Le contrôle de gravité est exercé naturellement par un astre. Mais peut-on reproduire ce contrôle, en modifier la nature pour arriver à créer supposons des technologies créant un environnement semblable à celui d’une planète étant dans l’espace? Ou pourrait-on arriver à utiliser une technologie réduisant la gravité courante d’un plancher ou d’une plaque pour manipuler des matériaux en apesanteur par exemple? Ceci pourrait être possible. Cette étude permettra de définir une approche réaliste de comment contrôler la gravité.
Voilà comment c’est réalisable… D’abord, si nous reprenons le tableau périodique, nous voyons qu’un atome d’hydrogène pèse 1,00794 et qu’un atome d’or pèse 196,966569. Cela signifie que l’or pèse 200 fois plus que l’hydrogène, mais est-il 200 fois plus gros? Voilà la bonne question. De quelle grosseur sont les atomes?
Nous allons supposer que les atomes sont semblablement la même grosseur… ceci s’explique par le fait que si l’on compare des astres, des animaux, des insectes, des bactéries, des dinosaures… et bien, ils ont quelque chose en commun, leur grosseur. La nature est donc en équilibre pour chaque type d’être, et ainsi sont les atomes, ils sont de grosseur semblable les uns entre les autres.
Si les atomes sont de même grosseur, il y a quelque chose qui les rend plus lourds. Ainsi sur quoi nous allons travailler dans ce document, élaborer ce qui rend l’atome plus lourd et parvenir à en modifier cette propriété à l’aide d’une nouvelle technologie, un contrôleur de gravité.
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En étudiant les atomes (la matière) inscrits sur le tableau périodique, nous arrivons à des conclusions sur des fondements de la physique. Tout d’abord, le premier aspect à considérer serait que les atomes eux-mêmes ne créent pas le champ gravitationnel par leur poids. Ceci étant dit que la force de gravité s’applique sur tous les atomes, même l’hydrogène qui a un poids de 1,00794, donc son poids n’est pas nul. Vu que le poids de l’hydrogène n’est pas nul, la gravité n’est donc pas le résultat du plus lourd vers le plus léger qui se place selon leur ordre de poids.
Pour étudier correctement la matière et la force de gravité, nous avons besoin d’un commencement, d’un point zéro. L’hydrogène n’étant pas le point zéro, nous ne pouvons pas considérer cet élément comme le commencement.
Le deuxième aspect à considérer sera le fait que le tableau périodique a des cycles brisés, il n’y a donc pas d’élément cyclique. Comme la nature est remplie de règle (cycle), il devient important d’utiliser les règles au lieu d’utiliser le poids des atomes.
Le troisième aspect à considérer est que le tableau périodique indique des quantités, comme le nombre de couches de valence, le nombre d’électrons par couche, etc. Ce sont des méthodes quantitatives qui répètent un élément et donc cela est la principale faiblesse puisque l’on ne peut pas expliquer la différence des atomes avec le tableau périodique, le nombre d’éléments ne justifie en rien un changement.
Le quatrième aspect à considérer est que l’augmentation du poids de chaque élément du tableau périodique n’est pas constante, il y a des variations, ce qui suggère que le tableau périodique n’est pas idéal pour illustrer la matière.
Le concept de l’espace recréé n’est pas utilisé en physique. L’espace recréé est expliqué dans le document « Les clés de la physique » du même auteur. Nous pourrions expliquer les variations d’augmentation du poids des atomes en intégrant le concept de l’espace recréé. Cela transformera le tableau périodique en ce que nous allons appeler les « clés du Maître ».
Théoriquement, le concept de l’espace recréé fait ressortir qu’un même espace, s’il est accédé par une autre direction, cet espace se recrée pour former un espace qui n’est pas le même que l’espace d’une autre direction. Concept qui explique comment l’espace se crée.
Vu que les atomes ont plusieurs propriétés (incluant le poids) différentes d’un atome à un autre, le concept de l’espace recrée est là pour expliquer comment les atomes sont différents.
