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Matheus - L'élément du temps

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L'élément du temps


Élément du temps
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L'élément du temps
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Mise à jour : 2014-02-23

Créé le : 2014-02-23

Type : Document





Chapitre 1 - Comprendre le temps comme un
élément

Le temps est vu passivement en général par les gens. Son existence est continuellement mise en doute parce que le temps n’est pas un élément tangible, mais il n’en est pas moins que c’est un élément. Ce chapitre rend évident l’existence de l’élément du temps. Le manque de recherche sérieuse en science sur le temps pourrait être responsable de certains arrérages, évitant beaucoup de connaissance. Nous verrons plusieurs aspects du temps dans ce chapitre, et conseils pour aller plus vite en recherche.

Le temps a été longuement négligé et nous comptons rendre cet élément indispensable à toutes formes de recherche à l’intérieur de Matheus. Nous commençons donc de nouvelles analyses en tenant compte de ce qu’apportera ce document.


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1.1 Le temps vu sous un angle hiérarchique

La hiérarchie est un concept qui tient compte du fait que plusieurs éléments fonctionnent ensemble, ainsi le temps peut être vu sous un angle hiérarchique. L’engrenage d’une horloge calcule le temps, mais d’une certaine façon, si tout l’engrenage était conceptualisé sous un diagramme hiérarchique, nous comprendrions que les choses sont ainsi faites, ainsi tous les éléments peuvent s’intégrer à l’intérieur d’une vision hiérarchique.

Si les éléments qui composent la matière (atome) par exemple étaient vus dans leur ensemble comme un engrenage mécanique qui se visualise hiérarchiquement, nous pourrions élaborer de meilleurs modèles de l’atome. Le temps doit être vu ici comme étant justement cette hiérarchie. Ainsi le temps existe de cette façon, le temps serait l’élément indispensable pour créer des liens entre les éléments et ainsi les faire fonctionner ensemble. Mais cela est juste une courte théorie du temps pour voir la place que le temps peut occuper dans la nature.

La place que le temps occupe est la première chose que l’on doit considérer. Le temps n’est pas l’élément central d’une hiérarchie, nous en discuterons plus loin. Le temps est l’origine d’un ensemble de choses, c’est donc sa place. L’origine est ce qui traverse tous les éléments, l’origine rappel le sens général d’un ensemble. L’origine est donc le temps. Tous les éléments d’un ensemble se situent toujours par rapport à l’origine, et c’est ce qui fait vivre le temps, c’est pourquoi le temps est partout.


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1.2 L’espace-temps

Le temps ne doit pas être vu comme une constante, il varie. Bien que nous ayons appris à voir le temps comme une constante à cause de notre vision des horloges et des montres, le temps n’est pas comme tel. Il existe l’espace-temps qui fait varier le temps. L’espace-temps fait partie du temps, nous devons l’appeler ainsi pour symboliser le fait que le temps sera plus long ou plus court à certains moments.

Pour percevoir l’espace-temps, pensez aux ondes. La forme sinusoïdale (avec fréquences) des ondes est causée par l’espace-temps. L’espace-temps existe même dans la conception de la nature elle-même. Si vous prenez l’exemple de la foudre, l’éclair est vu en premier par rapport au son. Cela est dû au fait que la lumière voyage plus vite que le son, mais aussi nous pouvons voir un exemple d’espace-temps, l’espace-temps est donc bien réel.


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1.3 Le temps, élément indivisible

Quand nous reprenons le théorème sur la hiérarchie présenté à la section 1.1, nous devons admettre qu’il existe une preuve de l’existence de l’indivisible, comme le temps. En songeant, à la hiérarchie, cela nous fait penser que chaque branche de la hiérarchie est un élément divisible par cause de l’existence de leur pair au même niveau hiérarchique. Si nous prenons aussi l’exemple d’un point, il est divisible semblera-t-il à l’infini. Mais le seul élément qui n’est pas divisible d’une hiérarchie est le premier élément, l’élément en haut de la pyramide d’une hiérarchie. Ainsi, cela rappelle que bien des choses possèdent cet élément indivisible.

