Le rédacteur ou la rédactrice doit apprendre progressivement son sujet au fur et à mesure qu’elle a des questions intrinsèques et des besoins d’information pour intégrer tous les éléments essentiels d’un sujet. La raison est que l’internet et les bibliothèques regorgent d’informations, et donc, c’est une aventure se lancer dans l’apprentissage d’un sujet.
Je recommanderai que les notes de travail ne doivent pas être des textes auxquels nous faisons référence, mais plutôt des notes personnelles qui viennent de notre propre compréhension, sauf si c’est une citation. De plus, le rédacteur ou la rédactrice doit noter les adresses web, les noms d’auteurs, l’éditeur ainsi que la date de publication d’un article auquel, il ou elle a puisé de l’information, et devra inscrire ces références dans la partie du document « Bibliographie » au fur et à mesure qu’il en a.
La personne qui rédige doit avoir des buts de ce qu’elle veut que le lecteur comprenne. Le processus d’écriture exige que nous nous mettions dans la peau de celui qui nous lit, et si une interrogation est soulevée intuitivement par la personne qui rédige, lorsqu’elle se relie, alors le texte doit être ajusté. Il n’y a pas de texte qui se fait parfaitement sans qu’il soit réajusté. C’est la même chose pour le plan, le plan peut être implicite, une structure duquel nous nous souvenons, mais toujours est-il que les buts de notre texte doivent être implicites aussi dans le texte.
Le lecteur doit se sentir transporter par le texte. Ce pour quoi nous nous faisons amicales du lecteur, mais il arrivera que l’on doive nommer des centres d’intérêt et faire référence à des critiques communes dans le texte. Ceci dit, la personne qui rédige doit prendre en compte de s’accorder avec les intérêts qu’elle défend au moyen de l’encyclopédie. Donc, il est nécessaire que la personne qui rédige développe de l’intérêt pour de grandes idées qui implicitement se retrouve dans le texte.
Cependant, les règles pour lesquelles la personne doit appliquer, comme dans un travail d’équipe ou pour une entreprise, ces règles doivent concorder avec les intérêts que la personne défend dans son texte.
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Un texte implique qu’il doit avoir concordance entre les énoncés. Vous ne pouvez pas dire « le joueur de hockey est fort », mais ensuite dire « il n’a pas bien joué ». Ceci dit, l’écriture doit avoir un sens comme une série d’idées qui permettent de voir vers où le lecteur sera amené. Il est normal que des lecteurs aient des opinions différentes que l’auteur du texte.
Cependant, nous parlons ici de concordance d’idées, comme pour créer une suite d’idée qui mène vers un objectif ou un but que le rédacteur ou la rédactrice a choisi.
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Il est impossible de couvrir entièrement un sujet en peu de texte. La raison est que nous devons employer des caractéristiques des idées discutées dans un texte. Donc, pour expliquer une idée, nous la découpons en caractéristique… mais ce n’est pas tout. L’art de l’écriture consiste à unir ces différentes caractéristiques. Donc, vous devrez employés des structures de texte qui couvre d’une certaine façon les caractéristiques dont nous faisons allusion. Il s’agit tout au long de l’écriture d’épaissir ou plutôt de renforcir une idée générale dans un texte. Comme dans un paragraphe, il s’agit d’épaissir ou de renforcer le sujet d’un paragraphe.
L’art de l’écriture consiste en une technique particulière au texte d’amener le lecteur à croire à ce qu’on dit (le pourquoi du but des références et des concordances). Ce pour quoi tout au long du texte, nous devons en même temps convaincre le lecteur de ce que l’on dit. Et pour cela, le lecteur doit être capable de refaire le plan, et comprendre toutes nos idées. Un texte bien articulé est plus crédible.