La première propriété de l’atome est qu’il est rond. Avec le concept de l’espace recréé, nous arrivons à expliquer la forme sphérique. Si l’espace est recréé dans toutes les directions, nous obtenons ainsi une forme primaire de cet espace, c’est-à-dire que l’atome correspond à un espace recréé dans toutes les directions. À la base, nous utilisons seulement l’espace parce qu’en réalité l’espace contient un univers de propriété. L’espace a souvent été considéré comme un vide inerte ne servant à rien d’autre que distancer un objet, mais nous sous-estimons l’espace.
Vu que l’espace peut se recréer, cela constitue donc un moyen de changer les propriétés courantes de l’espace pour donner naissance à l’atome. Comme expliqués, si l’espace est recréé nous pouvons ainsi assembler l’espace. Effectivement, lorsque l’espace est recréé, en fait, un autre espace vient intégrer l’espace recréé. Ce qui crée des combinaisons spatiales.
À la figure 1, nous simulons ce que serait le début de l’infini absorbé par un espace. Mais évidemment, l’infini n’est jamais absorbé à cause du fini : selon la théorie de l’évolution II, en reprenant le concept de la règle de l’union, l’infini et le fini passe de l’un vers l’autre ce qui limite l’infini et fait augmenter le fini. Mais nous n’allons pas élaborer sur cette règle, cela ne fait que nous indiquer que la quantité d’espace absorbé sera limitée.
Comme l’atome, l’espace contenu après l’atmosphère doit être considéré comme de la matière. Évidemment cela s’explique par le fait que la matière est créée à partir de l’espace, et que l’espace contenue après l’atmosphère est plus légère que l’hydrogène, voir qu’il ne pèse rien. Dans un contenant sous vide créé à l’intérieur de l’atmosphère, c’est ce que nous appellerons de l’Éther parce qu’il a tendance à se désintégrer, alors que l’espace contenu après l’atmosphère n’a pas cette tendance de désintégration, ce qui est une bonne différence à considérer dans l’étude de l’espace recréé.
Tel que dit précédemment, les clés du Maître viennent remplacer le tableau périodique. Pour ce faire, nous détenons une nouvelle théorie sur la création de l’atome comme quoi l’atome vient du vide.
Pour élaborer les clés du Maître, nous allons considérer que l’espace est une propriété. En fait, l’espace est un élément primaire. Il y a d’autres éléments primaires, ainsi ceux-ci deviennent des propriétés qui comme l’espace sont des éléments recréés.
Le poids de l’atome n’est pas une propriété puisque cela change selon l’environnement planétaire. Donc, les clés du Maître n’utilisent pas le poids comme classement.
La première clé du Maître est l’étalement des possibilités des éléments du tableau périodique qui sont seulement naturels, donc pas les atomes synthétiques ni les désintégrations de d’autres éléments. Il y a 84 atomes naturels. Nous allons utiliser le concept de l’attraction optimale pour élaborer les 84 possibilités. Il faut 6 x 14 pour arriver à 84, mais nous allons conserver seulement l’approche du facteur 6. Dans le concept de l’attraction optimale qui est une étude de recherche élaborée par le même auteur, il y a cependant des éléments sujets à changement après une réévaluation. Mais nous reprenons l’idée de l’attraction sous sa forme optimale qui sert à former des atomes indestructibles.
La figure 2 ci-dessous présente le nouveau concept d’attraction optimale en ayant pris soin de bien intégrer le concept de l’espace recréé.
Les globules sont ce qui compose l’atome, ce sont des éléments primaires comme l’espace. La figure 2 présente une forme d’attraction optimale laissant un espace au centre. 6 globules sont responsables de laissé un espace au centre, mais ce n’est pas tout. L’espace recréé va faire en sorte que les 6 globules soient absorbés dans cet espace. Ainsi, nous ne définissons pas l’espace exactement comme un globule, l’espace peut se recréer seul, tandis que les autres types de globule ont besoin de l’espace pour se recréer. L’espace du centre devient ainsi occupé par 6 globules, c’est ce qui forme un atome. Lorsque l’atome est formé, il est éternel.
Nous allons maintenant définir comment le comportement de 6 globules réunis autour d’un espace forme 84 possibilités formant les 84 éléments du tableau périodique. Les globules se divisent en 4 groupes, et il forme 2 types de pairs.
