’étude sur les symétries1 et le sans fin2 aura mené l’auteur à choisir d’élaborer des règles. Les règles sont des outils permettant d’avancer dans la compréhension des choses autour de nous, mais principalement, ils permettent d’ouvrir des portes sur de nouvelles technologies et connaissances.
L’élaboration d’une règle ne constitue pas une simple tâche, car ici le plus important, ce n’est pas la quantité de règles qui compte, c’est plutôt si la règle est laborieuse et reflète un sens important pour les besoins de la science.
Les règles sont donc des outils, comme un tableau périodique est un outil pour le chimiste, les règles sont donc des outils supplémentaires qui servent à guider les scientifiques dans la bonne direction. Les règles viendront cadrer le travail des chercheurs qui voudront les utiliser et aussi en élaborer d’autres.
Les règles sont des compréhensions de haut niveau appuyées par le fait que le parallélisme3 trouvé par l’auteur constitue un chemin pour écrire sur ce que le parallélisme apporte au sujet de la compréhension des symétries. Comme il est évident que les premières règles seront les plus difficiles à trouver, mais viendra l’expérience du chercheur qui viendra concrétiser le chemin menant à des compréhensions encore de plus hauts niveaux que celles précédemment trouvées, et ainsi de suite.
En physique, une règle n’est pas une mesure de conduite. En physique, la règle doit être un parallèle à un comportement ou à une caractéristique qui selon laquelle, cette règle établie clairement le lien entre l’intérieur et l’extérieur du comportement ou de la caractéristique.
Ce n’est pas facile de trouver des règles. Mais pensez à ce qu’une règle puisse vous apporter. Alors c’est certain qu’avec ce document, vous serez éclairé plus amplement sur les règles que nous pouvons créer. Justement, pensez d’abord à ce que votre talent créatif permet de faire. C’est ainsi que vos règles sont issues de ce que vous leur apportez en créativité. Mais comme il s’agit d’une règle, il ne suffit pas seulement d’être créatif, mais aussi de devenir attentionné au moindre détail.
La profondeur est ce dont nous avons aussi besoin d’explorer lorsqu’il s’agit de trouver des règles. Comme il faut être minutieux dans les moindres détails, il faudra aussi gérer la profondeur d’une règle. Plus une règle est profonde plus elle est utile.
Épuiser ses idées signifie de faire en sorte qu’une idée soit utile. Parfois, il faut rendre hommage aux idées qui nous viennent à l’esprit et les placer quelque part. Ainsi, il faut se donner l’occasion de mettre en branle ses idées. Mais plus précisément, épuiser ses idées consiste à laisser le chercheur s’exprimer librement. Nous pouvons vivre de la confusion entre quand seront-elles les meilleures occasions de les exprimer, mais justement il est nécessaire d’apprendre à se structurer de façon à gérer beaucoup d’idées pour trouver une place quelque part pour chacune d’elles.
Lorsque nous épuisons nos idées, nous gardons un vide ou un manque à gagner, et c’est ainsi là que viennent justement de nouvelles idées. Voilà le bienfait d’épuiser ses idées.
Pour revenir aux règles, le fait d’épuiser ses idées permet de voir qu’une règle ne dépend pas du nombre d’idées, mais bien ceux qui auront le plus d’effet. Ainsi, vous verrez que parfois même des idées insoupçonnées ont de grands effets. Ainsi est une règle, elle produit un effet envahisseur sur la connaissance de sorte qu’elle permet de voir le parallèle entre chaque chose qu’elle touche.
Dans une règle, il y a absence de hiérarchie. Il n’y a pas d’introduction d’idée générale. L’introduction doit servir à présenter le concept initial de la règle. Donc, dès l’introduction, nous commençons à expliquer la règle.
Une règle s’écrie comme si on écrivait une liste d’épicerie, sauf qu’au lieu d’être une liste d’aliments, c’est une liste d’explication clé qui sert à comprendre la règle et à savoir ce à quoi elle permet de faire. La raison pour laquelle il faut écrire une règle en liste, c’est simplement parce que dans une règle, les éléments de la liste sont considérés comme des formes de clause.