De plus, la fluidité se fait en groupant les mots, les phrases et les paragraphes. Il faut nécessairement que le texte se suivre, que les idées s’enchaînent bien et que le texte ne met pas trop souvent en pause le sujet principal. La fluidité est l’art de bien enchaîner les petites idées ensemble et les grandes idées aussi. La technique consiste à faire rimer l’utilité des mots. Par exemple, vous pourriez dire « J’aime mon chat » et ajouter « … parce que les animaux de compagnie sont un bon support moral ». Dans le premier morceau de phrase, le sentiment de l’auteur est de mise, et dans le deuxième morceau, nous justifions. Évidemment, justifier quelque chose permet de créer de la fluidité. Ce n’est qu’un exemple, bien sûr que nous pouvons utiliser à la place d'autres concepts que justifier.
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Ici, il s’agit du meilleur exemple que si un crayon écrit pâle, le texte sera illisible. Ceci n’est qu’un exemple physique. Il s’agit qu’il doit avoir un contraste, donc une différence, entre avant et après que le lecteur lise un bout de texte ou le texte entier. Donc, pour chaque idée, il faut comme dirait-on appuyé fortement ce que l’on dit, tout en progressant en douceur la transmission de nos idées. Cela permet de développer la créativité de comment nous procédons pour expliquer quelque chose.
Comme une impulsion, nous devons parfois peser ou appuyer fort certains arguments pour convaincre le lecteur. Mais, nous ne pesons pas constamment, nous devons relâcher, par exemple, progressivement le poids d’une idée, pour effectivement faire la transition d’une idée à l’autre. Ce qui amène la conclusion implicite (sous-entendue) et/ou explicit des paragraphes ou des sections de texte.
L’autre aspect à considérer est la lourdeur de ce que nous souhaitons démontrer. Donc, par exemple, il est certain que la religion et parler de Dieu alourdi un texte d’une certaine manière. Mais tout l’effort que nous aurons déployé pour véhiculer une idée doit servir à enrichir le rédacteur ou la rédactrice elle-même. Et par le fait même, nous devenons plus forts. Il sera facile par la suite d’argumenter un discourt, répondre à des questions d’admirateurs, ou contrebalancer une mauvaise critique, etc. C’est ce qui permet de créer comme on dit dans certaines situations, créer un effet de levier.
À propos des leviers, ils serviront aussi dans vos textes pour renverser une tendance à croire, démentir une demi-vérité, ou tout simplement comme l’expression le dit « faire avaler une dure vérité aux lecteurs ». Et l’art de l’écriture consiste à créer une certaine douceur pour dire des choses délicates.
L’autre idée de la pesée, vient du fait que parfois l’opinion n’est pas bienvenue partout dans le texte, même que parfois nous devons laisser certaines opinions de côté, histoire de ne pas scandaliser le lecteur. Une idée appropriée doit être ce que l’on souhaite véhiculer dans le sujet principal du texte, et non pas dériver sur des propos scandaleux et faire perdre aux lecteurs le goût de lire.
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Si une idée n’a pas de fond pour s’ériger, elle tombe dans le vide. Nous voulons dire par là que les idées doivent s’entasser les unes sur les autres. De même que l’introduction doit s’entasser sur la grâce du lecteur, etc. Car il faut comprendre qu’une règle montre que les mots dans une phrase s’entassent les uns sur les autres. C’est la même chose pour les idées. C’est la même chose pour bien des cas que je ne nommerai pas tous, mais qui peut être très utile dans la vie d’un individu. Donc, les idées doivent avoir un fond pour pousser des paragraphes et des phrases, au bout du compte. Une idée doit avoir un sol pour s’appuyer. Et cela permet à l’idée suivante, par le fait même, d’avoir elle aussi un sol.
C’est la même chose, non en parlant des mots cette fois, mais selon chaque partie que nous érigeons, notre philosophie de vie, etc. sachons que les sources ont servis de « sol » pour ce que nous écrivons et comment nous l’écrivons. Je ne veux pas faire mon pasteur ici, mais il ne faut pas oublier que la Bible est le sol d’une évolution qui a suivi ce livre Saint. Ce que le scientifique moderne oublie souvent en lançant « sans fondement » (donc dans le vide) quelque chose sur le terrain de la science.
