Le secret des Symétries

L’expérience que les symétries ont permis de démontrer à l’auteur, c’est que leur utilisation et leur découverte ne sont pas chose évidente à première vue. D’abord, les symétries sont une façon de créer des règles qui n’est pas encore beaucoup exploitée. Cela a commencé par un simple rêve qui a permis à l’auteur de voir ce que les symétries permettaient de faire.

Tout d’abord, une symétrie n’est pas une copie conforme de 2 éléments, par exemple c’est une façon de fermer ce que nous allons appeler un « rond ». À propos du sans fin, l’auteur a créé les documents « La force des Maîtres » (doc# WIS-0002-v3-FR) et « Le secret du Sans Fin » (doc# PHY-0012-v1-FR). Les symétries sont en quelque sorte une base en science qui se révèle complexe à cause de la multitude de choses sur lesquels nous pouvons observer des symétries.

Une symétrie qui est bien créée révèle quelque chose de dominant sur la connaissance et sur le monde. Même si par la lecture de ce document votre formation sur les symétries restait basique, il n’en demeure pas moins que vous aurez déjà un contrôle sur comment créer et étudier les symétries qui se cachent théoriquement dans la conception du monde et des éléments de la physique.

Vous verrez ultérieurement que ce document peut influencer votre perception de la réalité actuelle sur la physique. Vous trouverez une nouvelle vision de comment nous pouvons voir les choses autrement et les explorer.

Ce document est un texte de haute importance parce qu’il révèle la face cachée de la physique. Ce document est à prendre au sérieux, et vous constaterez d’ailleurs par vous-même que les symétries ont un pouvoir dominant sur le monde, pour la recherche. Il constitue d’ailleurs le premier pilier de la recherche scientifique moderne selon Matheus.

Avec vos nouvelles connaissances sur les symétries, vous serez en mesure de démystifier et comprendre beaucoup mieux la science. Avec des efforts de recherche, vous en comprendrez davantage au cours de votre vie, mais d’abord contempler cette œuvre qui vous en mettra plein la vue.

À l’école primaire, la symétrie est enseignée comme une méthode pour reproduire une forme semblable à partir un miroir. Cet apprentissage de base n’est pas plus développé, tout simplement parce que la nature des symétries vient de loin, et n’est pas un concept développer instinctivement.

Nous allons reprendre le concept d’une symétrie. Si une symétrie peut être une copie conforme dans un miroir, elle peut être autrement si ce n’est pas un miroir qui est utilisé pour faire la symétrie, mais votre intelligence.

L’imagination déborde quant à la quantité de symétrie qu’il est possible de créer avec seulement 2 éléments, et ce de façon infinie. La symétrie dans ce concept mathématique est une grande mer d’idées faisant appel à la créativité de son concepteur. Bien entendu, nous n’utiliserons pas toutes les possibilités. Ce qui est important de retenir, c’est que nous construisons avec les symétries. La science n’existe pas, elle est un concept inventé par l’être. La science est une symétrie de l’imagination de l’homme. Les moyens de vérifier quelque chose sont ce qui donne une forme à la science et lui donne son caractère.

La science est une façon d’exprimer une idée comme les auteurs expriment des histoires dans les contes. Le plus important caractère de la science c’est la base. Et sur cela, la science ne s’appuie sur aucune base. Elle a été fondée pour construire des bases. Mais cela est le plus grand défaut de la science, car si nous voudrions construire des bases, sur quoi les construirons-nous ? Sur le néant, pour le scientifique ordinaire. Mais nous, nous allons apprendre à explorer les bases déjà existantes et construire sur celle-ci : les bases symétriques.

La 1^ère base qu’il faut connaître est qu’il faut fermer le rond. Cette se fait en dupliquant symétriquement, par exemple, une forme vers le côté opposé. Nous ne l’avons pas montré sur la figure 1.1, mais imaginez qu’il y a un point central entre les 2 formes symétriques. Donc, ce point est le rond. Mais vu que l’on ferme le rond en créant une symétrie de cette façon, alors ce rond n’a plus raison d’être. Et cela constitue la première règle de base pour créer une symétrie « Fermer le rond ». Le rond fermé, il n’existe plus.