Évidemment, nous pouvons numéroter les éléments de la règle et expliquer chaque élément, en les séparant par des numéros de section. Ce que l’on doit tenir compte, c’est que l’on ne doit pas créer de hiérarchie en créant des sous-sections. Ainsi, la règle est lue comme une procédure si nous voyons cela comme cela.
Une règle exige beaucoup de ressource en idées et aussi en concentration, en méditation (réflexion), en expérience, etc., pour être élaborée. Donc, pour élaborer une règle, il faut s’engager dans de longues réflexions sur lesquelles nous devons mettre des efforts intenses et rapprochés. C’est comme un entraînement pour devenir un athlète, ce n’est pas le premier venu dans le domaine de la physique qui est en mesure d’écrire des règles, car les règles sont vigoureuses. Ce pourquoi, il est nécessaire aussi de se ressourcer, et ne pas prendre la tâche à la légère.
Une règle est complexe en soi, elle doit être vigoureuse et exempte de défaut, du mieux que nous pouvons faire. Ainsi, la méditation est un mode de vie incontournable pour apprendre à toujours mieux faire, et toujours évoluer mentalement. Avoir des idées, c’est une chose, mais avoir des idées profondes, cela est une autre chose. La méditation sur la science devrait apporter du soutien à la conception de règles.
Une règle n’est pas exactement comme une simple liste. Plus nous avançons dans la liste plus la complexité doit paraître. Ainsi, c’est comme, dirait-on une forme de règle intégrée. La règle intégrée qui est à l’origine de l’étude sur le sans fin, ici « sans fin » ne signifie pas illimité, cela signifie que l’on ajoute de la complexité selon nos moyens à mesure que nous évoluons. Ainsi, lorsqu’une règle est écrite, tôt ou tard, elle deviendra de plus en plus complexe. Le niveau de complexité peut augmenter sans fin. La règle ne connaît jamais la fin en complexité, mais tout ne se fait pas du jour au lendemain. Évidemment, il faudra du temps pour élaborer les règles de plus en plus complexes.
C’est de cette façon que nous gagnons avec l’écriture de règles. Et il est important de considérer l’aspect que les composantes de la règle ne doivent jamais s’oublier par le lecteur, sinon la règle a une faille. Nous devons travailler avec un nombre limité de règles, l’important c’est de gagner par la complexité des règles et non avec la quantité.
Lorsque les gens composent de l’information, ils tombent dans le piège naturel de la bulle théorique. Comme son nom l’indique, la création d’une bulle est le gonflement d’un sujet qui a pour but d’amuser le lecteur et aussi son propre compositeur. La bulle est un piège en soit parce qu’elle ne permet pas de dépasser les attentes du sujet principal qui a été établit par un plan avant sa composition. Ainsi, les sujets qui sont dits « riches en information » conservent toujours leur position jusqu’à ce que l’adepte décide d’aller vers quelque chose de nouveau. C’est principalement comme font les entreprises en markéting souvent, ils construisent des images qui sont en fait des bulles.
Avec la règle, nous n’avons pas de bulle d’information. Nous ne traînons donc pas à expliquer quelque chose ou à vouloir faire durer quelque chose le plus longtemps possible. Le but de la règle est de passer à une étape supérieure en avançant dans la lecture d’une règle, et ce de façon à dépasser l’aspect cueillette d’information pour avancer vers une synthèse qui mène réellement vers quelque chose. Tant que nous n’avons pas atteint ce stade, la règle n’est donc pas complète, il faudra avancer plus loin dans le sujet principal de la règle.
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e point de ralliement est une règle liée à l’aspect central, car le centre de quelque chose constitue le point de ralliement. Le centre peut être vu dans toutes formes de systèmes. Mais il constitue à lui-même un sujet d’étude très vaste. Ici, il sera question d’élaborer une règle qui rappelle l’aspect central que l’on peut retrouver dans toute chose, ou presque.
