il faut éviter de tout vérifier comme si on ne voulait jamais se tromper. L’initiative se prend lorsque soudainement, nous arrêtons de vérifier. Prendre une initiative vaut mieux que de vérifier, ça vaut de l’expérience !
Tout d’écoule de l’initiative maintenant pour créer de l’excès. Il vaut mieux faire de l’excès pour que l’on ait les bonnes valeurs, que d’en faire le juste nécessaire et que tout soit correcte et vérifié.
Nous allons utiliser certaines techniques spéciales pour créer de l’excès qui soit avantageuse. La première technique consiste à reconstituer. La deuxième consiste à créer des règles qui ne peuvent pas se résumer, car en réalité les règles qui se résume ne font pas parti du sans fin. La troisième consiste à assembler. Ainsi, en partant de ces 3 techniques, vous créer de l’excès. Nous allons maintenant détailler ces 3 techniques.
Lorsqu’il s’agit de reconstituer, nous le faisons quand après avoir pris une initiative et que nous avons omis des éléments. La reconstitution n’est pas une correction, c’est un avancement. Après avoir initié quelque chose, ce n’est pas que nous omettons des éléments par erreur, c’est que nous commençons à quelque part (première étape) et nous complétons ensuite.
Une règle qui ne peut pas se résumer est une règle intégrée. La règle intégrée se distingue par le fait qu’elle absorbe. Normalement, une règle s’applique, mais pas la règle intégrée. La règle intégrée s’absorbe par le simple fait que le premier élément de l’initiative constitue une façon d’absorbé les autres éléments manquants qui complètent comme la reconstitution (à la section précédente « Reconstituer ») l’indique.
Cependant, le contexte d’absorption n’a pas de fin, il est sans fin, mais nous appliquons des limites naturelles par le fait que l’on ne mise pas tout sur le même élément : il faut varier.
La règle intégrée ne peut donc pas se résumer parce qu’en réalité nous avons besoins de tous les éléments reconstituer pour créer la force d’absorption. La force d’absorption dans une conversation par exemple est la possibilité que l’on peut continuellement ajouter des éléments dans la conversation.
Mais la règle intégrée n’est pas seulement intégrée par le fait qu’elle absorbe, elle protège les éléments entre eux. L’aspect protection doit être inclus lorsque l’on construit une règle intégrée. Ainsi, la règle intégrée ne permet pas la suppression d’un élément, donc c’est comme cela qu’un Maître doit se comporter, il ne doit pas faire des concessions avec les éléments reconstitués. Ainsi, lorsque nous résumons, nous supprimons des éléments jugés moins importants. Mais dans une règle intégrée, nous ne résumons pas, donc nous ne faisons aucune concession. Un Maître doit apprendre à être créatif dans le sens qu’il doit composer avec ce qui l’est.
Lorsque nous développons la force des Maîtres, nous faisons l’effort de toujours préserver les petites forces comme pour maintenir la concentration tel qu’expliquer à la section 3 de ce document. Les petites forces sont souvent les plus attaqués, les gens voudront vous faire croire qu’une concession s’impose, mais n’est-il pas faux que la vraie nature de l’être est qu’il souhaite être dérangé le moins possible par l’autre, ce qui signifie qu’il y a toujours une lutte à vouloir forcer l’autre à faire des concessions.
Faire des concessions signifie de se diriger vers une voie moins riche, moins dense, et moins forte. Le secret de la force des Maîtres, c’est de toujours épauler nos forces les unes avec les autres et poursuivre dans cette direction.
Cette technique constitue la clé de la réussite des autres techniques. Elle consiste à assembler, mais pas assembler des éléments qui font partie d’une même règle intégrée, assembler plutôt la fin avec le sans fin.
Pour protéger les éléments amorcés par l’initiative, nous avions dit que nous ne faisons pas de concession : cela est la force sans fin puisque nous maintenons en vie une force de vouloir toujours préserver quelque chose. La fin c’est ce qui dérange.
Si nous souhaitons assembler la règle intégré (force sans fin) avec la fin, ce n’est pas avec la concession puisque nous supprimons l’aspect sans fin. Nous assemblons avec l’enjeu. L’enjeu sert ainsi à assembler. L’enjeu de faire une erreur si nous persévérons dans cette voie. Ainsi se complète les 3 techniques. La réussite avec l’enjeu c’est de donner plus d’importance à ce que nous protégeons parmi les éléments issus de l’initiative. Ainsi avec l’enjeu, ce n’est pas que nous faisons parfois des concessions, c’est que l’on décide d’accorder plus d’importance à ce qui vient déranger. Ainsi, nous maintenons la force sans fin et en même temps nous l’assemblons avec ce qui dérange : voilà un assemblage.
Comprenez bien ce qui vient d’être dit. Pour assembler, il faut au moins 2 éléments naturellement. L’assemblement c’est de préserver les éléments qui dérangent avec les clauses de dérangement. Donc, nous avons mieux qu’un équilibre, nous avons une force dominante. Et c’est le principe de créer de l’excès, pour y arriver, il doit avoir une domination. Ainsi il y a excès lorsqu’il y a domination, puisque par le fait même un élément qui domine signifie qu’il est excédentaire.
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La force des Maîtres reste encore un mystère, mais du moins nous avons acquis par la lecture de ce document une présentation des différents rôles joués par le cercle (l’enveloppe – la perception de l’extérieur) et le rond (l’intérieur). Cet ouvrage avait pour but de vous présenter une conception théorique des forces, et vous conserverez une empreinte de connaissance sur des différences perceptibles entre l’extérieur et l’intérieur.
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