De la sorte, nous ne nous concentrons pas sur des points de repère dans cette nouvelle science, ni des clés, nous construisons des systèmes. Ainsi pour construire un système sans point de repère, nous harmonisons les composantes de ce système.

La 2^e base est que nous recréons le cercle. Pour ce faire, nous appliquons une symétrie vers l’extérieur de la première base. Ainsi, cela recrée le cercle.

Sachant que l’on peut faire des symétries vers l’extérieur, nous pouvons aussi en faire vers l’intérieur à partir du second rang. Les symétries n’ont pas besoin d’être égales, car une symétrie peut être de grandeur différente à la source. Donc, la symétrie vers l’intérieur constitue la 3^e base.

La 4^e base est une symétrie parallèle, et elle peut être effectuée n’importe où.

La 5^e base est une symétrie que nous allons baptiser « pointe de tarte ». Comme son nom l’indique, elle est effectuée suivant l’aspect d’une pointe de tarte, et peut être placée n’importe où.

Il est important de retenir que jamais le cercle ne sera décalé ou difforme. Toutes les symétries gardent l’aspect circulaire.

La 6^e base est la symétrie de l’épaisseur, ainsi une forme peut devenir plus épaisse en couche inférieure ou en couche supérieure, ou les deux.

La 7^e base est la symétrie linaire circulaire. Dans une couche, nous pouvons créer une symétrie avec une portion de cette couche, créant ainsi l’aspect d’une ligne brisé en quelque sorte. Cette base est essentielle pour naviguer à l’intérieur du cercle. Nous n’avons donc pas besoin d’utiliser les degrés enseignés dans la mathématique traditionnelle.

Voilà maintenant 7 bases qui nous aident à comprendre la symétrie.

Maintenant que vous êtes initié aux symétries, il reste à comprendre jusqu’où les symétries peuvent vous mener dans vos études, vos recherches ou vos réflexions. La symétrie ne s’applique pas seulement sur les formes comme nous venons de le voir, elle s’applique aussi sur la connaissance. Pour vraiment voir son potentiel, au lieu de procéder avec la méthode d’isolation de facteurs en recherche, nous pouvons procéder avec la méthode d’extension symétrique.

Cette méthode (extension symétrique) permet de réécrire d’une autre façon une connaissance. Elle est utile pour justement pouvoir créer des combinaisons de la connaissance qui autrement ne se ferait pas. Combiner la connaissance n’est pas possible avec la compréhension simple de quelque chose. Combiner la connaissance devient possible grâce en créant une symétrie d’une connaissance appliquée avec une autre connaissance.

Ce que cela doit nous apporter, c’est un mystère, car nous ne pouvons pas élaborer explicitement exactement un exemple concret. Mais nous allons étudier la méthode.

La méthode consiste à créer une symétrie d’une connaissance, par exemple, à la connaissance « la lumière du soleil est blanche », nous créons la symétrie « le soleil crée de la lumière ». Ensuite, nous créons une combinaison de cette connaissance avec « la lumière puise le blanc du soleil ». Cela donnerait en fin de compte « Le soleil crée du blanc ».

Scientifiquement, cette dernière information devient une donnée à prendre en considération.

Maintenant, l’extension symétrique est plus claire parce que nous avons vu que nous pouvons créer des données. Donc, au lieu d’isoler un facteur pour cueillir une donnée, nous utilisons la méthode de l’extension symétrique. La symétrie elle-même sert donc à créer une extension à la connaissance. Au lieu de voir une connaissance comme telle, nous pouvons donc la voir avec une compréhension supplémentaire.