Nous avons pu voir à la section 1.1 que nous pouvons créer des hiérarchies de simple à complexe avec toutes formes de système, et sur chacun de ces systèmes il existera l’élément hiérarchique qui est indivisible. Même si cet élément n’est pas d’ordre tangible, il existe d’une façon ou d’une autre, puisqu’il y a toujours quelque chose qui rassemble, dans certains cas, c’est l’enveloppe qui rassemble tout les autres parties. Dans le cas de l’être, sa peau pourrait être l’élément premier de la hiérarchie.

Il faut réfléchir à trouver le centre (élément premier d’une hiérarchie) d’un système quelconque. Ainsi même une réflexion sur l’horloge, ce n’est pas le mécanisme qui est le centre, c’est ses aiguilles.


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1.4 Miser pour avancer

Ici, cette section est dédiée pour expliquer ce qu’en ait des risques que l’on prend quand il s’agit de vouloir avancer. Tout d’abord, je vous assure que l’important c’est de miser dans une voie, même si vous perdiez quelques fois du temps, d’autres fois vous gagner, car vous ne pouvez pas seulement perdre votre temps tout le temps.

Ceux qui misent vont plus loin que les autres. Si vous attendiez après la preuve, la preuve viendra à vous que très rarement. Au moins en ayant fait l’effort de miser dans une voie, vous faites évidemment un pas en avant. C’est en faisant des pas devant que l’on avance. Il ne s’agit pas d’une grosse perte après tout, il s’agit de risquer de perdre du temps. C’est certain que si vous attendez après la preuve ou des informations, vous perdez tout votre temps tout le temps. N’hésitez donc pas à miser dans une voie, à miser vos efforts sur quelque chose qui pourrait vous faire perdre du temps, car en fin de compte vous ne vous tromperez pas tout le temps.


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1.5 Remiser avec de nouveaux paramètres

Des gens s’arrêtent après avoir essayé toutes les possibilités parce qu’ils croient que toutes les possibilités sont envisageables. Il ne faut pas commettre ce genre d’erreur qui vous rendra généraliste au lieu d’être spécialiste. Le mieux est que si une voie sur lequel vous avez misé n’a pas été un succès attendu, au moins vous pouvez toujours remiser sur cette voie avec de nouveaux paramètres et non essayer toutes les voies possibles.

Encore là, en remisant sur la même voie avec de nouveaux paramètres, n’essayez pas tous les paramètres possibles. Faites des choix selon les convictions qu’ils vous vont le mieux. Le temps est peut-être précieux, mais le succès est encore plus précieux. N’ayez pas peur de perdre votre temps en remisant, comme pour la même chose de miser, en remisant vous ne perdrez pas toujours votre temps.

Persévérer est en quelque sorte ce que nous entendons ici, mais plus particulièrement, il ne s’agit pas d’écouter son sentiment, il s’agit de réfléchir comment nous pouvons faire les choses mieux, et lorsque je vous dis de prendre de nouveau paramètre, il s’agit de choisir de meilleurs paramètres après avoir choisi avec justesse ces paramètres.

Faites attention de ne pas vous fier sur votre voisin, lorsque l’on entreprend une voie c’est personnel à l’individu qui l’entreprend ou au groupe qui l’entreprend. Il est impossible de calculer exactement tous les paramètres qui sont inclus dans la voie que vous entreprenez, et c’est principalement la raison pour lequel il ne faut pas se fier au voisin. Avoir confiance, ce n’est pas seulement « avoir confiance pour le voisin », c’est aussi « avoir d’abord confiance en soi ». Sachez aussi que ce n’est pas parce que le voisin échoue en affaire (dans une voie), que cela vous arrivera.

Même si dans notre parcours, nous avons eu du succès, nous pouvons aussi continuer à remiser dans cette même voie avec de nouveaux paramètres sachant qu’il est possible que l’on fasse croitre ce succès.


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1.6 L’intelligence artificielle

Le temps joue un rôle important dans l’analyse de l’intelligence. Tout d’abord si nous remontons à partir du bas niveau hiérarchique jusqu’au plus haut (point central), nous débutons avec les mots pour aller vers les phrases, puis vers les documents, vers les sujets, vers les modes (lecture, écriture, orale, etc.), puis vers les épisodes (rire, conversation, études, etc.), et finalement vers les moments (donc le temps : rendez-vous, travail, visite, etc.). Passer la barrière du temps qu’y a-t-il ?