Vu du point de vue universel, le centre constitue un mystère, mais si nous élaborons une règle, plusieurs mystères se trouvent résolus à propos du centre. Cela s’explique parce qu’au lieu de voir quelques choses de mystérieuses, nous avons comme explication, l’existence du centre. Si nous gardons en tête que les règles sont ce qui régit l’univers, alors nous n’avons pas besoin d’aller trop loin avec des explications et des preuves quelconques. Nous trouvons donc nos réponses sur le fonctionnement de quelques choses avec une règle, et s’il y avait d’autres éléments non résolus, alors c’est certainement parce qu’il existe une autre règle à propos de votre questionnement. N’oublions pas que les règles (synonyme aussi de « symétries »), comme expliqué dans le document « La force des Maîtres » (doc# WIS-0002-v3-FR, section 1), fonctionnent en encadrant toutes par elle-même toutes les autres règles, et cela constituait la caractéristique importante au sujet des symétries.
Le centre de quelque chose constitue toujours le préalable de bien identifier ce centre, ce que vous pouvez apprendre en lisant le document « L’élément du temps » (doc# PHY-0013-v1-FR, section 1.3). Comme il est expliqué dans ce document, le centre d’une horloge peut être ses aiguilles ou son enveloppe.
Si nous avons un diagramme hiérarchique par exemple, le centre doit être l’élément vers le haut de la hiérarchie, et le centre absolu du diagramme hiérarchique est le premier élément de la hiérarchie. Cependant, la règle est de toujours renforcir les éléments du haut de la hiérarchie vers le bas, comme si nous prenions l’exemple des cours d’eau, si le premier élément en haut de cette hiérarchie est le fleuve, alors ce fleuve est plus large qu’un ruisseau. Et suivant ce sens, les éléments centraux sont toujours plus gros pour qu’il puisse contenir les sous-éléments de la hiérarchie.
Ensuite, nous devons vous expliquer le parallèle créé par le centre. Dans le cas d’une hiérarchie, ce n’est pas l’élément du haut qui est le centre absolu, mais bien ce qui unit toutes les hiérarchies. Si vous preniez l’exemple du flocon de neige, chaque branche représente une hiérarchie, et le centre absolu est celui qui est créé géométriquement par l’assemblage de toutes les branches (hiérarchies). Ainsi, nous retrouvons l’élément central non par la hiérarchie, mais par la géométrie que forme la hiérarchie.
La géométrie est ce qui formera dans cette règle le centre absolu de quelque chose.
Ce qui a été démontré avec le document « Le pouvoir des symétries » (doc# WIS-0001-v3-FR), nous pouvions rendre extensible ce qui semble complet. Dans l’exemple des lois, la loi est une symétrie, donc un centre, tandis que dans les mots nous pouvons trouver des failles et ceci est dû au fait que le « sans fin » (voir le document « Le secret du Sans Fin », doc# PHY-0012-v1-FR) est bien prouvé par le fait qu’en même temps la faille existe (regard sur le futur) et, en même temps, la faille n’existe pas (regard sur le présent).
Donc, dans chaque système qui semblera complet, vous pouvez y trouver des failles. Ainsi vous pouvez améliorer continuellement un système quelconque. Lorsque l’on entreprend quelque chose, le mieux est de toujours consolider ses améliorations pour les comprendre et non rester passif devant la désuétude. Si chaque fois une amélioration était étudiée en profondeur pour en déduire une ligne de conduite quelconque qui doit être prise en compte, alors ces lignes de conduite éviteraient que nous y trouvions des failles souvent, il y aurait moins de failles dans le parcours de l’amélioration continue.
Le centre est ainsi, il globalise sa structure interne, et ainsi pour avoir un centre fort, nous devons aussi globaliser (avec des lignes de conduite) chaque faille trouvée. Cela permet de rendre un centre plus fort, et tant que le centre n’est pas touché, alors le système n’est jamais désuet.
La vérité est en quelque sorte une rareté qui s’acquiert lentement par le temps. Ainsi, pour vous faire une représentation de l’existence majoritaire du mensonge comparativement à la vérité, il faut vous donner un exemple du « sans fin ». En utilisant un générateur de nombre au hasard qui représente un pixel (point lumineux coloré) dans une image d’ordinateur, et de par ce processus répété pour tous les pixels de l’image, supposons que chaque image soit différente. Bien sûr, supposons que nous pouvons générer des images provenant de tous lieux, de toutes choses, de tous êtres, etc. Puisqu’en réalité, comme expliqué dans le document « Le secret du Sans Fin » (doc# PHY-0012-v1-FR), la réalité telle que nous la connaissons existe déjà, mais en même temps elle n’existe pas. Et comme dans l’exemple du générateur d’image au hasard, toutes les images possibles de tous lieux, de tous les temps, de tous les êtres sous toutes les perspectives possibles de prendre ces images avec un appareil photo, existent déjà avec le générateur d’image au hasard en théorie. Mais évidemment, il existe tellement de possibilités que même le meilleur générateur de hasard, avec le plus puissant des ordinateurs ne pourraient jamais se rendre jusqu’au bout.