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Il s’agit ici de savoir comment on commence. Je dois dire que le plus grand défi est ici plus que le développement d’un texte. Ici, le lecteur doit savoir ce qui vous a amené aussi à parler d’un tel sujet ou sous-sujet, pourquoi vous l’avez choisi… ensuite il vient à préparer ce quoi vous allez discuter dans le texte, tel que par exemple, une introduction se termine souvent par une phrase clé « Nous verrons comment ceci ou cela » ou « Nous aborderons ces idées… ».
Dans l’introduction, le lecteur doit se faire une idée « générale » du sujet.
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Il s’agit ici de faire durer l’amour qu’un lecteur a pour votre texte… en fermant la discussion. Souvent, il faut utiliser une phrase clé à la fin qui crée une ouverture. Parfois, le rédacteur peut tout simplement, poser une question qui amène vers un sujet connexe, ou sur quelque chose que vous n’avez pas parler dans le texte.
Une conclusion peut débuter par ces bouts de phrase « En conclusion,… », « Finalement,… », etc.
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Si nous écrivons « Je ne vous aime pas »… alors nous divisons la relation. Par contre, si nous disons « Je vous aime »… nous unissons la relation. L’art d’unir est un langage à l’intérieur même d’une langue.
Il faut s’accorder. Comme dit la Bible : « Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons ; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons. » (1 Corinthien 10:21) Comme quoi c’est la même chose pour une entreprise, un employé ne peut servir une entreprise et en même temps servir son concurrent. C’est la même chose pour l’art d’unir. Cependant, il y a des techniques pour rejoindre la masse que la plupart des écrivains ignorent. C’est la technique d’accorder un mérite à des parties.
Il ne faut pas s’abstenir de mentionner des vertus sur un élément du sujet, un groupe, ou une organisation. Le but c’est de garder des liens ouverts avec la masse, et non pas de flatter tout le monde de façon contradictoire. Ceci est un art politique et médiatique d’être capable de s’unir.
Il est normal que certains rejetteront vos idées, car certaines personnes méchantes agissent comme « tout ou rien ». Et cela n’est pas bien. On ne doit pas s’accorder avec ceux qui agisse selon ce dicton « tout ou rien ». Car c’est de la méchanceté. Ce pourquoi en tant que rédacteur ou rédactrice vous devez vous attendre à ne pas être aimé de tout le monde. Les méchants ne vous aimeront pas.
Donc, un texte ne doit pas être neutre. Vous devez vous accorder en donnant du mérite. Ce que vous devez faire attention, c’est de ne pas accorder de « faux mérite ». Car vous déborderez.
Ce pourquoi, il faut lutter à l’intérieur de soi contre sa propre naïveté qui lorsque ne l’on tient pas compte de ce facteur « le mérite », nous pourrions naïvement accorder de « faux mérite » en flattant de mauvaises idées, et d’un autre côté aussi le « faux mérite » peut se voir aussi si on fait une omission d’attribution d’un mérite pour une bonne chose. Mais tout cela s’apprend en étant vigilant et prudent, et surtout en tenant compte de ce facteur « le mérite ». Juste en tenir compte est suffisant pour progresser.
Lorsque l’on pige des idées dans des textes en référence, il ne faut pas oublier de vérifier nos sources si elles sont authentiques à respecter cette règle dont nous venons de parler.
Comme on dit, l’art d’unir est un langage. Si votre texte est trop étendu, votre lecteur va vous perdre. N’oubliez pas de garder des formulations regroupées pour certaines idées et ne pas les utiliser ces formulations de façon étendue dans votre texte. Donc, l’art d’écrire consiste à trouver des formulations originales pour exprimer une idée. C’est la clé de l’originalité, c’est la façon dont votre texte s’identifie à vous. C’est comme ça qu’un auteur unit son texte. Donc, gardez en tête qu’il faut des formulations originales pour chaque idée. Exemple, vous ne pouvez vanter un « ordinateur » comme on présente une « brebis ».
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Ce texte sert à vous guider sur l’importance d’avoir des règles d’écriture et un savoir-faire spécifique à l’écriture. Bien qu’il pourrait servir dans l’art de la politique aussi, ce document, je l’espère permettra à quiconque d’avoir une base forte pour ériger la connaissance au moyen de l’écriture, et que cela puisse lui donner un certain succès.
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