Il n’y a pas de limite tant qu’à le pouvoir des symétries à créer des extensions, mais il y a quand même une limite de structure qui doit être prise en compte. Comme vous le savez, avec les symétries, il est possible de créer des structures, et la limite est atteinte lorsque la structure ne peut pas être seule pour exister. Donc, une symétrie est aussi un ensemble de structures qui sont liées les unes avec les autres. La connaissance nouvelle doit être encadrée par une structure en harmonie avec l’ensemble. Et ce pour quoi aussi l’étude des symétries n’est pas une chose simpliste en recherche, c’est parce qu’il est difficile d’harmoniser correctement les fruits de la recherche basés sur l’application des symétries.

Mais le mieux que l’on peut faire avec les symétries, le mieux que l’on obtient des résultats spectaculaires. Bien que jusqu’à ce jour, les symétries n’ont pas fait l’objet de grande étude, son domaine est restreint qu’à ceux qui sont bien initiés aux symétries. Et ce document vous montre comment utiliser correctement les symétries dans vos recherches.

L’extension symétrique peut aussi dévoiler des détails cachés. Comme nous venons de voir seulement créer une extension à la connaissance, nous pouvons aussi extraire de la connaissance dans de la connaissance. Ainsi, cette méthode est beaucoup mieux qu’avec celle d’isolation de facteur. En faisant une extraction de connaissance, nous faisons ressortir des facteurs clés de la connaissance tout en respectant une harmonie de l’ensemble des connaissances. Cette méthode est mieux que la lucidité du chercheur, cette méthode (extension symétrique) est une nouvelle façon de raisonner, mieux que la raison intuitive du chercheur. Donc, cette méthode permet d’atteindre des résultats plus concrets et aussi plus innovateurs.

L’un des secrets les plus prometteurs de l’utilisation des symétries est qu’il s’agit de l’avancement en continu. Ce secret nécessite la plus grande attention, car l’application des symétries ont du succès dans les recherches d’un chercheur que s’il applique continuellement des avancements dans l’ordre continu. Cela signifie que l’on doit avancer dans ses recherches qu’en ajoutant de petites trouvailles.

L’erreur la plus marquée des chercheurs serait qu’ils veulent crier « eurêka » sur de grande trouvaille. Mais pour arriver à faire avec les symétries, le chercheur doit créer sa trouvaille et non l’obtenir avec des concepts clés. D’ailleurs, les concepts clés n’existent pas avec les symétries. Une symétrie d’ailleurs sert à créer les concepts de la science, donc il ne s’agit en aucun cas de clé ou de loi ou de théorie. Les méthodes traditionnelles des chercheurs visaient à appliquer l’étude de loi de la physique par exemple, mais maintenant nous créons la connaissance en créant des règles et non pas parce que ces règles existent déjà, c’est plutôt qu’ils n’existent pas avant qu’on le crée.

Avant de passer en mode création de règles, il est bien important de disposer d’une harmonie. Et comme l’harmonie n’est pas ici n’est pas l’ensemble de l’existant, mais plutôt la continuité. Ce qui fait que l’avancement en continu crée l’harmonie. Allons-y à petits pas.

Nous devons aussi savoir que les symétries à partir de quand nous fermons le cercle, par exemple pour les formes, cela devient le centre, il se crée donc un centre. Car l’aspect le plus important des symétries est que cela sert à créer des centres. Mais ce n’est pas tous.

Les experts seront ceux qui comprendront cela, c’est que l’on crée des compositions avec les symétries. Les scientifiques n’ont pas réussi à avoir la bonne technique pour percer les secrets de la nature. Mais avec cette compréhension nous pouvons atteindre de vastes horizons technologiques.

La composition est quelque chose qui n’est pas maîtrisé dans la plupart du talent des artistes, puisqu’au fond la composition doit être guidée par les centres et aussi l’art en soi doit devenir une composition et non un effet. Pour distinguer une véritable composition symétrique d’une composition banale, c’est que l’on perd le focus avec les compositions banales. L’art d’un texte bien créer est tout d’abord qu’on ne perd pas le focus sur le sujet et il en est ainsi aussi pour la recherche scientifique, les chercheurs perdent le focus.