Le temps ne peut pas être franchi, mais cela anime l’intelligence plus que tout. Nous devons prendre conscience que le temps est donc extérieur à l’intelligence puisqu’il ne fait que l’animer et ne fait donc pas partie de l’intelligence en tant que telle.

Le centre de l’intelligence est donc extérieur à l’être. Puisque tout ce qui a été dit au premier paragraphe de cette section est des fonctions, et non le moteur de l’intelligence.

Pour connaître davantage sur l’intelligence, nous devons trouver l’élément central du temps.

Voyons maintenant la « hiérarchie conique ». Cette forme de hiérarchie est appelée ainsi à cause de sa forme montrée à la figure 1.1 ci-dessous. La compréhension que l’on doit retenir de cette forme de hiérarchie est que rien n’est divisé comme un graphique hiérarchique à branche, et « qu’en même temps », nous pouvons accéder à toutes les couches d’élément. Dans le graphique de la figure 1.1, nous l’affichons en strate et aussi en graduel.


Figure 1.1 – Hiérarchie conique


Figure 1.1 – Hiérarchie conique

La hiérarchie conique est un avancement dans la trouvaille de l’intelligence artificielle, puisqu’elle permet de définir la rareté d’un élément, et l’abondance de l’autre. Ainsi, selon la figure 1.1, l’élément « chaud » (couleur rouge) devient plus rare, et l’élément « froid » (couleur bleue) devient plus abondant.

La hiérarchie conique est aussi une façon d’expliquer comment le secret de la symétrie (voir le document « Le secret des Symétries », doc# PHY-0011-v1-FR) fonctionne, sachant que le secret était que 2 éléments sont issus du même élément. Effectivement, la hiérarchie conique nous apprend que la rareté et l’abondance deviennent une symétrie croisée avec 2 autres éléments par exemple, le chaud et le froid. La symétrie croisée est un bon exemple d’intelligence, puisque pour arriver à assembler des éléments et les unir ensemble, nous devons employer la hiérarchie conique (qui est une utilisation de la symétrie croisée).


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1.7 De la répétition vers la créativité

D’abord, imaginons-nous que l’univers démarre avec un processus répétitif, car nous pouvons le voir que malgré de la différence qu’il y a, certaines choses comme les planètes, les systèmes solaires, les galaxies, les atomes, et les phénomènes de la physique sont répétés. Ce qui fait en sorte que l’univers est régi par des règles (répétition) de création.

Comment pouvons-nous imaginer ensuite que malgré des règles de la physique, intégrant la répétition, nous arrivons à des résultats créatifs. Cela s’explique par le processus hiérarchique. Le processus hiérarchique est en quelque sorte le temps qui est poussé par la créativité. Comme le temps n’est pas une règle, il n’obéit pas à la répétition, et permet donc à la créativité de prendre de l’expansion, fonctionnant aussi en respect avec les règles déjà établies.

Le processus hiérarchique est établi à la figure 1.2 ci-dessous. Nous voyons comment une matrice (source de créativité, voir le document « Faire de la magie », doc# WIS-0004-v1-FR) fera son entrée avec le processus hiérarchique. La hiérarchie dans ce graphique est le temps vu sous l’aspect d’une continuité d’une répétition.


Figure 1.2 – Processus hiérarchique


Figure 1.2 – Processus hiérarchique

Nous pouvons voir avec la figure 1.2 que le diagramme hiérarchique a des liens qui varient et ne sont pas égalitaires par rapport à d’autres parties du diagramme. C’est ainsi qu’est la nature, les choses prennent la place qui leur est donnée régie selon le temps. Ainsi sont aussi les choses de la vie pour un être, le temps jouera le rôle principal dans ce qui est de l’accès à quelque chose.

La définition de la créativité est donc : « Un processus par lequel flux les choses avec le temps permettant de créer des différences dans les associations d’idées, de choses, de matières, etc., ainsi ne donnant pas tout le temps accès à toutes ces éléments sur quoi la créativité prend effet. »

Nous avons donc là la preuve ultime que le temps existe bel et bien. Nous avons vu que le temps était donc un élément qui régissait l’accès à quelque chose, et même s’il y avait de l’espace entre 2 éléments et que quelqu’un aurait l’affirmation que c’est l’espace qui fait le temps, nous pourrions réaffirmer par-dessus cela que le temps est ce qui donne l’accès à ces choses laissé là et là. Le temps est peut-être non tangible, mais n’empêche que le temps rend la vie très passive pour un être, et plus les êtres ont cette conscience du temps, plus la passivité est présente dans leur vie. Comme cela est une coïncidence que nous prenons du temps pour se ressourcer, le changement est donc passif.