En théorie, supposons que nous tombions sur une photo avec ce générateur d’image de hasard, supposons qu’elle soit représentative d’un lieu que nous avons déjà observé, par exemple, imaginions que cela soit une photo montrant vous et une célébrité que vous aimeriez être en présence. Alors comment seriez-vous certain que cela soit réellement votre avenir? Vous ne pourriez jamais le savoir dans le présent, alors nous voici donc avec une grande panoplie de mensonges irréels, et les chances que cela soit réellement la vérité sont minces dans l’infini des possibilités.
Le chemin de la vérité s’entreprend non pas en regardant toutes les possibilités qui s’offrent à vous. La vérité est toujours rare. Elle a une grande valeur. Ce qui a une grande valeur doit faire partie en quelque sorte de nos valeurs stratégiques centrales. Ces valeurs centrales devront être par ce quoi les êtres se rallient pour que la vérité occupe une première place. Ainsi doit être une valeur centrale, elle doit être vrai et non théoriquement probable.
L’ancienneté des éléments d’un système est importante. Ainsi, pour reconnaître le centre de quelque chose, il suffit de retrouver son élément le plus ancien.
Le centre peut aussi avoir la forme en cercle au lieu d’être un point. Comme pour un arbre, son élément le plus ancien est son écorce, comme pour une planète, son écorce est aussi son centre.
Nous devons construire par le centre et non avec la solidité d’une autre forme de structure, car en fin de compte la véritable base est le centre. Ce qui fait que le centre devient l’élément le plus ancien. Lorsque nous voudrons acquérir des bases solides, il faudra toujours réfléchir à créer ces bases par un élément qui deviendra le centre de ce que nous créons.
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n réalité, nous visualisons les choses et nous tentons d’en comprendre le meilleur parti de ce que nous pouvons en tirer de ces choses. Cependant, il existe une faille dans ce que nous cherchons à comprendre et ce que nous voyons. La faille est que tout ce qui est de l’intérieur se retrouve à l’extérieur et tout ce qui se trouve à l’extérieur se retrouve à l’intérieur. Par exemple, vous pourriez dire que c’est l’atome qui forme votre corps et vous pourriez dire aussi que c’est votre corps qui positionne les atomes à une place définie. Ces 2 affirmations sont vraies. Ce qui rend véridiques ces affirmations est la règle de l’équilibre naturel.
Pour nous aider à comprendre mieux l’équilibre naturel, nous pouvons aussi citer quelques questionnements que nous pouvons nous faire, comme la relation entre homme et femme qui font un enfant, l’atome qui forme la planète et la planète qui déplace l’atome dans le système solaire, le pôle positif de l’électricité qui absorbe le pôle négatif et le pôle négatif à son tour qui nourrit le pôle positif, le lecteur qui est intéressé par la lecture et le compositeur qui est intéressé à montrer ses œuvres, etc. Tous ces exemples sont issus de la règle de l’équilibre naturel. Du point de vue de l’application systématique de l’équilibre, nous devons voir cette règle comme existante et déjà effective pour comprendre comment la nature, dans sa complexité, remplit des rôles par elle-même.
L’équilibre n’est pas juste la fonction d’un élément isolé, il est partout et ultimement dans tout ce qui joint toute affaire, composante, etc. L’équilibre se trouve dans toute la splendeur que la nature tant humaine, que végétale, ou astrale peut prendre. Ainsi est l’équilibre, il n’est pas seulement situé à une composante quelconque de quelque chose, il est partout. L’équilibre est ce qui forme ultimement le standard de toute chose.