Garder le focus dans sa composition est quelque chose qui est difficile à faire sans les conseils de ce document. Ce document a été monté de façon non continu, mais avec de l’expérimentation à créer avec les symétries. Et ce pour quoi personne arrivera à ce résultat, la qualité de ce document, c’est parce que tout simplement l’auteur puise sa connaissance dans une harmonie créer avec tout ce que l’utilisation des symétries enseigne. Ceux qui voudront imiter cette recherche se planteront, car ils voudront atteindre des résultats concrets le plus tôt possible. Mais ce document fut préparé avec une patience qui a tout son poids dans la qualité de la conception de l’étude des symétries.

Voyons la composition de plus près. Il a été dit à la section 1.3, « L’extension symétrique », de ce document que nous pouvions créer une symétrie sur la formulation d’un concept scientifique. Mais maintenant avec la composition, nous raffinons les symétries.

L’aspect le plus important de la composition est que chaque élément qui s’ajoute doit inclure l’élément précédent. Ainsi, nous pouvons débuter à 0 et finir avec une ampleur de connaissances inouïes.

Dans la composition, il n’est pas tenu de toujours garder l’élément antérieur, ainsi nous formons une chaîne de connaissance : cela est l’élément le plus important à considérer, la chaîne. Si les scientifiques avaient ce secret de la composition par la chaîne, ils laisseraient tomber l’application de dite « lois » à certain moment donné dans la chaîne de connaissance, mais ces êtres avares passent à côté de la voie d’expansion de connaissances, cette expansion n’est pas bien composée en perdant le focus sur les aspects centraux.

Ainsi vous vous rendez compte en lisant ce document que bien des réalités sont aussi sujettes à ce secret de composition. Par exemple, il faudra lâcher prise pour composer correctement sans appliquer le dogme du principe, ce qui ne signifie pas que le principe n’existe plus, cela signifie seulement que des principes peuvent être suspendus et réappliquer plus loin. Ainsi on doit faire comme cela avec la composition.

La symétrie ne serait pas complète si nous n’utilisions pas l’improvisation. L’improvisation est justement ce qui permet de faire la rupture avec ce qui cadre un environnement. L’improvisation permet de créer. C’est le secret de toute création. Plus les gens suivent des cadres (modèles de société ou procédures) plus les gens passent à côté de l’improvisation.

L’improvisation dans la création de symétries est absolument essentielle, et cela constitue le secret numéro un des symétries. Une improvisation permet de naviguer en terrain inconnu. Les scientifiques en général croient que c’est de quoi précède leur connaissance qui a du point sur les futures connaissances, mais ils font erreur. Nous ne devons pas nous appuyer sur le passé lorsqu’il s’agit de créer des symétries.

Mais maintenant si nous voulons créer, le passé ne doit pas être prise en compte puisque le passé sans l’intervention des symétries est un passé lourd plus qu’autrement. Pour créer, il suffira donc de naviguer en improvisant des symétries, et c’est la tâche qui fera l’œuvre du chercheur.

Improviser permet de créer une nouvelle organisation des données. Vous ne partez pas à 0, vous naviguez simplement en terrain inconnu. L’improvisation ne signifie pas inventer des faussetés, cela signifie organiser la connaissance autrement que l’organisation précédente. Cela signifie que les structures qui supportent une connaissance se définissent avec simplement des symétries et non pas des observations. Avec la méthode des observations utilisées généralement comme moyen de vérifier une connaissance, et bien, cette méthode vous limitera un jour où l’autre, car vous partez dans une seule direction, au sens de la vue, sans même utiliser les autres sens. En physique, les sens sont multiples, et justement pour utiliser une harmonisation des sens de la physique, il faudra s’appuyer sur une structure harmonieuse, et la seule qui peut atteindre une harmonie complète est la structure construite à partir des symétries.