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1.8 Conclusion

Bien que le temps soit un élément primaire, le temps est une création en quelque sorte. Au fond, ça sera la créativité par le processus hiérarchique (expliqué à la section précédente), le temps est donc engendré par la créativité et la mémoire (voir le document « Les clés de la physique », doc# PHY-0009-v1-FR). Le temps n’existe pas parce que d’autres éléments existent. Le temps existait aussi déjà avant la créativité, mais là où le temps trouve sa place, c’est lorsqu’il rejoint la créativité et la mémoire (toutes structures qui conservent ce que la créativité fait) des choses. Le temps est l’élément qui sépare les choses d’entre elles, nous pourrions presque affirmer que le temps est aussi l’espace, il est ce qui divise par le fait que sa structure indivisible (voir section 1.3) nous rappelle à quel point tous les autres éléments sont en quelque sorte divisibles avec la logique du temps.

Donc si nous considérons l’espace comme étant une partie du temps, cette partie n’existe pas à l’intérieur de ce que l’on souhaite divisé, parce en fin de compte, il est nécessaire qu’il y ait de l’espace entre les divisions pour que cette division existe. Et si le temps le veut, la division n’existe pas sans que le temps la fabrique. Ainsi est le temps sous sa compréhension la mieux élaborée.


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Chapitre 2 - La règle symétrique du temps

Ce que nous avons accompli jusqu’à maintenant est grandiose, cependant il reste l’étude du dernier élément qui symbolise le temps, il reste donc la « précision ». Cet élément qui est en lien avec le temps doit être compris pour pouvoir exécuter de grande prouesse en ingénierie, en mathématique, en physique, et autres domaines.

Tout d’abord, pourquoi la précision? La règle symétrique du temps est qu’aucun élément plonge dans une inconsciente pause du temps. Donc le temps n’a pas de pause. Le temps, symbole de l’indivisibilité, est donc continuel pour chaque instant. Le temps fait donc son travail de temps. Mais si nous utilisons ici la symétrie, la précision est la seule symétrie qui peut exister avec le temps. Tout d’abord, même l’horloge a été inventée pour que l’être soit plus précis dans ce qu’il planifie faire. Le temps a donc le travail d’établir la précision.

Cette règle symétrique du temps, qui est la précision, sera étudiée de manière à apporter lumière sur comment nous pouvons atteindre une précision absolue par exemple dans la fabrication de microprocesseur. Cela peut donc servir à plusieurs domaines et donc est très utile à comprendre, et ce sera ce qui surenchère ce document dans sa valeur, à cause de tout le travail de recherche qui vous sera livré.


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2.1 L’unité de la précision ultime

La meilleure façon d’obtenir une précision ultime, c’est en utilisant une unité créée avec la symétrie. La symétrie peut être utilisée dans le sens micro ou macro. Pour obtenir toujours la même unité, il suffit d’appliquer une symétrie de cette unité. Ensuite nous pouvons aussi si on désire, créer des micros unité en simplement trouvant le centre d’une unité à l’aide de la symétrie.

Ce procédé pourrait être utilisé dans la nano fabrication. Si la symétrie avait été utilisée, nous en serions probablement à connaître des procédés atteignant la précision ultime. Le monde de l’informatique et de l’électronique utilise des processus séquentiels pour calculer, ce qui est source d’erreur et de complexité lorsque l’on veut atteindre plus de précision. Tandis, qu’avec la symétrie, nous atteignons sans complexité, mais avec de l’ingéniosité des procédés fabriquant encore plus petit que les prouesses actuelles en technologie.

Avec la connaissance de cette règle, nous pouvons devancer en moindre temps tous les efforts sur les technologies basées sur un avancement séquentiel (par étape). La précision qu’apporte la symétrie est aussi un concept lié au temps, car le temps, comme le passé se reflète (par symétrie) toujours sur le futur. Ainsi est établi la règle du temps, le temps dépend toujours de la source pour continuer, et ce pour quoi le temps est indivisible parce que tout se tient ensemble.