Comme présentés à la figure 3 ci-dessous, les 2 types de pairs forment 36 possibilités chacune. Et l’astuce à comprendre est que l’espace recréé permet d’absorber jusqu’à un maximum de 6 fois les groupes de globule et un minimum de 1 globule par groupe formant ces paires.
La figure 3 présente une façon de créer 72 possibilités d’atomes, cependant il y aurait la possibilité que les 12 derniers types d’atomes (pour avoir un total de 84) soient composés d’un seul groupe, les 2 groupes dominants, soit le groupe 1 et le groupe 3. Un seul groupe dominant forme 6 possibilités, avec 2 groupes dominants, nous avons 12 possibilités (2 x 6 = 12). Les groupes dominants sont aussi là pour montrer que la nature crée des inégalités comme expliqué avec la règle de l’union (et science de l’union) présentée dans un autre document. Ce thème d’inégalité est aussi ce qui permet d’expliquer que le poids augmente de façon variable pour chaque élément du tableau périodique. Il faut donc préserver naturellement l’inégalité dans la construction de l’atome.
Vous remarquerez que le 2e exemple de la figure 3 présente seulement 5 globules au total avec les 2 groupes. Ceci est pour montrer aussi que l’espace se mêle à la construction de l’atome, et ainsi ce qui permet de constituer des poids variables pour chaque atome. Ainsi l’espace recréé peut aussi absorber un autre espace. Ainsi, un atome formé de 6 globules espaces seulement devient un espace qui est comme de la matière. C’est en fait l’espace qui est après l’atmosphère terrestre. Et comme l’atome, cette espace est éternelle.
L’espace atome n’est pas aussi dense que les gaz, il est encore plus léger que les gaz, et se faisant, il apparait comme si aucun objet avec de l’inertie ne touchait à rien puisqu’il n’a pas de poids. Ainsi, ce n’est pas le vide, néant, absolu en dehors de l’atmosphère même si les objets ne rencontrent aucun obstacle.
Nous pourrions vérifier cela en fabriquant un contenant sous vide avec l’espace contenu en dehors de l’atmosphère. Nous pourrions voir alors que ce n’est pas le même vide qu’un contenant fabriqué dans l’atmosphère terrestre.
Nous devons comprendre aussi que l’espace recréé ne fait pas seulement assembler les globules composant l’atome, l’espace recréé permet aussi de créer le champ d’attraction planétaire. Le concept de l’espace recréé s’applique aussi pour expliquer que la nature est en attraction continue.
Ainsi l’étude de l’espace recréé nous mène à définir comment les pôles d’attraction se forment et cela constitue la deuxième clé du Maître.
Les pôles sont des éléments qui repoussent ou attirent. Ainsi, l’atome est constitué de plusieurs pôles qui lui permettent d’avoir une structure permanente sans que cela soit réellement modifiable.
L’absorption d’un globule de l’un des 4 groupes (le 5e groupe qui est le globule d’espace ne forme pas de pôle) par l’espace recréé entraîne la réaction que le globule s’externalise dans cet espace recréé. Étant donné que l’atome se compose de 2 groupes, alors les 2 groupes s’externalisent et forment le pôle positif et le pôle négatif. Cependant, cela n’est pas une constante. Par exemple, un espace recréé peut absorber 2 groupes de globule dans un seul espace recréé. Nous avons donc un pôle neutre, tandis que les 5 autres espaces peuvent eux aussi avoir des pôles neutres ou des pôles positifs ou négatifs selon le globule qu’il contient.
Ainsi la définition de l’atome dépend du nombre de globules de chaque groupe qu’il contient, et aussi chaque atome de même type peut varier à cause du positionnement des globules qui sont aléatoirement dans l’un des 6 espaces de l’espace recréé. Cela forme une variation des atomes de même type est ainsi une variation du poids qui est changé selon le nombre de pôles positifs, de pôles négatifs et de pôles neutres.
La variation du poids de chaque atome du même type crée une moyenne qui est non continue et qui ressemble au graphique de la figure 4 (ci-dessous), ressemblant aussi à la variation de l’augmentation du poids des éléments du tableau périodique.
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