Pour une règle, les limitations protectives sont celles qui sont créées par les séquences. Ainsi, l’aspect séquentiel n’est pas seulement utile à créer des énumérations d’items, mais sert aussi à délimiter chaque séquence.
L’équilibre naturel est de retrouver des séquences pour créer des limites. Ainsi, les bactéries seront de taille similaire, comme les oiseaux le sont aussi en général, en tenant compte aussi de la taille des atomes des différents éléments de matière qui sont de taille similaire, etc. Nous voici donc que nous retrouvons des séquences partout créant des limites naturelles.
La nature se protège ainsi avec l’aspect séquentiel que nous y retrouvons. Chaque limite est une forme de protection qui instaure l’équilibre naturel.
Les limitations protectives nous enseignent comment il est important de considérer non seulement les valeurs ou les résultats, mais bien le chemin par lequel nous les avons trouvés.
Finalement, après avoir appris que la séquence (issue des symétries) agissait en tant que limite, nous pouvons maintenant apprendre que la géométrie (issue du sans fin) était l’équilibre avec les séquences. Car nous devons retenir que ce qui forme l’équilibre est ce qui va combler quelque chose. Ainsi est la géométrie, elle est ce qui comble les séquences dans leur existence.
L’équilibre n’est donc pas de limiter quelque chose, mais de permettre à toute chose de pouvoir baigner dans quelque chose.
Nous pouvons observer autour de nous toutes les formes géométriques. La géométrie est quelque chose d’imposant dans notre vie. Mais la géométrie est essentielle parce qu’elle mesure. La géométrie est ce qui crée l’équilibre. Si les choses baignent entre elles, c’est simplement une astuce de base pour qu’il puisse y avoir une mesure. Mais il existe plein de manières de mesurer, il s’agit de les trouver.
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i Dieu créa la première règle, quelle serait-elle? Eh bien, s’il y avait des ingrédients que Dieu n’a pas tous utilisés pour construire ce monde, il isolerait des éléments en changeant l’ordre, en les repoussant à une profondeur. Là est née la première règle peut-être sans que Dieu ait songé dans le moment à ce que cette règle fut créée, la règle du dégradé. Le dégradé se comprend par si nous mettions une bulle d’air dans le fond de l’eau, elle finirait par refaire surface. Là nous en sommes à comprendre que la première règle fut créée par pure innocence, Dieu ne sachant pas du coup ce qu’il avait créé, mais la bulle d’air aurait pu être une force intelligente puissante au temps chaotique, qui fut isolé dans une profondeur quelconque. Ainsi nous supposons que la première règle fut engendrée de sorte que maintenant cette règle s’est propagée dans la nature, et ainsi ce qui formerait même la force de gravité d’une planète, serait le dégradé.
Donc, le dégradé n’est pas un mélange d’éléments. Nous le comprenons avec la chimie, prenons l’eau par exemple, c’est une composition de l’hydrogène et de l’oxygène. C’est 2 gaz sont légers, mais ensemble, ils calent. Lorsqu’un élément est isolé, il existe un ordre dans lequel cet élément est positionné. Même la hiérarchie des espèces parle d’elle-même. L’ordre est une forme de dégradé.
En étudiant la force de gravité, nous obtenons des informations sur le dégradé. Tel qu’un élément léger ne subit pas la pression du poids au-dessus de lui. Nous observons donc que, dans la nature par cette règle, les éléments gagnent donc leur place selon l’ordre défini.
Cette règle est en fait ce qui engendre la règle. Tel que les règles ont un ordre définis, et gagne leur place dans la nature et dans la science selon ce qu’ils valent. Cette règle a été le pivot qui a fait passer le monde chaotique vers un monde structuré créé par notre Dieu Éternel.