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2.2 Le concept avancé d’intelligence artificielle

Nous étudions le temps comme étant un miroir du passé sur le futur en quelque sorte, que peut-on tirer de cela? D’abord, nous avons appris à baser la précision sur la symétrie. Ensuite que pouvons-nous en tirer? Eh bien, nous pourrions construire un système d’intelligence basée sur cette règle de précision du temps.

Pour y arriver, imaginer que le langage est comme un flux à plusieurs tentacules. Toutes les tentacules s’embranchent une par derrière l’autre formant une chaîne. C’est ainsi que nous pouvons aussi continuer à utiliser des systèmes séquentiels (à la chaîne) sachant que la symétrie est simultanément utilisée pour former des liens ou des groupes de mots et ainsi de suite avoir une synthèse artificielle de quelque chose. L’expérience serait intéressante à réaliser pour confirmer ce que réellement cela pourrait nous mener.


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2.3 Le temps vu comme une chaîne

Nous avons vu à travers la connaissance générale que les règles laissaient des traces, et que ces traces sont d’apparence linéaire comme nous confondons aussi le temps et plusieurs autres éléments de la physique, puisqu’au fond nous avons tendance à imaginer que les choses qui semblent se déplacer comme le temps le font de façon linéaire, mais ce n’est pas linéaire.

Il faudra regarder le temps comme une chaîne. Une chaîne a des maillons qui s’emboîtent les unes dans les autres et cela est exactement comment le temps est fait. Nous avons appris que la symétrie jouait un rôle important, son rôle est maintenant plus grand puisqu’en fin de compte les maillons du temps se tiennent grâce à la symétrie. La symétrie empêche le temps d’avoir une brisure. Comme toutes les choses se tiennent logistiquement entre elles dans l’univers parce que l’un s’appuie sur l’autre et ainsi de suite, le temps est comme cela. Mais pour s’appuyer, il doit contenir une partie de l’autre et c’est ce que nous appelons la chaîne, donc simultanément 2 maillons doivent se contenir ensemble en partie. Le temps n’est donc pas divisé, car chaque maillon s’accomplit en partie simultanément avec le maillon qui suit.

La figure 2.1 montre comment le temps contient-il une symétrie non seulement dans l’unité, mais aussi dans la chimie qui se forme entre 2 séquences de temps qui nous ramène à présenter le temps comme une chaîne. Toujours à la figure 2.1, nous montrons que la même chimie se produit au niveau des molécules et des objets (atomes vus avec un microscope à effet tunnel).


Figure 2.1 – Chimie du temps


Figure 2.1 – Chimie du temps

Cette vision du temps comme une chaîne permet aussi de comprendre que même le chaud avec le froid forme une chimie, même le courant électrique positif forme une chaîne avec le courant négatif, etc. Ce qui est important de retenir, c’est simplement que la chaîne est le meilleur modèle pour représenter le temps, et non une ligne, comme dans une « ligne du temps ».

En s’assurant que le temps est comme une chaîne, nous avons toute la chance de notre côté pour obtenir une précision. Si les éléments qui composent une machine, par exemple, sont agencés non séparément techniquement parlant, mais plutôt en intégrant une partie du fonctionnement d’une autre partie, alors nous avons une machine qui respecte le même aspect que la chaîne du temps, et nous obtenons alors une plus grande précision, ou disons que la précision ultime est atteignable.


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2.4 Les fissures du temps

Ici, nous ne parlerons pas de voyage dans le temps. L’emploi du terme les « fissures » ne veulent donc pas dire que le voyage dans le temps existe, mais simplement que le temps n’est pas linéaire au sens que l’on ne peut pas prédire avec précision le temps ni faire des prévisions toujours justes. C’est qu’il existe ce que nous appellerons les « fissures du temps ».