L’improvisation permettra de vous ajuster non pas en écrasant les éléments précédant, mais plutôt en repositionnant les éléments précédents. Voilà.

À cette étape de compréhension, il revient maintenant à créer une symétrie qui soit bâtie d’une règle qui se porte bien dans l’environnement. À part toutes les symétries que nous avons vues précédemment, cette étape est en réalité la première et dernière étape, car il s’agit de créer la symétrie.

La création d’une symétrie n’est pas une tâche simple, il s’agit de l’aspect le plus complexe qui soit. Tout d’abord, les symétries ne servent pas seulement aux formes visuelles, elles servent aussi à élargir la compréhension sur quelque chose. Et ce pour quoi, créer une symétrie est relativement complexe puisque nous n’élargissons pas n’importe quelle compréhension n’importe comment. Le but en soi n’est pas de créer une symétrie juste pour créer une symétrie. Le but est de faire grossir la science sur quelque chose.

Ainsi, créer une symétrie nécessite ce dont nous avons discuté précédemment, mais aussi ce nouvel aspect : la longueur d’une symétrie. Par exemple, si nous avions la compréhension suivante « Le soleil est grand », alors la longueur d’une symétrie s’appliquerait à vouloir dire qu’en réalité, dans notre environnement du système solaire, le soleil paraît grand. Ainsi, nous voyons que la longueur de la symétrie se limite ainsi, nous ne pouvons pas affirmer que le soleil est grand dans l’univers tout entier parce que cet environnement est infiniment grand. Mais ce que vous devez savoir c’est que la symétrie à une longueur, et donc nous ne comparons jamais l’infini des connaissances ni l’infini quelconque, nous comparons ce qui est comparable. Donc, le soleil est immensément grand par rapport à la grandeur de l’être humain, et ceci devient vrai. Ainsi sont les symétries, elles élargissent la connaissance, mais ne la confectionne pas. C’est votre savoir qui confectionnera la connaissance. Et la symétrie créée sert justement à mesurer la connaissance et la restreindre à ne pas dépasser sa vérité.

Ainsi, créer une symétrie est une tâche complexe, puisqu’en tout temps, elle doit être vraie. C’est tout un défi ! Mais cela en vaut la peine, car en fin de compte, la symétrie c’est une vérité, c’est donc une règle. Et ceci doit rester dans votre mémoire : si la symétrie est vraie, alors c’est une véritable règle. La règle est ce qui importe dans les symétries.

La symétrie sert donc à créer des règles. Nous verrons plus loin ce que nous faisons avec toutes les règles créer avec les symétries.

Nous avons appris que les symétries étaient des vérités qui créaient des règles. Nous avons appris donc que la vérité, c’est nous qui la créons. Même si certains peuvent prétendre que cela est banal, c’est en réalité une tâche très complexe, car au fond, le but de la symétrie c’est de construire une harmonie de connaissance. Et sous cet aspect, l’harmonie n’est pas donnée à tout le monde.

Nous avons vu au chapitre précédent ce qu’est une symétrie. Maintenant, nous allons aborder un sujet très intéressant : ce que nous pouvons faire avec les symétries. Bien que maintenant vous êtes initiés aux symétries, cette nouvelle phase est la plus importante.

Nous révélerons le secret des symétries qui jusqu’ici ne vous a pas encore été dit. C’est à partir de cette révélation que vous comprendrez mieux l’importance d’étudier les symétries. Les symétries forment de grandes compréhensions en physique et sur divers sujets, vous le constaterez par vous-même en lisant cette section.

Étudier la physique constitue normalement une lourde tâche. Mais avec le secret qui vous sera dévoilé dans cette section, vous ne verrez plus la physique comme une lourde tâche, mais plutôt un domaine très intéressant qui est large et très promoteur.