Dans le monde de Dieu, si tu ne respectes pas la règle, tu te coules, et plus les règles de haut niveau sont respectées, plus tu grades. C’est ainsi qu’est la science, ce n’est pas une question de dosage, comme « c’est rare que je le fasse », c’est plutôt une question de respect des règles. Peut-être que la politique devrait ajouter d’autres lois (ou règle) de plus haut niveau respectable? Croire en Dieu ne suffirait peut-être pas pour aller aux cieux, il faudrait respecter aussi des règles de plus haut niveau! C’est ce qu’enseigne la Bible, mais aussi nous le savons intuitivement que le dosage n’a aucune importance, ce n’est pas le dosage, ce n’est pas je vais à l’église tous les dimanches, c’est plutôt de suivre des règles aussi de plus hauts grades. La science est ainsi faite, pour atteindre un niveau en technologie, ce ne sera pas une question de dosage du genre « combien j’ai investi en temps et en argent », ça va plutôt être « jusqu’à quel grade d’information, de patience, de tolérance, de suffisance, me suis-je investi ». Si les finances publiques, les investisseurs privés, les employés songeaient à augmenter le grade de leurs efforts dans la bonne gestion financière et d’entreprise, il n’aurait pas de crise économique. Les règles sont très importantes même celles qui sont omniprésentes dans notre environnement.
C’est ainsi que devrait se comporter la science… il ne suffit pas d’acheter de la connaissance à Dieu avec son argent et son temps, il suffit de vouloir respecter les règles… et en fin de compte, peut-être que le non-croyant devrait miser davantage en croyant. Comme dit dans le document « L’élément du temps » (doc# PHY-0013-v1-FR, section 1.4 et 1.5), il faut miser pour avancer. Croire, c’est comme miser. Ainsi, même dans un but scientifique, l’individu devrait augmenter son respect pour les règles, mais pas seulement les lois, ou les règles du ménage chez soi, mais aussi les règles de la Bible, pour justement élever ses capacités en respectant les règles.
Tout ce qui est dit ici, ce n’est pas pour vous solliciter à suivre une religion, c’est pour vous expliquer que pour augmenter le niveau d’intelligence, le respect de la règle est préalable. La science devrait suivre ce chemin (une voie), suivre une voie est une façon de fonctionner de façon structurer, et justement une science qui s’en va dans tous les sens, c’est une science avec une structure déficiente. Ça prend des buts communs, des objectifs communs, ça prend donc des règles.
La première règle créer par Dieu, celle du dégradé, avait une faille. La règle est bonne et gratifiante parce qu’elle engendre les autres règles, mais il exista une faille. La faille fut que si Dieu repoussa en calant une force intelligente, le Sans Fin par exemple, alors un jour cette force surgira sans détruire sans causer de tort parce qu’elle est intelligente. Lorsque le monde était chaotique, il y avait une raison pour laquelle ce chaos existait, il y avait probablement Dieu et d’autres divinités suprêmes, les divinités suprêmes entremêlées forment le chaos, mais une fois que Dieu isole les autres, le chaos disparaît, mais il ne détruit pas les autres divinités suprêmes, en réalité ces autres occupaient toujours l’endroit du chaos, et Dieu habite désormais son paradis. La faille dans cette histoire, c’est que les autres divinités suprêmes coulent dans une profondeur du monde de Dieu, et la faille c’est qu’ils peuvent revenir sans causer de chaos parce qu’elles sont intelligentes. La faille dans sa compréhension, c’est que les autres divinités auraient pu s’unir avec Dieu et ainsi rester bien placer dans la hiérarchie.
Cette histoire nous apprend quelque chose, cela nous apprend que si nous coulons ceux qui sont bien même si dans notre for intérieur nous sommes des êtres bien, il existera un moment où ceux que nous coulons finiront par nous rendre plus forts en remontant. Prenons l’exemple du couple qui se chicane, le chaos existe toujours isolément dans le monde de Dieu, mais pour comprendre, nous savons que le couple étant fort finira par revenir en paix. Mais le plus important c’est que la chicane du couple a commencé quand l’un a tenté de caler l’autre. Bien que nécessaire pour replacer les choses. Les choses se replacent de cette façon. La brisure d’un couple n’est pas due à une chicane, mais à une décision de ne plus faire partie de la vie de l’autre pour se diriger vers d’autres choix de vie. Ainsi, le chaos qui a existé n’existe plus parce que les choses se sont replacées avec cette première règle. Et comme les choses se replacent ou se positionnent selon leur endroit respectif, ce que nous coulons et qui ne devait pas couler refera surface. Ainsi est la règle de la règle, elle permet de couler, mais aussi elle permet de replacer les éléments à leur place en créant de l’ordre.
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