Le terme « fissure » renvoie à dire que le temps finit par se briser et ne plus exister tel que la réalité nous l’indique : les projections que nous faisons ne se réalisent pas nécessairement. Pourquoi en ayant utilisé de la précision ultime, nous ne parvenons pas à prévoir tout? Les fissures sont des ouvertures qui se créent à mesure que nous avançons. Ces ouvertures sont souhaitables, et au-delà de vouloir tout prévoir, nous avons des ouvertures qui empêchent que les choses deviennent répétitives. Car au fait, les prédictions et les prévisions sont un ordre selon lequel il est probable que les choses se passent en suivant de tels paramètres établis dans le présent, mais évidemment les fissures (ouvertures) seront de nouvelles sources d’information.


Figure 2.2 – Les fissures du temps


Figure 2.2 – Les fissures du temps

Vue artistique

Les fissures peuvent pousser à l’abandon de quelque chose, d’une idée, ou d’une valeur ancienne, car comme le temps a ses réserves du futur, les fissures sont ce qui rend désuet les éléments. Ainsi peut-être même que la vieillesse est causée par des fissures qui abîme le corps à un point tel qu’il ne soit plus réparable. Devons-nous croire que tout se brise… à l’exception d’une seule chose : la mémoire. Mathématiquement démontrée dans le document de l’invention de la compression de données, cette mémoire doit théoriquement exister même dans la nature malgré sa présentation qui est de nature artificielle. Car rappelons-le, la mémoire est ce qui s’oubliait avant l’invention à cause de la surcharge des données dans les ordinateurs et le ménage des données, et maintenant avec cette invention de compression de données, la mémoire ne surcharge jamais. Il vaut bien la peine de mémoriser tous nos données.

Les fissures ne sont donc pas des ennemis, mais peut-être ce qui nous pousse à faire mieux que la fois précédente. Lorsqu’un concept de création tombe à cause d’une fissure, cela est sans doute naturel que ce concept de création ait besoin d’une cure de rajeunissement, ou tout simplement un remplacement. Les fissures ne peuvent pas être évitées, elles apparaissent là où c’est nécessaire. Voyons cela comme une nécessité : le temps est ainsi protégé de tout envahisseur, et il faut se refaire des forces permettant ainsi de naître le cycle de vie.


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2.5 Conclusion

Nous avons vu que la précision ultime pouvait être atteinte en utilisant la symétrie. Nous avons vu que malgré une précision ultime, le temps avait, sous sa réserve, des fissures affaiblissant la précision. Ainsi est le temps.


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Chapitre 3 - Extraction du temps

Pour pousser plus loin l’analyse qui est fait dans le document « Le secret des Symétries » (doc# PHY-0011-v1-FR), nous allons définir le temps comme un élément qui a été extrait d’une source. Ainsi nous nous plongeons dans une réflexion qui cherche à comprendre le pourquoi que le temps existe.

L’auteur a finalement trouvé la clé absolue qui régit le temps et aussi les autres éléments de l’univers, ainsi que l’explication de l’organisation des choses qui s’explique maintenant. Cela est que tout fonctionne en parallèle ! Le parallélisme était quelque chose qui était difficile à percevoir à cause de l’aspect relationnel, ou relatif, que les gens perçoivent facilement. Et donc, nous devons voir que les éléments que la science énumère et qu’elle tente d’expliquer sont régis par la simple organisation en parallèle.

Nous aurions l’impression que les feuilles des arbres sont des divisions de l’arbre, mais imaginer plutôt que leur lien est parallèle du tronc jusqu’à la feuille, et imaginons aussi que les racines son aussi des canalisations organisées en parallèle jusqu’au tronc. Et ainsi de suite, nous vivons dans un univers dont l’organisation de toutes choses contient des parallèles. L’illusion est de croire que les bouts se joignent, mais en réalité, ils ne se joignent jamais réellement.

Le temps est donc en parallèle avec le mouvement. Le mouvement et le temps sont donc deux éléments extraits d’une source parallèle, mais ni l’un ni l’autre ne se joigne, et donc cela prouve ainsi que le temps existe… Petit test : rester figer quelque seconde (yeux inclusivement), perdez-vous la sensation du temps ? Vous devriez être incapable de ressentir le temps en restant complètement figé (sans bruit ni changement de visuel). L’absence de mouvement élimine donc la sensation de temps.


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Section des commentaires



« Ce document est absolument génial. »

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M. Roberts
Montréal, Canada



« Très belle image! C'est surprenant comment vous avez beaucoup à dire sur le temps. »

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Alexandre R.
Montréal, Canada

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