Dans cette section, il s’agit du sujet entièrement sur les symétries, mais idéalement, vous devriez aussi compléter vos lectures en lisant le document « Le secret du Sans Fin » (doc# PHY-0012-v1-FR). L’étude de la dimension Sans Fin est en quelque sorte un autre sujet qui est lié aux symétries pour réaliser des choses concrètes. Mais tout de même, nous pouvons aussi faire avec les symétries pour réaliser des choses concrètes. Déjà avec la révélation du secret, vous verrez déjà le potentiel.

L’image de couverture de ce document présente en quelque sorte le secret. Nous avons l’impression que le feu est un élément primaire ainsi que le froid. Mais vous apprendrez maintenant que le secret est qu’une symétrie a extrait le feu et le froid du même élément. Ce dernier qui contient à la fois le feu et le froid est dit un élément du sans fin.

Ainsi le secret est comme tel, vous devrez retenir que tout élément dit primaire est né d’une extraction. Comme expliqué dans l’introduction de ce chapitre, vous devez lire le document sur la science du sans fin pour connaître comment le Sans Fin se comporte dans cette dimension. Il n’est pas faux d’appeler cela des éléments primaires, mais il est aussi vrai qu’il n’est pas seul si on le considère comme élément primaire.

La vérité est aussi devant vos yeux, comment ressentiriez-vous la chaleur si le froid n’existait pas. Donc, il est véritablement vrai que dans ce contexte nous devons avouer la vérité sur les éléments dits primaires. Cela ne vous enlève aucun désavantage devant une telle considération, tout au contraire, en s’appuyant sur le fait que nous pouvons extraire les éléments primaires, ceci fait en sorte qu’une nouvelle compréhension se fonde désormais sur les connaissances en physique.

De plus, pour vous démontrer qu’en considérant que les symétries sont à l’origine de l’extraction des éléments primaires, il faut penser à l’influence que les éléments primaires ont entre eux. Cette influence n’est pas donnée par hasard, les éléments s’influencent parce qu’ils ont une liaison, ils ont un lien qui les unit entre eux.

Le concept d’extraction des éléments dit primaires nous lance vers une voie d’étude qui ne fait pas seulement utiliser ces éléments primaires, mais permettra peut-être de les modifier. Si nous arrivions à modifier l’élément « chaud » par exemple à l’aide de nouvelle méthode d’extraction, nous pourrions créer des technologies qui jusqu’à maintenant étaient impossibles à réaliser.

Nous avons l’élément clé sur lequel nous pouvons s’appuyer pour modifier les éléments primaires, nous avons les symétries. Et bien entendu nous avons ce secret fabuleux sur l’extraction des éléments primaires. Donc, il ne nous reste plus qu’à creuser avec de la recherche intensive dans les domaines de la science, surtout en physique qui est un domaine primaire pour les autres domaines de recherche. Comme tout passe par la physique, il est convenable de mettre l’accent sur ce domaine.

Ce secret amènera un lot de connaissances et d’explications en physique qui risque d’être révolutionnaire. Déjà l’idée d’extraire les éléments primaires est un concept qui ne fut pas encore étudié, mais avec ce secret nous irons de l’avant. Et qui sait, vaut mieux réussir à créer des choses concrètes avec ce secret qui agit comme force motrice pour l’exploration en physique.

Bien que ce secret semble simpliste, il est en réalité la découverte de grands efforts de recherche, et il est la nouvelle base de compréhension de tous les domaines. Ce qui bloque un chercheur, c’est la capacité de perception, et justement avec ce nouveau secret, nous débloquons nos perceptions vers de nouveaux horizons de compréhension de la matière, des forces qui constituent ce monde, nous voilà maintenant voyant, ceux qui auront ce secret deviendront les nouveaux prophètes de la science, et c’est justement ce qu’il faut devenir un élite, devenir apte à expliquer les phénomènes. Nous pouvons porter jugement sur les phénomènes que seulement si nous sommes doués, et donc pour une compréhension au-dessus de nos capacités de voir, il ne nous est pas possible de la trouvé, sinon ce n’est que des ragots de promoteurs de demi-vérités. Avec ce secret, nous avons le don de voir plus clair dans nos analyses, et justement, nous avons maintenant la capacité de comprendre ce qui est au-dessus de l’intelligence moyenne.

Pour ainsi dire à quoi sert bon le secret de la section 2.1, il sert à comprendre le phénomène du temps. Bien que la majorité des gens ait une façon passive de voir le temps, et certains s’adonnent à des conclusions très passives, en réalité le temps n’est pas un résultat de la mécanique des éléments. Même qu’en absence de toute forme mécanique autour d’une personne, cette personne a quand même la perception de temps. Donc, le temps existe s’il est ressenti. Mais penchons-nous sur la clé du temps plutôt que sur des questions existentielles.

Outre que la passivité, c’est en regardant un simple film « Prince de Perse » que l’idée de la clé du temps est venue. Comme expliquées par la section 2.1 de ce document, les symétries sont issues du secret qui dit que les 2 éléments d’une même famille naissent du même élément. Cela permettra de comprendre la clé nommée « clé du temps », mais qui convient d’être appliquée à presque tous les éléments. Et donc, la clé c’est que les éléments existent déjà avant même leur naissance.

Cela parait à première vue impossible, mais cela est vrai. La clé du temps, appliquée au temps, est simplement que le futur est en constante attraction avec le passé, et cela forme avec les symétries, un cercle.

À partir de la figure 2.1, nous allons expliquer la clé du temps. Le présent est l’élément qui détruit ce qui est créé par la symétrie : le passé et le futur sont détruits par le présent. Le blanc est le futur, et le noir est le passé. Il s’agit d’une clé qui aide à comprendre le temps, et aussi qui peut être appliquée à presque tout.

Ainsi, la nature dans son fonctionnement intérieur créé constamment le temps, et le présent le détruis. Cela signifie aussi que même pour d’autres éléments que le temps, tel que la température, la chaleur et le froid se détruisent lorsque les 2 éléments sont ensemble en quantité égale.

Le secret des symétries donne la preuve de l’existence du temps et aussi la preuve que les éléments se créent et se détruisent constamment. L’éternité c’est le chemin entre la création et la destruction. Donc, le temps est éternel parce que le temps est constamment renouvelé avec la symétrie. Cela a ainsi donné naissance au cercle (figure 2.1) qui est un modèle de compréhension du secret des symétries.

Maintenant que nous savons que les éléments se créent et se détruisent, nous savons que le dicton « Rien ne se crée rien ne se perd » est complètement faux. Il faut avoir en main le secret des symétries et la clé du temps pour pouvoir comprendre que « Les éléments se créent et se détruisent constamment ».

Nous avions élaboré une théorie intéressante dans le document « Les clés de la physique » (doc# PHY-0009-v1-FR) qui est prise à la légère à propos de la science de la création. La meilleure façon de comprendre un élément est de commencer du plus facile vers le plus difficile. Rien ne sert de se casser la tête à vouloir comprendre la créativité, nous y arriverons simplement en remontant du sujet sur le temps, en passant par l’étude simplifiée de l’organisation de la mémoire et ensuite en finalisant avec une ébauche des plus utiles sur la créativité. La créativité est un sujet qui rend la symétrie fort utile et qui est la base d’application des symétries.

En récapitulant l’ébauche sur la science de la création qui a été étudiée jusqu’à présent, nous comprenons de ce concept que la créativité laisse des traces, ces traces forment à leur tour la mémoire qui s’organise, et ensuite le temps est engendré par l’aspect continu de la créativité et la capacité de mémoire. Il est important de retenir ici que pour qu’il y ait une créativité en continu pour un chercheur, il sera essentiel de réorganiser constamment sa mémoire et ne pas laisser passivement cette mémoire s’organiser. Plus les gens ont des structures permanentes de leur mémoire, plus la créativité fait partie de leur talent de chercheur. Mais la réalité est que les gens n’ont pas de structure permanente, mais nous verrons comment remédier à ce problème.

Dans le présent chapitre, nous passerons par l’étude du temps dans un contexte symétrique, pour nous diriger vers une compréhension simplifiée de la créativité. Nous apprendrons à extraire la créativité au sens propre du terme, c’est ce que nous verrons au final.

La vision du temps doit être séparée de l’aspect mécanique. En effet, nous avons tendance à associer le temps à la mécanique des éléments. Nous avons été habitués à voir le temps par un changement.

Il est vrai que l’on peut percevoir le temps à partir de la mécanique, mais le temps ce n’est pas un changement. Le temps doit être une vision. Avoir une vision sur les événements passé et à venir. Avoir une vision signifie percevoir l’éternité. Mais il y a un piège, si vous percevez l’éternité comme une répétition de quelque chose, vous tombez dans le piège. Avoir une vision n’est pas facile et exige de la pratique pour ne pas tomber dans le piège de la répétition.

Habituellement, les gens quand ils font quelque chose comme du ménage ou de la restructuration d’éléments par exemple les fichiers d’un ordinateur, ils regardent seulement leurs besoins actuels sans se soucier de ce qui arrivera à l’avenir avec leurs fichiers à venir.

Naturellement, vous ne cherchez pas à prendre conscience des besoins futurs, et vous vous dites « un jour à la fois » en prétendant que cela est une pensée gagnante. Mais vous vous trompez. Celui qui regarde un jour à la fois limite sa propre créativité. Si vous regardiez en avant (dans ce qui vient), vous travaillez plus fort, mais le travail en vaut la peine, car au fond la mémoire c’est de se souvenir à priori de que l’on croit qui vient. Prenez le monde au temps « 0 », la mémoire existe donc comme cela, vous devez vous souvenir de ce qui vient.

Souvent, nous prenons la mémoire pour nous souvenir du passé, c’est vrai que la mémoire est aussi le passé, mais ce passé, s’il avait été songé d’avance au temps « 0 », vous avez une symétrie. Ainsi la mémoire symétrique est beaucoup plus efficace que la mémoire du passé.

Vous direz que vous ne pouvez pas avoir tout avec la mémoire symétrique, mais encore vous vous trompez. Quand il s’agit de vivre les événements présents ou combler les besoins actuels, vous savez déjà pourquoi vous le faites. Ainsi doit être la mémoire pour vous amener à être créatif, si vous créer en sachant ce que vous faite, vous êtes plus avant-gardiste, vous créez des choses songées et réfléchies, vous ne faites pas n’importe quoi.

La créativité c’est de demeurer conscient des besoins non seulement actuel, mais aussi futur. Comme nous le mentionnons dans l’introduction de ce chapitre, nous parlions des structures permanentes. Pensez logiquement, une mémoire c’est quelque chose qui reste, ce n’est pas volatile. Ainsi doivent être les structures, elles ne doivent pas êtes fait pour être remplacer, c’est logique, qui dit « mémoire » dit aussi « ce qui reste ».

Avec les symétries, nous allons enfin comprendre la créativité. Nous avons vu l’éternité qui doit être vue par une vision sur le temps, et nous avons vu que la mémoire est ce qui reste. Maintenant, voyons le rôle de la créativité.

En fin de compte, la créativité n’est nul autre que construire quelque chose. Cependant, comme nous l’avons vu avec le temps et le piège de la répétition, la créativité c’est de faire des choses originales. Et comme nous l’avons vu avec la mémoire, la créativité c’est de faire des choses qui restent. Ainsi ce n’est pas facile d’être créatif, cela doit se cultiver, cela doit être mis en pratique pour être bon et développer du talent.

La créativité a pris du temps avant d’être comprise et mise en œuvre par l’auteur. L’expérience et la bonne volonté ont mené l’auteur vers une œuvre mature.